suites flashes cortisone : médicaments ?
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suites flashes cortisone : médicaments ?
Hello
je viens d'avoir 3 jours de solumedrol en perf - soit mercredi, jeudi, vendredi - (20 ans que ça ne m'était pas arrivé)... je vais plutôt plus mal, mais bon, il fut attendre..
Une question : on m'arrête toute cortisone, après ces 3 "flashs", c'est-à-dire que je n'ai pas de cachets à prendre... est-ce courant ?
Merci.
je viens d'avoir 3 jours de solumedrol en perf - soit mercredi, jeudi, vendredi - (20 ans que ça ne m'était pas arrivé)... je vais plutôt plus mal, mais bon, il fut attendre..
Une question : on m'arrête toute cortisone, après ces 3 "flashs", c'est-à-dire que je n'ai pas de cachets à prendre... est-ce courant ?
Merci.

Merci pour les encouragements ; ça fait du bien...
j'ai pas eu de poussées telles que les neuros les "homologuent", pendant 20 ans... mais bon, sans me plaindre, j'ai été fréquemment été "emm..." par des coups de fatigues, des débuts de paralysie, nystagmus et autres pertes d'équilibre qui m'ont valu bien des arrêts dans mes élans, quand même.

Mais oui, j'ai eu la chance de pouvoir traiter ça au repos, à la vtamine B et au yoga.

@+
Om
Bonjour Om et bienvenue parmi nous 
J'ai eu des bolus de corticoïdes en juin (c'était la 1ère fois) et j'ai eu exactement le même traitement que toi : 3 x 1 g de solumédrol sur 3 jours et ensuite pas du tout de médicaments.
Mes troubles de l'équilibre sont vite passés et les douleurs aux jambes et aux bras ont diminuées au fil des jours. Il faut être patiente !!!
Bisous, bon courage et garde le moral, c'est très important

J'ai eu des bolus de corticoïdes en juin (c'était la 1ère fois) et j'ai eu exactement le même traitement que toi : 3 x 1 g de solumédrol sur 3 jours et ensuite pas du tout de médicaments.
Mes troubles de l'équilibre sont vite passés et les douleurs aux jambes et aux bras ont diminuées au fil des jours. Il faut être patiente !!!
Bisous, bon courage et garde le moral, c'est très important

Tout d'abord :
Pour ce qui est de la corti, moi j'ai eu 1g pendant 3 j sauf la dernière fois, ou j'ai eu 1g pendant 5 jours... plus jamais ça !!!
Les effets secondaires étaient trop durs : courbatures, fatigue, moral... bref, je suis sortie plus malade de l'hosto qu'en y entrant...
et ça a duré plusieurs mois

Pour ce qui est de la corti, moi j'ai eu 1g pendant 3 j sauf la dernière fois, ou j'ai eu 1g pendant 5 jours... plus jamais ça !!!
Les effets secondaires étaient trop durs : courbatures, fatigue, moral... bref, je suis sortie plus malade de l'hosto qu'en y entrant...


Merci beaucoup à toutes (tous ?) pour votre chaleureux accueil !
Les news : il semblerait qu'après m'avoir amplifié les symptômes, la cortisone veuille bien améliorer les choses. Un peu moins de pertes d'équilibres, le nystagmus à peu près réglé, et la fatigue, bien qu'incommensurable, un peu en diminution elle aussi.
Le pente est douce, mais bonne
@ bientôt,
Om
Les news : il semblerait qu'après m'avoir amplifié les symptômes, la cortisone veuille bien améliorer les choses. Un peu moins de pertes d'équilibres, le nystagmus à peu près réglé, et la fatigue, bien qu'incommensurable, un peu en diminution elle aussi.
Le pente est douce, mais bonne

@ bientôt,
Om
Salut om, on m'a diagnostiqué la SEP en octobre 2004. Mon traitement dès novembre fut des bolus de cortisone (1g) : 3 fois par mois pendant 3 jours en perfs. Mon neuro voulait que je fasse 12 séances. A la 10e je lui ai dit que ça n'allait pas, que je n'étais pas bien ... il m'a arrêté le traitement pendant 6 mois, jusqu'en septembre, je n'ai rien en remplacement, pas de médicament, rien de rien. Je fais une IRM en septembre pour voir l'évolution, j'ai RV avec lui en novembre, et là je verrais ce qu'il me donne. Pour le moment ça va (j'aurais dû faire une séance fin Juin) la seule chose, c'est cette foutue fatigue constante, celle-là, elle ne lâche pas la bête !!
Donc tu vois, rien d'anormal que tu n'ai pas eu de médoc après tes bolus.
A très +
Donc tu vois, rien d'anormal que tu n'ai pas eu de médoc après tes bolus.
A très +
Hello la Compagnie !
J'aurais besoin d'un petit avis, suite à mes bolus de cortisone (3 de 1g) :
ça fait 3 semaines que je les ai eus. Sur le coup ils avaient plutôt aggravé l'état de la bête, avec des vertiges en plus, en dehors d'un mieux-être au niveau "relaxation" (j'étais shootée !)... mais au bout de qqs jours, je sentais du mieux, côté équilibre et nystagmus. Or il y a 5 jours, j'ai eu comme une régression (...déjà que les progrès étaient, certes réels, mais ténus...), dont je me remets, mais encore plus lentement qu'avant.
Ce qui fait que, 3 semaines après, je me retrouve dans un état presque équivalent à celui d'avant la cortisone (j'ai juste un peu plus d'équilibre, moins de sensibilité au bruit, presque plus de nystagmus, et une fatigue équivalente...)
d'après vous, dois-je attendre mon rendez-vous du 20 aout avec le neuro, ou bien je demande un rendez-vous "urgent" ?
Merci
Om.

ça fait 3 semaines que je les ai eus. Sur le coup ils avaient plutôt aggravé l'état de la bête, avec des vertiges en plus, en dehors d'un mieux-être au niveau "relaxation" (j'étais shootée !)... mais au bout de qqs jours, je sentais du mieux, côté équilibre et nystagmus. Or il y a 5 jours, j'ai eu comme une régression (...déjà que les progrès étaient, certes réels, mais ténus...), dont je me remets, mais encore plus lentement qu'avant.
Ce qui fait que, 3 semaines après, je me retrouve dans un état presque équivalent à celui d'avant la cortisone (j'ai juste un peu plus d'équilibre, moins de sensibilité au bruit, presque plus de nystagmus, et une fatigue équivalente...)

Merci
Om.

