Coucou Linette, Margot, Mag’, Anne et toutes tous
Bravo Margot, zut tu m’as devancée

Pareil, j’en ai une aussi à vendre pas chère non plus voire donnée si si si


Surtout que, maintenant ici c’est l’été

C’est comme ça …..
Prenez soin de vous !
Coucou Linette, Margot, Mag’, Anne et toutes tous
Il y a quelque chose qui me dit, que tu t'es fait un tour sur le bon coin !
Très bon, l'état de non marche(pas chère et en bon état de non marche)
Ah oui, du coup ça a marché pour toi ? Y a vraiment un truc à creuser de ce côté-là mais pas facile avec tous les charlatans à côté...PatrickS a écrit : ↑02 juin 2023, 14:18 Bonjour,
Pour un mal de dos je suis allé voir un médecin ostéopathe qui ne m'a pas aidé. Puis je suis allé voir un "toucheur" et en deux séance, c'était réglé (juste imposition des mains). Je n'y croyais pas vraiment, mais quand tu souffres et que les médecins n'entendent pas réellement ta douleur, ça te traverse l'esprit d'essayer.. Et pour le paiement, c'était selon ce qu'on voulait quitte à ne rien donner. Moi, j'ai donné un peu plus qu'une consultation chez un médecin.
Patrick
Ah ben si t'as déjà vu un psychiatre, c'est bon ! La question que je commence à me poser, c'est pourquoi on te laisse seul face à ça ? Les docteurs devraient insister mais c'est que mon avis.Illimani a écrit : ↑02 juin 2023, 13:58 Merci Anera,
J'ai demandé conseil à mon pharmacien, qui m'a recommandé une personne en particulier.
J'ai déjà vu un psychiatre l'année dernière pour un entretien d'évaluation (mon médecin traitant avait demandé mon hospitalisation). Il en avait conclu que ma place n'était pas à l'hôpital psychiatrique, et que mon anxiété était bien légitime, compte-tenu de l'horreur du diagnostic potentiel.
Les médecins vont au plus facile : ils se contentent des résultats d'IRM (insuffisants mais indispensables) qui tôt ou tard reviendront pathologiques. Ils ont le temps. Ils préparent leurs vacances en famille.
Je ne consulterai plus d'autres médecins.
https://www.lpo.fr/decouvrir-la-nature/ ... ux-oiseauxIllimani a écrit :L'autre jour un bel oiseau est entré par ma fenêtre. Je lui ai donné de l'eau et des miettes de pain, avant de lui rendre sa liberté.
Cela dit, s'il était entré chez toi, peut-être était-il déjà, à ce moment-là, au crépuscule de son existence.Il est revenu : je viens de le retrouver crevé dans la salle de bain.
Faut voir : quand il est entré chez toi, il arrivait de la gauche, ou de la droite ?Mauvais présage.
Quand un médecin te dis que c'est psychologique c'est qu'il n'a aucune idée de ce que tu as.
Hello Barbara,
Bonjour Zen2010,zen2010 a écrit : ↑10 juil. 2023, 13:06 J'ai relu mon dernier post et j'aimerais préciser une chose : je ne voulais pas généraliser les choses.
Ce n'est parceque je suis tombé sur des brebis galeuses qu'il faut généraliser !
Il y a surement de très bon médecins en France et ailleurs.
Hello Barbara,
On ne vas pas être d'accord sur ce point vu que la sep est neurodégénéréscente et qu'elles progresse assez vite chez certains patients.
Il y a quelques années, j'avais échangé avec une personne qui bosse pour l'agence du médicament des Etats-Unis (la FDA) qui m'avait dit: "la SEP n'est pas mortelle, donc, les malades peuvent attendre ".
Et là, j'ai pensé "Je vais te la refiler, la SEP. Tu vas voir si t'a envie d'attendre..."
Moui enfin, là on parle tout de même d'un psychiatre (même niveau d'études qu'un neurologue, au pifzen2010 a écrit :Quand un médecin te dis que c'est psychologique c'est qu'il n'a aucune idée de ce que tu as.Illimani a écrit :J'ai finalement vu le psychiatre : pour cent euros, j'ai reçu un diagnostic de « trouble paranoïaque débutant ». Mes symptômes je me les invente, et il n'est pas question d'autres examens médicaux.
