Nouvelle sur le forum
Posté : 21 mars 2018, 13:05
Bonjour,
Je suis nouvelle et ma sep date de février 2016 diagnostic posé en février 2018. Je suis d'armentières dans le nord.
Je vous résume mon parcours:
En février 2016, à mon réveil je ressent des fourmillements sur mes jambes. Je ne m'inquiète pas plus que ça ayant un travail à station debout prolongé, je me dis que cela va partir. Sauf qu'au bout de 3 jours (c'est tomber un week-end), mes symptômes s'étaient aggravés. Les fourmillements sont montés progressivement jusqu'à mon ventre et mes bras. je décide donc d'aller chez le médecin qui m'envois aux urgences. Après une longue attente, ils me gardent pour la nuit. A ce moment, ils m'informent qu'ils soupçonnent le syndrome de Guillain Barré. J'ai eu des perfusions de cortisone (il me semble). Au bout de 3 jours d’hôpital, je me souviens d'une tante malade mais je ne savais plus ce qu'elle avait, après m'être informé, elle avait une sclérose en plaque. J'en informe les infirmières sans me douter que c'était si important. A partir de là, ils m'ont fait une batterie d'examens ( IRM, Ponction lombaire, Visuel...ect ). On me dis que c'est peut être une sclérose en plaques car les IRM montraient des "tâches" et la ponction les a dirigés vers la sep. Mais le neuro n'a pas préféré posé le diagnostique ne voyant pas d'évolution dans les irm. de plus des anti-corps NMO ont été retrouvé lors de certaines de mes prises de sang, de ce fait cela pouvait aussi être une neuromyélite optique.
Resultat, apres 2 poussés, le diagnostic à été posé mais ils n'expliquent pas la présence de ces anti-corps à cette période.
Je suis depuis 1 mois sous Tecfidera et je le supporte assez bien
Je suis nouvelle et ma sep date de février 2016 diagnostic posé en février 2018. Je suis d'armentières dans le nord.
Je vous résume mon parcours:
En février 2016, à mon réveil je ressent des fourmillements sur mes jambes. Je ne m'inquiète pas plus que ça ayant un travail à station debout prolongé, je me dis que cela va partir. Sauf qu'au bout de 3 jours (c'est tomber un week-end), mes symptômes s'étaient aggravés. Les fourmillements sont montés progressivement jusqu'à mon ventre et mes bras. je décide donc d'aller chez le médecin qui m'envois aux urgences. Après une longue attente, ils me gardent pour la nuit. A ce moment, ils m'informent qu'ils soupçonnent le syndrome de Guillain Barré. J'ai eu des perfusions de cortisone (il me semble). Au bout de 3 jours d’hôpital, je me souviens d'une tante malade mais je ne savais plus ce qu'elle avait, après m'être informé, elle avait une sclérose en plaque. J'en informe les infirmières sans me douter que c'était si important. A partir de là, ils m'ont fait une batterie d'examens ( IRM, Ponction lombaire, Visuel...ect ). On me dis que c'est peut être une sclérose en plaques car les IRM montraient des "tâches" et la ponction les a dirigés vers la sep. Mais le neuro n'a pas préféré posé le diagnostique ne voyant pas d'évolution dans les irm. de plus des anti-corps NMO ont été retrouvé lors de certaines de mes prises de sang, de ce fait cela pouvait aussi être une neuromyélite optique.
Resultat, apres 2 poussés, le diagnostic à été posé mais ils n'expliquent pas la présence de ces anti-corps à cette période.
Je suis depuis 1 mois sous Tecfidera et je le supporte assez bien