Merci les copines !
En fait, je mets du temps à vous répondre, non pas à cause des neurones grillés, mais parce que je croyais être avertie par mail lorsqu'une réponse était postée...
Du coup, n'ayant pas eu vos avis éclairés, j'ai appelé la neurolo gue mercredi, qui m'a filé "en extra" un rdz-vs pour ce matin 9h, qu'elle a... oublié, et oublié de signaler à la secrétaire...
======> 1h30 d'attente, et je suis passée au nez et à la barbe de patient qui avaient rendez-vous à... 10h...
on n'est plus à ça près, hein, les filles ???
1ère fois que je vois cette neurologue (la seule dans le bled où je vis depuis 2 ans).
Résultat : ben, en gros, ce que vous me disiez... + rdz-vs le 21 septembre + prescrip de Montadisc et neurotin (? j'arrive pas à lire) pour douleurs et fatigue endémique + kiné pour les jambes + et surtout, prévision d'interféron quand la poussée sera finie...
Tout ça me fait un peu flipper, car j'ai été très à l'écart de tout traitement pendant 20 ans, puisqu'après ma 1ère poussée en 86, les neurologues n'arrêtaient pas de me dire de me reposer et prendre de la vitamine B1, B6 en cas de symptômes, ce que j'ai fait. Agrémenté de relaxation et yoga, pendant un certain temps en tous cas... Au bout d'un moment, je n'allait même plus consulter ("petites" poussées en général l'été, époque de l'année où j'ai tjs peu ou pas travaillé)...
je précise qu'on a mis, à ce train-là, 18 ans à bien vouloir me dire que j'avais une SEP, alors que en 86 et les année qui suivirent, on m'a dit et répété que je n'avais pas de SEP (à l'époque, je ne savais même pas ce que c'était), même si j'avais eu une IRM (très rare, à l'époque) qui montrait des plaques...
moilà : j'envisage actuellement plus un traitement "holistique" de fond (alimentation inspirée de Kousmine, homéopathie pour "reconstituer" et "nettoyer" le terrain, phytothérapie), qu'un traitement allopathique, MAIS en même temps, je sais que le 1er, s'il réussit au moins en partie, ne réussira qu'en quelques années...
Or je bosse... et veut bosser...
KOI fèr ?
Bises,
@+
OM.
En fait, je mets du temps à vous répondre, non pas à cause des neurones grillés, mais parce que je croyais être avertie par mail lorsqu'une réponse était postée...

Du coup, n'ayant pas eu vos avis éclairés, j'ai appelé la neurolo gue mercredi, qui m'a filé "en extra" un rdz-vs pour ce matin 9h, qu'elle a... oublié, et oublié de signaler à la secrétaire...
======> 1h30 d'attente, et je suis passée au nez et à la barbe de patient qui avaient rendez-vous à... 10h...
on n'est plus à ça près, hein, les filles ???

1ère fois que je vois cette neurologue (la seule dans le bled où je vis depuis 2 ans).
Résultat : ben, en gros, ce que vous me disiez... + rdz-vs le 21 septembre + prescrip de Montadisc et neurotin (? j'arrive pas à lire) pour douleurs et fatigue endémique + kiné pour les jambes + et surtout, prévision d'interféron quand la poussée sera finie...
Tout ça me fait un peu flipper, car j'ai été très à l'écart de tout traitement pendant 20 ans, puisqu'après ma 1ère poussée en 86, les neurologues n'arrêtaient pas de me dire de me reposer et prendre de la vitamine B1, B6 en cas de symptômes, ce que j'ai fait. Agrémenté de relaxation et yoga, pendant un certain temps en tous cas... Au bout d'un moment, je n'allait même plus consulter ("petites" poussées en général l'été, époque de l'année où j'ai tjs peu ou pas travaillé)...
je précise qu'on a mis, à ce train-là, 18 ans à bien vouloir me dire que j'avais une SEP, alors que en 86 et les année qui suivirent, on m'a dit et répété que je n'avais pas de SEP (à l'époque, je ne savais même pas ce que c'était), même si j'avais eu une IRM (très rare, à l'époque) qui montrait des plaques...
moilà : j'envisage actuellement plus un traitement "holistique" de fond (alimentation inspirée de Kousmine, homéopathie pour "reconstituer" et "nettoyer" le terrain, phytothérapie), qu'un traitement allopathique, MAIS en même temps, je sais que le 1er, s'il réussit au moins en partie, ne réussira qu'en quelques années...
Or je bosse... et veut bosser...
KOI fèr ?
Bises,
@+
OM.
KOI FER ???? Si tu es comme moi, plutôt Kousmine et Co, tu ne prendras pas interféron !!!
Mais moi je ne bosse pas, j'en ai de plus en plus envie, mais tout ça est lié à la sep, dans ma tête... bizarre, mais à moi de voir clair de ce coté là, ,bref, je pense de plus en plus que c'est à chacun de trouver sa voie, tant médicale que perso, ou encore professionnelle, pour "aller mieux"...
J'ai du mal à me faire comprendre ce soir, mais, en résumé, il faut être en accord avec soi-même
(avec l'entourage : c'est une autre histoire)
Mais moi je ne bosse pas, j'en ai de plus en plus envie, mais tout ça est lié à la sep, dans ma tête... bizarre, mais à moi de voir clair de ce coté là, ,bref, je pense de plus en plus que c'est à chacun de trouver sa voie, tant médicale que perso, ou encore professionnelle, pour "aller mieux"...
J'ai du mal à me faire comprendre ce soir, mais, en résumé, il faut être en accord avec soi-même

Hello
je suis bien d'accord, mais à propos d'entourage, à part celui de mes amis, je n'en ai aucun sur lequel m'appuyer, et il est essentiel pour l'instant, que je bosse... tu m'diras, si la sep me laisse pas le choix à l'avenir... je n'aurai pô l'choix !!!
==> C'est surtout ça qui me pose problème, parce que la vision holistique, je l'ai, j'en suis convaincue, mais qu'elle est plus facile à vivre quand on a un p'tit filet de sécurité !
@+
Om.
je suis bien d'accord, mais à propos d'entourage, à part celui de mes amis, je n'en ai aucun sur lequel m'appuyer, et il est essentiel pour l'instant, que je bosse... tu m'diras, si la sep me laisse pas le choix à l'avenir... je n'aurai pô l'choix !!!

