de la NORB à la SEP
Posté : 05 juil. 2018, 12:52
Bonjour à tous et merci pour vos échanges que je dévore encore, et qui m'ont bien soutenu.
J'ai 44 ans, je vis en ile de France et je suis diagnostiquée depuis octobre 2017,
suite a une névrite optique qui aura donner un peu de mal au service neuro qui me suivait.
Arrivée aux urgences le 1 février 2017, pour une NORB gauche mon IRM révèle plusieurs lésions d'allure inflammatoire.
J'interroge google et je comprends la possibilité de SEP.
Traitée une première fois par bonus 3x1g de Solumédrol, ma vue atteignait 9/10.
je retourne aux urgence 15 jours plus tard, l'inflammation reprenant de plus belle, ma vision atteignant péniblement le 1/10
Diagnostiquée NORB suraigüe, je suis reprise en charge pour 5x 1g de solumedrol.
5 jours plus tard.
Ma vue n'avait pas évolué d'un iota, et les effets secondaires était particulièrement importants.
Le service, face a l'échec de ce premier protocole opte pour une plasmaphérèse .
Je repars donc pour 5 échanges plasmatiques.
10 jours plus tard.
Malgré une amélioration nette perçu de ma part, au bout du 3 em échange,
l’ophtalmologue ne voie aucune amélioration.
On me renvoie donc chez moi avec mon oeil gauche à 1 dixième et un diagnostic de SCI.
A ce moment, j'ai cru perdre définitivement la vue !
De retour à la maison, les effets de la plasmaphérèse opérèrent.
Mon oeil c'est peu a peu dé-voilé pour atteindre un 10 lent
dans la semaine qui a suivi.
J'ai bien apprécier l'adage " au bout du tunnel, il y a la lumière !
S'en ai suivi l'errance de diagnostic, comme pour beaucoup. Il faut attendre que nos chers neuros remplissent leurs critères de diagnostiques patiemment.
Cela n'aura pas duré très longtemps .Après un IRM de contrôle, l'apparition d'une nouvelle lésion signe le diagnostic et on m'annonce La SEP en octobre dernier. Au jour d'aujourd'hui je ne prend pas de traitement.
Voila pour la petite histoire.
J'ai la grande envie d'échanger avec vous sur ce qui nous arrive, et reste persuadée que la recherche appartient à tous.
Nous avons le désavantage de vivre la maladie, certes, mais nous avons la connaissance pratique.
Les neurologues étudient la partie théorique. Les scientifiques test des molécules ...
C'est je pense, en cherchant ensemble avec eux que nous trouverons les causes de ces maux;
Merci d’avance de m’avoir lu et a très vite pour de futurs échanges
Mag
J'ai 44 ans, je vis en ile de France et je suis diagnostiquée depuis octobre 2017,
suite a une névrite optique qui aura donner un peu de mal au service neuro qui me suivait.

Arrivée aux urgences le 1 février 2017, pour une NORB gauche mon IRM révèle plusieurs lésions d'allure inflammatoire.
J'interroge google et je comprends la possibilité de SEP.
Traitée une première fois par bonus 3x1g de Solumédrol, ma vue atteignait 9/10.
je retourne aux urgence 15 jours plus tard, l'inflammation reprenant de plus belle, ma vision atteignant péniblement le 1/10
Diagnostiquée NORB suraigüe, je suis reprise en charge pour 5x 1g de solumedrol.
5 jours plus tard.
Ma vue n'avait pas évolué d'un iota, et les effets secondaires était particulièrement importants.
Le service, face a l'échec de ce premier protocole opte pour une plasmaphérèse .
Je repars donc pour 5 échanges plasmatiques.
10 jours plus tard.
Malgré une amélioration nette perçu de ma part, au bout du 3 em échange,
l’ophtalmologue ne voie aucune amélioration.
On me renvoie donc chez moi avec mon oeil gauche à 1 dixième et un diagnostic de SCI.
A ce moment, j'ai cru perdre définitivement la vue !
De retour à la maison, les effets de la plasmaphérèse opérèrent.
Mon oeil c'est peu a peu dé-voilé pour atteindre un 10 lent

J'ai bien apprécier l'adage " au bout du tunnel, il y a la lumière !
S'en ai suivi l'errance de diagnostic, comme pour beaucoup. Il faut attendre que nos chers neuros remplissent leurs critères de diagnostiques patiemment.

Cela n'aura pas duré très longtemps .Après un IRM de contrôle, l'apparition d'une nouvelle lésion signe le diagnostic et on m'annonce La SEP en octobre dernier. Au jour d'aujourd'hui je ne prend pas de traitement.
Voila pour la petite histoire.
J'ai la grande envie d'échanger avec vous sur ce qui nous arrive, et reste persuadée que la recherche appartient à tous.
Nous avons le désavantage de vivre la maladie, certes, mais nous avons la connaissance pratique.
Les neurologues étudient la partie théorique. Les scientifiques test des molécules ...
C'est je pense, en cherchant ensemble avec eux que nous trouverons les causes de ces maux;
Merci d’avance de m’avoir lu et a très vite pour de futurs échanges
Mag