Hallucinant.
C'est juste qu'il ne veut pas admettre qu'il en sait rien, tout simplement.
Et donc, un simple généraliste qui ne dispose que de quelques minutes pour t'ausculter. Pas le même niveau d'études ni d'exigences qu'un neurologue ou un psychiatre...D'ailleurs je me rapelle de la première fois que j'ai rencontré mon ancien médecin traitant
Rien ne lui interdit de répondre que, du strict point de vue qui a trait à sa spécialité, aucun élément ne lui permet de retenir une quelconque pathologie. Certains ont rapporté avoir rencontré ce genre de praticiens (dont ils se plaignent alors volontiers, parce que forcément, une telle réponse les fait entrer en errance diagnostique).Et enfin, quand tu files 100€ à un psy, il est obligé de te donner un diagnostic,même bidon.
Tu imagines,tu lui donnes 100 balles et à la fin il te dis : désolé, j'ai aucune idée de ce que vous avez.
Cà me semble improbable...
+1.PatrickS a écrit :Surtout que les traitements à vie et les consultations régulières font vivre pas mal de personnes.![]()
Nostromo a écrit : ↑11 juil. 2023, 12:37 Salut Patrick,+1.PatrickS a écrit :Surtout que les traitements à vie et les consultations régulières font vivre pas mal de personnes.![]()
En attendant, rien n'oblige qui que ce soit à initier ni à poursuivre un traitement : avec la sep, le patient est beaucoup plus libre de choisir de ne pas se traiter qu'avec la plupart des pathologies. D'autant que, pour répondre à zen qui s'inquiétait un petit peu plus tôt de la neurodégénérescence, les traitements actuellement disponibles ne revendiquent aucune efficacité sur celle-ci : tout ce qu'ils prétendent faire, c'est réduire la composante inflammatoire (les poussées) de la sep. Or, il commence à devenir solidement établi que la composante inflammatoire et la composante neurodégénérative sont deux choses totalement distinctes, indépendantes.
Ce n'est pas parce que "grâce" aux traitements, le patient connaîtra une phase récurrente-rémittente plutôt tranquille, qu'il ne va pas s'en prendre plein la gueule (ou peut-être que si) quand il passera en forme progressive, ce qui tempère quelque peu la notion d'urgence à se traiter. Et vice-versa, faites vos jeux, rien ne va plus... Toi, par exemple, tu avais connu une phase récurrente-rémittente tellement tranquille que personne ne s'était rendu compte de rien avant ton passage en progressive.
A bientôt,
JP.
Je fais une différence (et même plus d'une) entre les patrons des gros labos et les médecins qui ne comptent pas leurs heures en essayant d'aider leurs patients. Je pense particulièrement à ma généraliste en disant ça.
Bonsoir,Christof a écrit : ↑11 juil. 2023, 22:16 Hello,
Pour être moi même toujours en errance médicale depuis 13 mois environ (date des premiers symptômes chroniques)... Oui il y'a des bons et des mauvais docteurs (comme les chasseurs) comme dans toutes les professions. Mais il ne faut pas généraliser non plus. Et si on tombe que sur les mauvais c'est qu'il faut vite jouer au loto
(désolé mon
sombre avec mon corp
)
Belle soirée
Libre? Le neuro qui propose SAIT, donc, beaucoup de gens disent oui au traitement. Moi, lors de mon diagnostic, si on m'avait proposé un traitement, j'aurais dit oui tout de suite.
Donc, selon toi, la forme primaire progressive n'existe pas?