==> C'est surtout ça qui me pose problème, parce que la vision holistique, je l'ai, j'en suis convaincue, mais qu'elle est plus facile à vivre quand on a un p'tit filet de sécurité !
@+
Om.
Je comprend ton inquiétude à l'idée de reprendre un traitement après une aussi longue période d'arrêt Pour l'Interféron c'est un traitement que je tolère plutôt bien mais tout dépend aussi des personnes et rien ne t'oblige à le poursuivre s'il ne te convenait pas. Pour ce qui est de la médecine douce depuis le mois de mars j'en essai un aussi pour remédier en douceur à des infections urinaires à répétitions alors rien ne t'empêche aussi de tenter. A défaut de mieux être ça ne peu pas faire de mal et je crois à ces bienfaits qui ont souvent fait leur preuve. En tout cas et quelque soit ta décision je te souhaite bonne chance et bon courage.

Merci à toi. Je potasse et je médite la question ces jours-ci (le temps incite à ça, d'ailleurs
).
Je trouve que la neuro me "pousse" pas mal à l'interféron, prétextant que mes "petites" poussées rémittentes, soignées au repos, à la vitamine B1B6 et à la relaxation depuis 20 ans, n'ont pu que m'endommager le système nerveux, à force (il n'y avait rien pour "freiner"). Sur ce principe, je suis assez d'accord, mais là où je ne suis pas a priori d'accord avec elle, c'est de considérer que l'interferon, lui, ne fait pas dégâts (long terme) sur le corps...
Ma façon de me soigner jusqu'à maintenant n'a fait aucun dégât sur mon corps, au contraire. Je peut l'affirmer haut et fort..
@+
Om.

Je trouve que la neuro me "pousse" pas mal à l'interféron, prétextant que mes "petites" poussées rémittentes, soignées au repos, à la vitamine B1B6 et à la relaxation depuis 20 ans, n'ont pu que m'endommager le système nerveux, à force (il n'y avait rien pour "freiner"). Sur ce principe, je suis assez d'accord, mais là où je ne suis pas a priori d'accord avec elle, c'est de considérer que l'interferon, lui, ne fait pas dégâts (long terme) sur le corps...
Ma façon de me soigner jusqu'à maintenant n'a fait aucun dégât sur mon corps, au contraire. Je peut l'affirmer haut et fort..

@+
Om.
De toute façon, les docteurs disent bien que tout ttt a des effets néfastes
car, savez-vous que la définition d'un médicament n'est exacte que si celui-ci a une TOXICITE ?!!!!!
(je suis d'accord avec ta signature OM, le lâcher-prise......... j'y arrive pas, c'est pas faute d'avoir des techniques, mais j'y arrive pas, ou alors si j'y arrive un peu le jour, c'est la nuit que tout ça se remet en route, et je me réveille encore plus fatiguée à cause de tous ces rêves qui reflètent tout ce qui me tracasse en journée de la vie réelle.............)




(je suis d'accord avec ta signature OM, le lâcher-prise......... j'y arrive pas, c'est pas faute d'avoir des techniques, mais j'y arrive pas, ou alors si j'y arrive un peu le jour, c'est la nuit que tout ça se remet en route, et je me réveille encore plus fatiguée à cause de tous ces rêves qui reflètent tout ce qui me tracasse en journée de la vie réelle.............)
Ben dis-donc, je savais pas, pour la définition du médicament... comme tu dis, c'est édifiant ! Ca institutionnalise la vision "anti-globale" et "court terme" de l'allopathie, ça !
Pour ce qui est du lâcher-prise, Gis, et bien... c'est un travail sur 20 ans, en ce qui me concerne... pour moi, il est évident que ça a contribué à éviter les traitements "agressifs" pendant cette période.
J'avais commencé la relaxation après ma 1ère poussée à 20 ans (réduite à l'état de légume ; plus rien ne fonctionnait, des pieds à la tête). Puis qqs années après, j'ai fait du yoga.
Mais comme une conne, j'ai arrêté tout ça il y a environ 6 ans, et c'est une des causes à ma poussée actuelle, c'est évident.
Intellectuellement et professionnellement, me suis aussi bcp remise en question. J'ai relativisé beaucoup de choses pendant ces 15 dernières années.
Mes collègues actuels sont sidérés de la façon dont je n'angoisse pas par rapport à ce qui m'arrive. C'est à moi de les calmer...
Par contre, je n'ai jamais soigné mon régime alimentaire, et ai fumé 14ans sur 20 ! Là, au vu de ma poussée actuelle :
j'ai repris yoga et relaxation (du coup, des collègues veulent que je les initie), arrêté de fumer, et entamé un régime inspiré de Kousmine.
Le système nerveux n'est pas totalement revenu, mais il est évident que mon "terrain" apprécie beaucoup !
@+
Om
Pour ce qui est du lâcher-prise, Gis, et bien... c'est un travail sur 20 ans, en ce qui me concerne... pour moi, il est évident que ça a contribué à éviter les traitements "agressifs" pendant cette période.
J'avais commencé la relaxation après ma 1ère poussée à 20 ans (réduite à l'état de légume ; plus rien ne fonctionnait, des pieds à la tête). Puis qqs années après, j'ai fait du yoga.
Mais comme une conne, j'ai arrêté tout ça il y a environ 6 ans, et c'est une des causes à ma poussée actuelle, c'est évident.
Intellectuellement et professionnellement, me suis aussi bcp remise en question. J'ai relativisé beaucoup de choses pendant ces 15 dernières années.
Mes collègues actuels sont sidérés de la façon dont je n'angoisse pas par rapport à ce qui m'arrive. C'est à moi de les calmer...

Par contre, je n'ai jamais soigné mon régime alimentaire, et ai fumé 14ans sur 20 ! Là, au vu de ma poussée actuelle :
j'ai repris yoga et relaxation (du coup, des collègues veulent que je les initie), arrêté de fumer, et entamé un régime inspiré de Kousmine.
Le système nerveux n'est pas totalement revenu, mais il est évident que mon "terrain" apprécie beaucoup !
@+
Om
Bonjour !!! ho que je suis matinale, pour une fois
Revenons à nos moutons...
Je ne sais pas pourquoi mon neuro n'est pas trop d'accord pour que je fasse du yoga, il m'a dit que ça pouvait faire plus de mal que de bien
Peut-être parle-t-il "physiquement" ?
D'autres me conseillent plutôt la sophrologie, il va falloir que je me décide, de toute façon, mais tout ça a un coût aussi
Moi aussi Bulle, ça m'intéresse, raconte
Bonne journée à tout le monde

Revenons à nos moutons...
Je ne sais pas pourquoi mon neuro n'est pas trop d'accord pour que je fasse du yoga, il m'a dit que ça pouvait faire plus de mal que de bien

D'autres me conseillent plutôt la sophrologie, il va falloir que je me décide, de toute façon, mais tout ça a un coût aussi


