Suivi SEP, comment ca doit se passer?
Posté : 15 avr. 2013, 11:07
Bonjour,
Mon ami a une SEP depuis bientôt un an.
Il a fait a priori deux crises, une petite en été, une plus forte au début de l'automne, ce qui a à priori permis de diagnostiquer la SEP, entrainé le traitement corticoïdes à l’hôpital pour freiner la pousée. Il garde une insensibilité partielle sous un de ses pieds. Il est sous copaxone, 1 injection tous les deux jours qui se passe très bien.
Depuis pas de poussée. Parcontre, au niveau de son pied la sensibilité va et vient...
Il a de plus pas mal de fatigue, parfois des problèmes de mémoire à court terme, ou il parle parfois sur un temps très court un peu comme si il était saoul...
Tout ça est a priori typique de la SEP, donc nous ne nous inquiétons pas, mais si je comprends bien ces symptômes n'ont rien avoir avec des poussées?
Est-ce du à la plaque dans le cerveau qui a correspondu à sa poussée au niveau des pieds? ou est-ce que d'autres plaques ont pu se former et créer ces effets de fatigue et de mémoire?
Autre question, comment doit se passer le suivi avec le médecin?
Depuis son traitement sous copaxone, doit-il y avoir un suivi des plaques ou pas? ou le neurologue ne doit-il être contacté que si il y a poussée?
Comment peut-on suivre de près l'activité de la SEP au niveau cérébral?
Si la prise en charge de départ, hôpital, mise sous traitement, suivi de l'infirmière etc était très suivie, aujourd'hui nous nous retrouvons un peu seuls face au problème...ne sachant pas le niveau de suivi que nous devons envisager?
Mon ami a perdu 6 kilos depuis l'annonce de la SEP, il n'a pas tendance a être gros, il mange normalement, mais il fume toujours pas mal. Il y a des chances qu'il y ait eu un impact psychologique, mais doit-on s'inquiéter de l'influence d'autre chose (les injections? la fatigue?) sur son poids?
Il doit arrêter la cigarette, c'est prévu il essaye de s'organiser pour arrêter de lui même petit à petit.
Merci pour vos réponses, car nous sommes un peu dans le vide là...même si il n'y a pas de poussées et que le moral de mon ami est plutôt bon.
Mon ami a une SEP depuis bientôt un an.
Il a fait a priori deux crises, une petite en été, une plus forte au début de l'automne, ce qui a à priori permis de diagnostiquer la SEP, entrainé le traitement corticoïdes à l’hôpital pour freiner la pousée. Il garde une insensibilité partielle sous un de ses pieds. Il est sous copaxone, 1 injection tous les deux jours qui se passe très bien.
Depuis pas de poussée. Parcontre, au niveau de son pied la sensibilité va et vient...
Il a de plus pas mal de fatigue, parfois des problèmes de mémoire à court terme, ou il parle parfois sur un temps très court un peu comme si il était saoul...
Tout ça est a priori typique de la SEP, donc nous ne nous inquiétons pas, mais si je comprends bien ces symptômes n'ont rien avoir avec des poussées?
Est-ce du à la plaque dans le cerveau qui a correspondu à sa poussée au niveau des pieds? ou est-ce que d'autres plaques ont pu se former et créer ces effets de fatigue et de mémoire?
Autre question, comment doit se passer le suivi avec le médecin?
Depuis son traitement sous copaxone, doit-il y avoir un suivi des plaques ou pas? ou le neurologue ne doit-il être contacté que si il y a poussée?
Comment peut-on suivre de près l'activité de la SEP au niveau cérébral?
Si la prise en charge de départ, hôpital, mise sous traitement, suivi de l'infirmière etc était très suivie, aujourd'hui nous nous retrouvons un peu seuls face au problème...ne sachant pas le niveau de suivi que nous devons envisager?
Mon ami a perdu 6 kilos depuis l'annonce de la SEP, il n'a pas tendance a être gros, il mange normalement, mais il fume toujours pas mal. Il y a des chances qu'il y ait eu un impact psychologique, mais doit-on s'inquiéter de l'influence d'autre chose (les injections? la fatigue?) sur son poids?
Il doit arrêter la cigarette, c'est prévu il essaye de s'organiser pour arrêter de lui même petit à petit.
Merci pour vos réponses, car nous sommes un peu dans le vide là...même si il n'y a pas de poussées et que le moral de mon ami est plutôt bon.