Pourquoi ce soir je n'arrive plus à faire avancer mes jambes... pourquoi je dois penser à mes pas avant de les faire
Pourquoi alors que je me resoigne depuis 1 an 1/2 des symptomes s'installent encore sournoisement dans ma vie et sur mon corps...
Pourquoi alors que je n'ai pas d'autres signes de poussées, j'ai tout ça
Pourquoi ? Qu’est-ce que j’ai à apprendre de cette maladie ?
Quelle leçon la vie veut me faire comprendre?
Qu’est-ce que j’ai besoin d’apprendre à travers tout ça?
Qu’est-ce que cette maladie veut me faire comprendre ?
Qu’est ce que je peux faire avec cette maladie ? si ce n'est cohabiter avec elle
Je sais que je peux trouver des réponses à ces questions, des réponses qui me réconcilient et me remettent en paix avec moi, mais ce soir j'ai envie de hurler NON
Un passé que je ne peux changer, et si je me reveillais ce 20 avril 1999 (jour de mes 24 ans) fraiche comme une fleur, heureuse de vivre et pas dans l'angoisse de cette paralysie faciale, que m'arrive t-il?
Je n’ai personne à accuser, ce n'est la faute de personne... meme pas la mienne
trouver la réponse à ces pourquoi?
Ainsi va la vie, ainsi va ma vie
Désolé, c'est pas la grande forme, demain ça ira mieux, mais ce soir j'avais besoin de mettre des mots sur mes angoisses
Pourquoi? (pti coup de mou)
Virgin
Pour résumer ce qu'il se dit au sujet des maladies en général :
Il parait de plus en plus de commentaires prétendant que toutes les maladies (cancer, sida, accidents, maladies rares, etc) ont une origine à cause du comportement des malades avant la maladie du fait "qu'ils ne seraient pas en phase avec leurs convictions les plus profondes".
Il se peut même que ces remarques aillent jusqu'à dire que la présence de toutes les maladies soient "le résultat d'une mauvaise orientation "manifestes" de leurs pensées face à la vie". Certains disent qu'elles sont leur utilité pour prendre Conscience de son Essence (L'Essence c'est super, non ?) D'autres enfin vont tendre vers plus de mysticisme pour prononcer le terme de Karma.
C'est un point de vue courant de ceux qui sont en bonne santé ou passablement atteint. Pour celui qui est touché, il en est forcément tout autrement.
Ce que tu dis, montre que tu as lu à ce sujet et que tu as tenté de trouver tes propres réponses pour te dépasser. Mais cela ne suffit pas, parce que la rémission n'est pas assez rapide (au contraire ?), et tu peux douter alors de l'utilité de cette démarche. Il n'en reste pas moins que tu as cette démarche. Je trouve que le questionnement est nécessaire, qu'on soit malade ou non, parce qu'il nous permet de nous situer. Pour débloquer une vis, il est parfois nécessaire de la serrer un peu plus pour pouvoir la libérer. Les maladies fonctionneraient-elle de même ?
Je comprends ta colère. Comme Karima, je t'invite aussi à l'exprimer et à l'évacuer de toi. Ce n'est pas quelque chose qu'on ose faire d'habitude, alors que, comme aimer, ça fait partie de notre vie. Que faire alors ? Je crois, sans me tromper, pouvoir dire qu'il faut vivre ! Vivre tes émotions, vivre tes joies, vivre tes peines, et sentir que quoi qu'il arrive, tu n'es pas seule. Et si c'est parfois difficile, il y aura toujours une oreille amicale pour t'écouter.
Amicalement
Zac - un extra terrestre
Pour résumer ce qu'il se dit au sujet des maladies en général :
Il parait de plus en plus de commentaires prétendant que toutes les maladies (cancer, sida, accidents, maladies rares, etc) ont une origine à cause du comportement des malades avant la maladie du fait "qu'ils ne seraient pas en phase avec leurs convictions les plus profondes".
Il se peut même que ces remarques aillent jusqu'à dire que la présence de toutes les maladies soient "le résultat d'une mauvaise orientation "manifestes" de leurs pensées face à la vie". Certains disent qu'elles sont leur utilité pour prendre Conscience de son Essence (L'Essence c'est super, non ?) D'autres enfin vont tendre vers plus de mysticisme pour prononcer le terme de Karma.
C'est un point de vue courant de ceux qui sont en bonne santé ou passablement atteint. Pour celui qui est touché, il en est forcément tout autrement.
Ce que tu dis, montre que tu as lu à ce sujet et que tu as tenté de trouver tes propres réponses pour te dépasser. Mais cela ne suffit pas, parce que la rémission n'est pas assez rapide (au contraire ?), et tu peux douter alors de l'utilité de cette démarche. Il n'en reste pas moins que tu as cette démarche. Je trouve que le questionnement est nécessaire, qu'on soit malade ou non, parce qu'il nous permet de nous situer. Pour débloquer une vis, il est parfois nécessaire de la serrer un peu plus pour pouvoir la libérer. Les maladies fonctionneraient-elle de même ?
Je comprends ta colère. Comme Karima, je t'invite aussi à l'exprimer et à l'évacuer de toi. Ce n'est pas quelque chose qu'on ose faire d'habitude, alors que, comme aimer, ça fait partie de notre vie. Que faire alors ? Je crois, sans me tromper, pouvoir dire qu'il faut vivre ! Vivre tes émotions, vivre tes joies, vivre tes peines, et sentir que quoi qu'il arrive, tu n'es pas seule. Et si c'est parfois difficile, il y aura toujours une oreille amicale pour t'écouter.
Amicalement
Zac - un extra terrestre
- Lolo
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- Enregistré le : 29 mars 2005, 19:25
- Ville de résidence : Bourgoin-Jallieu
- Localisation : Bourgoin-Jallieu, ici il fait plus chaud au moins !!!
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Kikoo,
Moi aussi je comprends cela très bien mes jambes un jour ça va et le lendemain c'est fini et c'est
toute la journée !!!
Aura-t-on un jour des réponses : là rien n'est moins sur.
Courage et rassures-toi, on passe tous par là à un moment.
Bizzzzzzzzzzzzzzzzz
Moi aussi je comprends cela très bien mes jambes un jour ça va et le lendemain c'est fini et c'est

Aura-t-on un jour des réponses : là rien n'est moins sur.
Courage et rassures-toi, on passe tous par là à un moment.
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Un ami c'est quelqu'un qui sait tout de toi et qui t'aime quand même...