Moi aussi Bulle, ça m'intéresse, raconte

Bonne journée à tout le monde

Je te souhaite à mon tour la bienvenue sur le forum. Tu as de lma chance d'avoir pu vivre 20 ans quasiment sans grosses poussées. Je comprends que le traitement à l'interferon te fasse peur, mais on a maintenant plus de 10 ans de recul sur ces traitements, et on constate que leur tolérance est extrêment bonne. (c'est à dire qu'on peut le prendre pendant plusieurs années sans risque pour la santé). Tout ce que tu as à craindre est d'être un peu fatiguée après l'injection (impression d'avoir de la fièvre) mais les effets disparaissent au bout de quelques semaines ou mois de traitement. Et l'effet sur le progression de la maladie et du handicap est maintenant prouvé, même si ça marche mieux chez certaines personnes que chez d'autres. Je connais quelqu'un qui a commencé l'interferon il y a deux semaines, et juste après l'injection, elle fait 2h de sport intensif, et le lendemain, elle peut sortir jusqu'à 4h du matin sans souci. Juste un petit coup de pompe dans la journée, et c'est tout. Si ton neuro te propose l'interferon, je pense que tu peux profiter de cette opportunité. Après, rien ne t'empêche de continuer une méthode alternative, type régime ou yoga, mais avoir un filet de sûreté est quand même plus rassurant, comme tu le dis toi-même.
Bon courage dans tous tes choix
Bon courage dans tous tes choix
Je confirme les dires d'invité, aucun problème en ce qui me concerne avec l'Interféron
Traitement qui a déjà fait ses preuves en effet
qd à la médecine alternative hélas je ne peux pas vous en dire gd chose pour le moment n'ayant pas encore assez de recule pour en ressentir de manière concrète les bienfaits. Pas vraiment d'amélioration en ce qui concerne mes problèmes urinaires mais peut être qd même une légère diminution des bouffées de chaleurs grace à la Valeriane (désagrément de la ménopause)



Merci de me "rassurer", invité ;o)
Il est vrai que j'ai du mal à croire qu'un traitement qui agit allopathiquement au niveau des cellules ne puisse pas avoir de conséquences sur l'ensemble de corps. Ce serait une première. Ca a au mimimum une action oxydante, comme n'importe quel médicament.
Tu me dis que l'interferon, ça fait 10 ans.
En fait, quand on voit les ravages faits par la cortisone à la suite de sa découverte (on la prescrivait à tire larigo), qui fait qu'on la prescrit avec parcimonie maintenant, j'ai un peu cette impression du cadeau empoisonné avec l'interferon aussi, qui pourrait cacher de mauvaises surprises.
D'autant que ce sont des labos qui doivent des comptes à des actionnaires qui fabriquent ces médicaments, et en divulguent les résultats.
Bref, je me tate encore... ah lala... l'affaire n'est pas simple...
Une question : quand on en prend, c'est à vie, ou bien y a-t-il des coupures dans le traitement ?
Gis : cé pa possib que le yoga fasse du mal, ou alors cé pa du yoga que pratik le patient !!!
Om
Il est vrai que j'ai du mal à croire qu'un traitement qui agit allopathiquement au niveau des cellules ne puisse pas avoir de conséquences sur l'ensemble de corps. Ce serait une première. Ca a au mimimum une action oxydante, comme n'importe quel médicament.
Tu me dis que l'interferon, ça fait 10 ans.
En fait, quand on voit les ravages faits par la cortisone à la suite de sa découverte (on la prescrivait à tire larigo), qui fait qu'on la prescrit avec parcimonie maintenant, j'ai un peu cette impression du cadeau empoisonné avec l'interferon aussi, qui pourrait cacher de mauvaises surprises.
D'autant que ce sont des labos qui doivent des comptes à des actionnaires qui fabriquent ces médicaments, et en divulguent les résultats.
Bref, je me tate encore... ah lala... l'affaire n'est pas simple...
Une question : quand on en prend, c'est à vie, ou bien y a-t-il des coupures dans le traitement ?
Gis : cé pa possib que le yoga fasse du mal, ou alors cé pa du yoga que pratik le patient !!!

Om
Comment définis-tu "action oxydante" ? J'avoue avoir du mal à comprendre pourquoi tous les médicaments le seraient. Pour moi, l'oxydation est un phénomène chimique qui n'est pas lié spécialement aux médicaments. Par exemple, la respiration est une action oxydante en elle-même : l'oxygène que nos cellules utilisent est un des plus puissants oxydants qui existent.
L'interféron est une protéine naturellement produite par notre corps (on a tous de l'interféron dans les veines
), cette protéine a une action sur le système immunitaire, en temps normal pour nous aider par exemple à combattre des virus ou d'autres agressions. Le fait de l'administrer en traitement est juste une augmentation de la dose, mais ce n'est pas un truc "chimique" comme on nous le dit trop souvent.
Au sujet du retour d'expérience sur l'interferon, je suis conscient que des erreurs ont pu être commises, par exemple avec la cortisone. Néanmoins, je parle de 10 ans pour les prescriptions officielles, mais les tests avaient déjà démarré avant. Qui plus est, le suivi médicale de ce genre de médicaments a énormément progressé : la cortisone que tu cites a été découverte en 1952 : à l'époque, les réseaux internationaux de médecins étaient beaucoup moins développés, l'information et les études beaucoup moins performantes et rigoureuses. On connaissait à peine l'effet placebo, par exemple. Aujourd'hui, les essais cliniques sont internationaux, et suivis par des milliers de médecins. Par exemple, la publication des résultats de tests dans les revues neurologiques est toujours soumise à un collège de médecins qui vérifie la rigueur du test et le bien-fondé des méthodes employées. Les "mauvaises surprises" ont une probabilité extrêment faible à l'heure actuelle. Bien sûr, on peut répondre "oui mais tout est possible", néanmoins, il faut évaluer le rapport bénéfice contre risque. Est-ce que ça vaut le coup de se priver d'un traitement qui fonctionne sur la maladie, au prix d'un éventuel effet secondaire extrêment peu probable ? Je dis bien extrêmement peu, puisqu'il n'aurait pas été remarqué sur les centaines de milliers de personnes traitées à l'interféron dans le monde, pedant 10 ans.
On entend souvent aussi des craintes au sujet de la partialité des laboratoires qui ont de gros enjeux financiers dans les produits qu'ils testent. Néanmoins, il faut rappeler que les tests ne sont pas conduits exclusivement par les labos dans leur coin : des médecins y participent, dans de nombreux centres hospitaliers, et ce sont eux, pas les labos, qui récoltent les données. Bien sûr qu'il y a des enjeux financiers derrière, mais tous ses résultats sont épluchés au peigne fin apr les commissions de sécurité sanitaire : c'est à ça que servent la FDA américaine, l'AFSSAPS française, l'EMEA européenne, etc. Et elles n'ont pas d'intérêt financier dans l'affaire. J'ai l'habitde dans ce genre de débat de citer un exemple d'une étude clinique complémentaire concernant l'un des interferons (je ne sais plus lequel) qui, d'après le labo qui l'avait commandée, devait prouver que son produit était plus efficace qu'un autre. Ca n'a pas été le cas (les deux produits avaient une efficacité comparable), le labo a été supris, mais a tout de même publié les résultats lui-même. Tout n'est pas noir dans le monde pharmaceutique.
En ce qui concerne la durée du traitement, je crois que généralement, si ça se passe bien, ça dure au moins deux ans, pour laisser le temps de faire de l'effet. Ensuite, tant que ça marche, on continue. En tous cas, c'est ce qu'a dit la neuro de ma copine, et ce qu'on trouve partout sur le web. Mais si tu veux arrêter au bout d'un moment, personne ne t'en empêchera, on ne peut pas t'obliger à suivre un traitement. En revanche, je ne crois pas que faire des "pauses" soit recommandé. Chez certaines personnes, il faut un peu de temps pour s'habituer aux effets secondaires, c'est donc dommage d'arrêter, et de devoir se réhabituer plus tard. Si j'étais toi, je sauterais sur l'occasion de le prendre : tu verras de nombreux témoignages sur ce forum ou ailleurs, qu'on peut prendre de l'interféron en menant une vie parfaitement normale. Et rien ne t'empheà côté de faire du yoga ou de la sophrologie.