Ce qui m'avait en fait permis d'y échapper, c'était que Gout, que je voyais tout de même relativement régulièrement jusqu'en 2003 (disons tous les deux ans), ne m'en avait jamais proposé. La seule fois où j'avais discuté de traitements avec lui, c'était à mon initiative, parce que je venais d'emménager à Genève (en 2003 donc) et que j'y avais pris une neuro de ville qui, elle, tenait absolument à me coller sous traitement.PatrickS a écrit :Libre? Le neuro qui propose SAIT, donc, beaucoup de gens disent oui au traitement. Moi, lors de mon diagnostic, si on m'avait proposé un traitement, j'aurais dit oui tout de suite.Nostromo a écrit :rien n'oblige qui que ce soit à initier ni à poursuivre un traitement : avec la sep, le patient est beaucoup plus libre de choisir de ne pas se traiter qu'avec la plupart des pathologies. ............
Seulement certaines lésions inflammatoires (pas toutes, loin de là) entraîneront des symptômes. N'avais-tu d'ailleurs pas, à l'origine, été diagnostiqué en tant que sep rémittente, diagnostic corrigé un peu plus tard en PP ? Je crois me rappeler qu'un toubib t'avait dit qu'il existait des traitements, et vu qu'encore aujourd'hui il n'existe de traitements que pour la seule forme rémittente, ma foi... Cela me laisse supposer que lorsque tu as été diagnostiqué, tes IRM cérébrales montraient ce qu'il fallait comme anciennes lésions (est-ce le cas ?), mais qu'elles ne s'étaient simplement pas traduites par des symptômes.Donc, selon toi, la forme primaire progressive n'existe pas?Toi, par exemple, tu avais connu une phase récurrente-rémittente tellement tranquille que personne ne s'était rendu compte de rien avant ton passage en progressive.
Je n'ai eu aucun symptôme, même léger avant de déclarer ma sep.
Je ne sais pas en quelle année ça se passait mais, en tout état de cause, si ton généraliste pensait que tu allais faire des poussées, alors il pensait que tu étais beaucoup plus volontiers atteint d'une forme rémittente que d'une forme progressive. Oui, je sais que certaines formes progressives peuvent connaître des poussées surajoutées, mais ces formes sont très minoritaires et ne se diagnostiquent pas aussi facilement, il faut déjà pas mal de temps pour diagnostiquer une forme progressive, alors en plus avec des poussées surajoutées...PatrickS a écrit :Donc, c'est mon généraliste qui m'a donné le diagnostic et le traitement dont il parlait était des bolus (lors de ma prochaine poussée), rien d'autre.
Ça avance, c'est plus concret, tant mieux.Illimani a écrit : ↑12 juil. 2023, 12:48 Salut,
Je reviens de l'hôpital, j'ai eu un entretien avec le radiologue après un long moment passé dans la machine.
Le résultat : aucune atteinte du nerf optique, et stabilité des hypersignaux de la substance blanche — malgré la localisation en périventriculaire ces traces sont absolument typiques de séquelles vasculaires (leucomalacies) et ne doivent pas faire suspecter une maladie neurologique.
Le diag, a été posé par son généraliste. Très certainement, qu'il n'aura pas été briefé par le neuro, mais que seul le CR lui aura été remis.
Oui, Patrick, on est libre de son choix. En revanche, plus le temps passe, plus il y a de traitements, et plus le discours des neuro se fait rassurant. Il est donc de plus en plus difficile de ne pas succomber aux "chants de sirène".
Je suis un peu dans ces interrogations sur SEP PP vs RR, avec l’impression que les neuros jugent plutôt au doigt mouillé, sans qu’en réalité la frontière soit si nette que ça. Et que, finalement, ce n’est peut-être pas si important que ça de savoir dans quelle case se ranger puisque dans tous les cas on n’en sait pas beaucoup plus sur l’évolution futuremaglight a écrit : ↑13 juil. 2023, 09:33 Enfin, je te rejoins sur le fait que très probablement, les SEP PP ne sont que des SEP RR, passées inaperçues, ce qui peut faire paraitre la SEP PP d'autant plus agressive, qu'elle ne permet d'emblée pas la récupération.
@ Patrick. Je suppose que tu n'avais jamais fait d'IRM cérébral avant , le début de tes symptômes ?
Les conséquences d'un « remodelage » du cerveau assez fréquent chez les personnes nées avant terme, ou en cas d'accouchement difficile, ce qui pourrait coller à mon histoire (forceps).