L'interféron est une protéine naturellement produite par notre corps (on a tous de l'interféron dans les veines

Au sujet du retour d'expérience sur l'interferon, je suis conscient que des erreurs ont pu être commises, par exemple avec la cortisone. Néanmoins, je parle de 10 ans pour les prescriptions officielles, mais les tests avaient déjà démarré avant. Qui plus est, le suivi médicale de ce genre de médicaments a énormément progressé : la cortisone que tu cites a été découverte en 1952 : à l'époque, les réseaux internationaux de médecins étaient beaucoup moins développés, l'information et les études beaucoup moins performantes et rigoureuses. On connaissait à peine l'effet placebo, par exemple. Aujourd'hui, les essais cliniques sont internationaux, et suivis par des milliers de médecins. Par exemple, la publication des résultats de tests dans les revues neurologiques est toujours soumise à un collège de médecins qui vérifie la rigueur du test et le bien-fondé des méthodes employées. Les "mauvaises surprises" ont une probabilité extrêment faible à l'heure actuelle. Bien sûr, on peut répondre "oui mais tout est possible", néanmoins, il faut évaluer le rapport bénéfice contre risque. Est-ce que ça vaut le coup de se priver d'un traitement qui fonctionne sur la maladie, au prix d'un éventuel effet secondaire extrêment peu probable ? Je dis bien extrêmement peu, puisqu'il n'aurait pas été remarqué sur les centaines de milliers de personnes traitées à l'interféron dans le monde, pedant 10 ans.
On entend souvent aussi des craintes au sujet de la partialité des laboratoires qui ont de gros enjeux financiers dans les produits qu'ils testent. Néanmoins, il faut rappeler que les tests ne sont pas conduits exclusivement par les labos dans leur coin : des médecins y participent, dans de nombreux centres hospitaliers, et ce sont eux, pas les labos, qui récoltent les données. Bien sûr qu'il y a des enjeux financiers derrière, mais tous ses résultats sont épluchés au peigne fin apr les commissions de sécurité sanitaire : c'est à ça que servent la FDA américaine, l'AFSSAPS française, l'EMEA européenne, etc. Et elles n'ont pas d'intérêt financier dans l'affaire. J'ai l'habitde dans ce genre de débat de citer un exemple d'une étude clinique complémentaire concernant l'un des interferons (je ne sais plus lequel) qui, d'après le labo qui l'avait commandée, devait prouver que son produit était plus efficace qu'un autre. Ca n'a pas été le cas (les deux produits avaient une efficacité comparable), le labo a été supris, mais a tout de même publié les résultats lui-même. Tout n'est pas noir dans le monde pharmaceutique.
En ce qui concerne la durée du traitement, je crois que généralement, si ça se passe bien, ça dure au moins deux ans, pour laisser le temps de faire de l'effet. Ensuite, tant que ça marche, on continue. En tous cas, c'est ce qu'a dit la neuro de ma copine, et ce qu'on trouve partout sur le web. Mais si tu veux arrêter au bout d'un moment, personne ne t'en empêchera, on ne peut pas t'obliger à suivre un traitement. En revanche, je ne crois pas que faire des "pauses" soit recommandé. Chez certaines personnes, il faut un peu de temps pour s'habituer aux effets secondaires, c'est donc dommage d'arrêter, et de devoir se réhabituer plus tard. Si j'étais toi, je sauterais sur l'occasion de le prendre : tu verras de nombreux témoignages sur ce forum ou ailleurs, qu'on peut prendre de l'interféron en menant une vie parfaitement normale. Et rien ne t'empheà côté de faire du yoga ou de la sophrologie.
Merci pour tous ces avis sur la question !
Je ne savais pas que l'interferon est naturel.
Cela dit, la cortisone aussi, et c'est pour elle aussi une question de (sur-)dosage. Or on évite de la prescrire au long cours.
Quand je parle d'action oxydante, je pourrais dire aussi "acidifiante"... même les "allopathes" le reconnaissent, le "médicament" en général acidifie le corps (certains plus que d'autres). C'est moins le cas de l'homéopathie. Or, nous sommes tous trop "acides" à cause de notre alimentation appauvrie (en oligo-éléments, vitamines), de la pollution, du stress... les malades encore plus...
Ce que tu dis sur les bataillons de contrôles et d'experts au niveau international a tendance à presque... me convaincre.
)
J'ai encore un petit frein, dû à l'expérience du nuage de Tchernobil dont de grands experts nous disaient qu'il ne passerait pas les frontières de la france, le sang contaminé dont d'éminents médecins nous disaient qu'il était impossible que cela existât, des poulets à la dioxine et autres vaches folles pour lesquels des nutritionnistes avaient été appelés, etc..
Quand y a du fric, y a plus d'raison, et les collègues transfontaliers ont tendance à s'entendre....
Je suis un peu convaincue par ton raisonnement sur les probabilité.
Ce qui me rend réticente, c'est une question de logique personnelle : si j'entame un travail de terrain avec homéopathie/phyto/yoga (déjà entamé cet été d'ailleurs), je n'ai pas envie de voir ce travail (qui est déjà du long terme) se faire détruire au fur et à mesure par une allopathie agressive pour le corps (oui, je sais que tu doutes de l'agressivité de l'interferon).
Le travail de reconstruction du terrain est globalement ce qui permet d'alcaliniser le corps (revenir à un PH équilibré), or l'allopathie acidifie (PH déséquilibré, facteur de troubles)...
retour à la case départ...
@+
OM
Je ne savais pas que l'interferon est naturel.
Cela dit, la cortisone aussi, et c'est pour elle aussi une question de (sur-)dosage. Or on évite de la prescrire au long cours.
Quand je parle d'action oxydante, je pourrais dire aussi "acidifiante"... même les "allopathes" le reconnaissent, le "médicament" en général acidifie le corps (certains plus que d'autres). C'est moins le cas de l'homéopathie. Or, nous sommes tous trop "acides" à cause de notre alimentation appauvrie (en oligo-éléments, vitamines), de la pollution, du stress... les malades encore plus...
Ce que tu dis sur les bataillons de contrôles et d'experts au niveau international a tendance à presque... me convaincre.

J'ai encore un petit frein, dû à l'expérience du nuage de Tchernobil dont de grands experts nous disaient qu'il ne passerait pas les frontières de la france, le sang contaminé dont d'éminents médecins nous disaient qu'il était impossible que cela existât, des poulets à la dioxine et autres vaches folles pour lesquels des nutritionnistes avaient été appelés, etc..
Quand y a du fric, y a plus d'raison, et les collègues transfontaliers ont tendance à s'entendre....
Je suis un peu convaincue par ton raisonnement sur les probabilité.
Ce qui me rend réticente, c'est une question de logique personnelle : si j'entame un travail de terrain avec homéopathie/phyto/yoga (déjà entamé cet été d'ailleurs), je n'ai pas envie de voir ce travail (qui est déjà du long terme) se faire détruire au fur et à mesure par une allopathie agressive pour le corps (oui, je sais que tu doutes de l'agressivité de l'interferon).
Le travail de reconstruction du terrain est globalement ce qui permet d'alcaliniser le corps (revenir à un PH équilibré), or l'allopathie acidifie (PH déséquilibré, facteur de troubles)...
retour à la case départ...

@+
OM
J'aime bien ce sujet, il me permet de découvrir pas mal de choses sur l'homéopathie, que je connais assez mal. En ce qui concerne la prétendue acidité engendrée par les traitements allopathiques, il faut toujours se méfier des termes scientifiques utilisés à mauvais escient (attention, je en traite pes les homéopathes de charlatans, ne me faites pas dire que ce je n'ai pas dit). Ce n'est pas parce qu'un médicament est acide qu'il est néfaste : nous contenons tous des substances plus ou moins acides à l'intérieur de notre corps : par exemple, la vitamine C est un acide (acide ascorbique), notre estomac contient de l'acide chlorhydrique, une des acides les plus puissants qui soient (essayez de vous mettre de l'acide chlorhydrique sur la main, vous verrez l'effet). Même certaines substances recommandées par les naturopathes sont des acides (exemple : l'acide linoléique est un acide, comme son nom l'indique). Le corps humain est une machine complexe qu'on ne peut pas résumer à une valeur unique de pH. (ce serait trop simple
: il faut toujours se méfier des théories trop simples
) Cetaines parties du corps sont acides, d'autres sont alclaines (basiques). Et le manque de vitamine n'a pas forcément de lien avec l'acidité générale du corps : si tu prends 15g d'acide ascorbique par jour (autrement dit, de la vitamine C), je ne suis pas sûr que ton corps va subitement devenir alcalin. C'est pareil que les vitamines B5 et B9 qui sont aussi des acides. En ce qui concerne les oligo-éléments, la plupart sont des métaux (zinc, fer, selenium...) ou des ions (calcium, magnésium) qui ne sont ni acides, ni basiques. Par ailleurs, le corps humain étant une machine très complexe, on peut absorber une substance acide, et déclencher des réactions très compliquées de notre métabolisme, aboutissant à la destruction de la substance acide ou pourquoi pas à la production d'une substance très basique : on ne sait pas comment le corps réagit à telle ou telle substance. Par exemple, consommer du sucre en grande quantité pourrait laisser à penser que dans les minutes qui suivent, le sang devient plus riche en sucre, mais en fait c'est l'inverse qui se produit : juste après avoir mangé du sucre, le sang s'appauvrit beaucoup en sucre, et la situation se rééquilibre au bout de quelques temps.
Qui plus est, les solutions contenant les interférons (dans les seringues) n'ont pas toutes le même pH : les solution de rebif et d'avonex sont légèrement acides (pH 4.5 environ, je crois), tandis que le Betaferon est légèrement alcalin (pH 7.2). Un générique d'interferon qui arrivera bientôt sur le marché sera quant à lui de pH neutre. Et l'acidité de ces traitements ne préjuge en rien de leurs effets secondires ou de leur tolérance. La seule chose que cela peut éventuellement changer est une légère douleur au point d'injection, variable selon les personnes (je connais quelqu'un sous Avonex qui ne sent rien à la piqûre, malgré l'acidité du produit)
Tu peux tout à fait entreprendre une approche avec un homéopathe tout en prenant de l'interféron. Je ne sais pas si ce sera efficace (je ne donnerai pas mon point de vue sur l'homéopathie ici, ce n'est pas le sujet), mais connaissant la chose de loin, ça ne pourra de toute façon pas te faire de mal. Si en revanche un homéopathe te dissuade de prendre de l'interféron simultanément, ou te fait culpabiliser de prendre un traitement allopathique, c'est là qu'il faut te méfier : ce genre de pratique est dangereuse. Je suis sûr en revanche qu'un bon médecin à qui tu expliques que tu voudrais faire du yoga ou de l'homéopathie tout en prenant ton intérféron te demandera quels produits tu comptes prendre et vérifiera qu'il n'y a pas d'interactions éventuellement dangereuses avec l'intérféron (pour l'homéopathie, ça ne risque pas, mais peut-être avec la phytothérapie). Et comme le rappelle la société de la sep du Canada, ce qui est naturel n'est pas forcément sans danger : un traitement phytotérapique peut être aussi très agressif pour le corps (rappelons que certaines plantes contiennent des principes actifs très puissants, ou des poisons violents)
En ce qui concerne les polémiques auxquelles tu fais allusion, j'avoue ne pas trop être au courant de celles sur le sang contaminé ou sur la dioxine, en revanche, je peux parler un peu de celle sur Tchernobyl, même si ça sort du sujet. Il y a eu effectievement des cafouillages en matière de communication publique, mais qui relèvent plus de l'erreur d'appréciation que de la volonté manifeste de cacher la vérité, en tous cas en ce qui concerne la France (je ne parle pas des autorités russes, bien sûr...). Il faut rappeler que la phrase souvent citée "le nuage ne traversera pas la frontière" a été prononcée par une présentatrice météo. Elle trouvait en effet amusant de mettre un petit "stop" sur sa carte au niveau de la frontière, pour montrer que grâce à l'anticyclone des açores, le nuage n'avancerait pas. Ce qui s'est révélé faux au final, puisque l'anticyclone s'est affaibli. Cette fameuse phrase n'a jamais été prononcée par un expert. (moi aussi, ça m'a étonné quand je l'ai découvert)
Je reconnais bien sûr qu'il peut y avoir des erreurs, comme certaines des polémiques ayant eu lieu sur des mdicaments, et des trucs pas jolis-jolis qui auraient pu être commis pour diverses raisons (argent ou autre). Tout n'est pas blanc ou noir, hélas. Néanmoins, ces pratiques ne sont pas réservées à la médecine allopathique. Il existe aussi des charlatans du côté homéopathique ou naturopathique : certaines personnes n'hésitent pas à profiter de la détresse de leurs patients pour vendre des traitements hors de prix à travers de petites associations, des cliniques privées ou tout simplement en vendant leurs livres. Là non plus, de ce côté, tout n'est pas blanc ou noir. Ce n'est pas parce que les structures paraissent plus familiales (associations, petites entrprises) par rapport aux grand groupes indutriels qu'elles ne peuvent pas aboutir aux mêmes dérives.
En fin de compte, la décision t'appartient de prendre on non l'intérféron, mais rappelle-toi que la probabilité est tout de même extrêmement faible (pour ne pas dire infime) qu'il y ait un effet secondaire caché, au vu de tous les résultats obtenus avec les données recueillies auprès des patients sous traitement. En tous cas, cette probabilité est infiniment plus faible que la probabilité que tes symptômes évoluent (même si celle-ci est sûrement faible également). C'est encore une histoire de bénéfice sur risque. Mieux vaut-il laisser la maladie évoluer selon une probabilité faible mais mais existante, comme tu as hélas pu le constater avec tes symptômes, ou combattre la maladie avec l'intérféron et risquer un effet secondaire éventuel que plusieurs centaines de milliers de personnes n'auraient pas eu dans le monde, cet effet secondaire caché étant donc infiniment peu peu probable ? La personne de mon entourage qui a commencé son traitement sous interféron il y a quelques temps n'a pas hésité une seule seconde, en tous cas.
J'espère t'avoir aidé dans tes choix.
PS : et désolé d'être aussi prolixe