Oui, mon état s'est nettement amélioré. Le seul truc qui reste, c'est la marche. Toujours difficile, la jambe gauche fait toujours des siennes, mais c'est un peu mieux: je le remarque surtout dans les escaliers. Au début je devait aider mes jambes avec les mains pour les monter sur la marche supérieure. Maintenant la droite fonctionne à peu près normalement (régulièrement deux marches à la fois), la gauche traîne toujours un peu, parfois une marche normale (au dessus de la marche du pieds droit), parfois la marche ou j'ai le pieds droit.
On est d'accord, coté mécanique, ils maitrisent bien mieux.
Pour avoir fréquenté en interne, un bon mois, le service neuro, difficile de conserver le moindre doute la dessus. Et ce n'est pas que dans la SEP que ça pêche, c'est pour toutes les maladie neuros, qu'ils sont en brasse coulée. Il devient plus facile de s'en rendre compte, dès qu'on multiplie les RDV et les interlocuteurs neuros. Si on n'en voit qu'un, ce n'est pas trop perceptible.Je suis un peu dans ces interrogations sur SEP PP vs RR, avec l’impression que les neuros jugent plutôt au doigt mouillé, sans qu’en réalité la frontière soit si nette que ça. Et que, finalement, ce n’est peut-être pas si important que ça de savoir dans quelle case se ranger puisque dans tous les cas on n’en sait pas beaucoup plus sur l’évolution future![]()
Dans le mien, je m'étais quand même dit que j'étais déjà à l'éventuelle jonction entre SEP RR et SEP SP. J'ai été diagnostiquée tardivement. Ce qui était ma première poussée, pouvait tout aussi bien être, la dernière ! Quand j'ai soulevé la question auprès de la....hum, 3 em neuro, j'ai vu son regard vacillé. Ils en savent fichtrement rien !Dans mon cas, la première neuro que j’ai consultée m'a diagnostiqué une SEP PP avec poussées surajoutées. Ça me paraissait tout à fait cohérent. Puis, après déménagement, mon nouveau neuro penche plutôt pour une RR. Et ma foi, ben... je sais pas, peut-être...
sans être trop dupe non plus ../... mais je fais mine de croire qu’ils savent ce qu’ils fontPour revenir au titre du sujet, j’ai plutôt fait le choix de faire confiance, sans être trop dupe non plus... Neuro n°1 m’avait prescrit du Tecfidera pour les poussées surajoutées ; neuro n° 2 poursuit la prescription, pour SEP RR. Vu que je le supporte bien, je continue de le prendre, en me disant (peut-être à tort) que, si ça ne me fait pas forcément de bien, ça ne me fait probablement pas spécialement de mal non plus.
Bref, je ne maîtrise à peu près rien, les neuros non plus, mais je fais mine de croire qu’ils savent ce qu’ils font et j’attends de voir ce qui se passe, complètement ouverte au meilleur comme au pire, quelle que soit la case qu’ils choisissent de cocher.
Euh, je suis pas sûre, ce serait même plutôt un peu con-con de ma part
Tu nous raconteras ?Je compte de nouveau m'immerger dans leur monde, histoire de faire un petit bilan. Sur ce coup là, je leur demande juste de savoir compter les lésions, et ça, pas de soucis, ils savent le faire ! Nos échangent devraient rester cordiaux![]()
Je comprend bien ton choix. Les bolus ne me font rien, je suis cortico- résistante.Bloub a écrit : ↑24 juil. 2023, 15:24 Disons que j’ai la chance de ne quasiment jamais avoir d’effet secondaire avec les traitements (en contrepartie, il me faut souvent des doses de cheval pour qu’un effet se fasse sentir, j’ai un corps à qui on ne la fait pas). Si j’avais des effets indésirables franchement gênants, je serais beaucoup plus encline à dire stop. Bon, l’autre inconvénient, dans le cas où ce serait complètement inutile, c’est le coût pour la sécu...
Je me dis quand même que, vu que les symptômes qui apparaissent ont cette fâcheuse tendance à s’incruster, si ça m’évitait ne serait-ce qu’une poussée, ce serait toujours ça de pris...
Bien sur, que je partagerais ça, avec vous.Tu nous raconteras ?