Qui plus est, les solutions contenant les interférons (dans les seringues) n'ont pas toutes le même pH : les solution de rebif et d'avonex sont légèrement acides (pH 4.5 environ, je crois), tandis que le Betaferon est légèrement alcalin (pH 7.2). Un générique d'interferon qui arrivera bientôt sur le marché sera quant à lui de pH neutre. Et l'acidité de ces traitements ne préjuge en rien de leurs effets secondires ou de leur tolérance. La seule chose que cela peut éventuellement changer est une légère douleur au point d'injection, variable selon les personnes (je connais quelqu'un sous Avonex qui ne sent rien à la piqûre, malgré l'acidité du produit)
Tu peux tout à fait entreprendre une approche avec un homéopathe tout en prenant de l'interféron. Je ne sais pas si ce sera efficace (je ne donnerai pas mon point de vue sur l'homéopathie ici, ce n'est pas le sujet), mais connaissant la chose de loin, ça ne pourra de toute façon pas te faire de mal. Si en revanche un homéopathe te dissuade de prendre de l'interféron simultanément, ou te fait culpabiliser de prendre un traitement allopathique, c'est là qu'il faut te méfier : ce genre de pratique est dangereuse. Je suis sûr en revanche qu'un bon médecin à qui tu expliques que tu voudrais faire du yoga ou de l'homéopathie tout en prenant ton intérféron te demandera quels produits tu comptes prendre et vérifiera qu'il n'y a pas d'interactions éventuellement dangereuses avec l'intérféron (pour l'homéopathie, ça ne risque pas, mais peut-être avec la phytothérapie). Et comme le rappelle la société de la sep du Canada, ce qui est naturel n'est pas forcément sans danger : un traitement phytotérapique peut être aussi très agressif pour le corps (rappelons que certaines plantes contiennent des principes actifs très puissants, ou des poisons violents)
En ce qui concerne les polémiques auxquelles tu fais allusion, j'avoue ne pas trop être au courant de celles sur le sang contaminé ou sur la dioxine, en revanche, je peux parler un peu de celle sur Tchernobyl, même si ça sort du sujet. Il y a eu effectievement des cafouillages en matière de communication publique, mais qui relèvent plus de l'erreur d'appréciation que de la volonté manifeste de cacher la vérité, en tous cas en ce qui concerne la France (je ne parle pas des autorités russes, bien sûr...). Il faut rappeler que la phrase souvent citée "le nuage ne traversera pas la frontière" a été prononcée par une présentatrice météo. Elle trouvait en effet amusant de mettre un petit "stop" sur sa carte au niveau de la frontière, pour montrer que grâce à l'anticyclone des açores, le nuage n'avancerait pas. Ce qui s'est révélé faux au final, puisque l'anticyclone s'est affaibli. Cette fameuse phrase n'a jamais été prononcée par un expert. (moi aussi, ça m'a étonné quand je l'ai découvert)
Je reconnais bien sûr qu'il peut y avoir des erreurs, comme certaines des polémiques ayant eu lieu sur des mdicaments, et des trucs pas jolis-jolis qui auraient pu être commis pour diverses raisons (argent ou autre). Tout n'est pas blanc ou noir, hélas. Néanmoins, ces pratiques ne sont pas réservées à la médecine allopathique. Il existe aussi des charlatans du côté homéopathique ou naturopathique : certaines personnes n'hésitent pas à profiter de la détresse de leurs patients pour vendre des traitements hors de prix à travers de petites associations, des cliniques privées ou tout simplement en vendant leurs livres. Là non plus, de ce côté, tout n'est pas blanc ou noir. Ce n'est pas parce que les structures paraissent plus familiales (associations, petites entrprises) par rapport aux grand groupes indutriels qu'elles ne peuvent pas aboutir aux mêmes dérives.
En fin de compte, la décision t'appartient de prendre on non l'intérféron, mais rappelle-toi que la probabilité est tout de même extrêmement faible (pour ne pas dire infime) qu'il y ait un effet secondaire caché, au vu de tous les résultats obtenus avec les données recueillies auprès des patients sous traitement. En tous cas, cette probabilité est infiniment plus faible que la probabilité que tes symptômes évoluent (même si celle-ci est sûrement faible également). C'est encore une histoire de bénéfice sur risque. Mieux vaut-il laisser la maladie évoluer selon une probabilité faible mais mais existante, comme tu as hélas pu le constater avec tes symptômes, ou combattre la maladie avec l'intérféron et risquer un effet secondaire éventuel que plusieurs centaines de milliers de personnes n'auraient pas eu dans le monde, cet effet secondaire caché étant donc infiniment peu peu probable ? La personne de mon entourage qui a commencé son traitement sous interféron il y a quelques temps n'a pas hésité une seule seconde, en tous cas.
J'espère t'avoir aidé dans tes choix.
PS : et désolé d'être aussi prolixe

Alors,moi, vous allez vous en doutez, je ne suis pas dutout d'accord
Les effets secondaires de l'interféron sont bel et bien à prendre en compte
Je ne vais pas écrire si longuement que notre "invité" car ce débat est SI long !!! on ne s'en sort pas en fait
Chacun fait avec ses convictions, selon le rapport qu'il a avec la maladie, son neuro, son homéo, son entourage, son expérience de malades qu'il a autour de soi, ses lectures etc etc ..................
Je ne sais pas si j'ai raison de refuser l'interféron, mais en tout, seul l'avenir me le dira, et il en est de même pour ceux qui en prenne...
Et oui, il faut savoir que le corps médical n'a pas les moyens (ou la volonté ) de faire des tests sur qqs personnes pendant 50 ans, et encore moins sur plusieurs générations !!! parole de neuro ALORS on aura encore les mêmes conversations dans un siècle si mon cas n'est pas pris en considération... et oui il faut bien le reconnaître !!! seul les labos financent ce genre de recherche... sur les patients qui acceptent leurs règles
c la vie 
(Bon je dois encore préciser que mon état me permet de faire de ce choix mais si j'avais accepté ya 5 ans, soit dès le début de la maladie un ttt de fond, est-ce que je serai dans le même état ??? nul ne le saura...)
Le choix, dans tous les cas, n'est pas simple, et à choisir... j'aurai po choisi la sep !!!!!!

Les effets secondaires de l'interféron sont bel et bien à prendre en compte

Je ne vais pas écrire si longuement que notre "invité" car ce débat est SI long !!! on ne s'en sort pas en fait

Chacun fait avec ses convictions, selon le rapport qu'il a avec la maladie, son neuro, son homéo, son entourage, son expérience de malades qu'il a autour de soi, ses lectures etc etc ..................
Je ne sais pas si j'ai raison de refuser l'interféron, mais en tout, seul l'avenir me le dira, et il en est de même pour ceux qui en prenne...
Et oui, il faut savoir que le corps médical n'a pas les moyens (ou la volonté ) de faire des tests sur qqs personnes pendant 50 ans, et encore moins sur plusieurs générations !!! parole de neuro ALORS on aura encore les mêmes conversations dans un siècle si mon cas n'est pas pris en considération... et oui il faut bien le reconnaître !!! seul les labos financent ce genre de recherche... sur les patients qui acceptent leurs règles


(Bon je dois encore préciser que mon état me permet de faire de ce choix mais si j'avais accepté ya 5 ans, soit dès le début de la maladie un ttt de fond, est-ce que je serai dans le même état ??? nul ne le saura...)
Le choix, dans tous les cas, n'est pas simple, et à choisir... j'aurai po choisi la sep !!!!!!

Le retour qu'on a des 10-15 ans d'interferon provient surtout des associations de neurologues ou des organismes collectant des données sur les patients sous interféron depuis longtemps, davantage que des laboratoires, qui généralement, ne suivent pas à long terme les patients traités (en tous cas pas sur des périodes aussi longues). Et effectivement, on ne peut pas faire d'études qui durent 50 ans. Pourquoi ? Il suffit de se mettre à la place des patients atteints de maladies telles que la sep : apprécieriez-vous qu'on vous dise : "oui, on sait que ce traitement fonctionne bien sur la maladie, on a vu que pendant 10 ans, les malades se portent mieux, mais on va faire des études pendant 40 ans pour être sûrs qu'il n'y a vraiment aucun effet secondaire caché, bien qu'on en soit presque sûr. Si vous voulez être soigné, revenez nous voir dans 40 ans, parce que tant qu'on est pas sûr à 100%, on ne peut pas commercialiser." C'est humainement impensable, et la médecine doit trouver un compromis entre le degré de certitudes atteint en un certain temps sur un produit, et le bénéfice qu'il pourrait apporter pendant ce même laps de temps. Aujourd'hui déjà, plus d'une dizaine d'années s'écoulent entre les premières études sur un produit et sa commercialisation, ce qui laisse déjà un certain temps pour en apprécier les effets.Et oui, il faut savoir que le corps médical n'a pas les moyens (ou la volonté ) de faire des tests sur qqs personnes pendant 50 ans, et encore moins sur plusieurs générations !!! parole de neuro ALORS on aura encore les mêmes conversations dans un siècle si mon cas n'est pas pris en considération... et oui il faut bien le reconnaître !!! seul les labos financent ce genre de recherche...
Prenons un autre exemple : l'aspirine. Nous en avons quasiment tous pris au moins une ou deux fois dans notre vie (une seule fois pour moi qui y suis allergique...). Qu'est ce qui nous prouve que ce médicament en apparence anodin n'a pas des effets à long terme ou des effets graves sur une très petite proportion nombre de personnes ? Pourtant nous en prenons sans nous poser cette question à chaque fois. Je sais qu'on a beaucoup moins de recul pour l'interféron, mais le problème est le même. C'est encore ce rapport du bénéfice sur le risque. Nous prenons tous un risque en avalant un comprimé d'aspirine. Mais celui-ci est tellement minable que nous ne nous en soucions pas. Si je pouvais vous donner des chiffres précis concernant les probabilités de risque associés à l'interféron (ou à l'aspirine), je le ferais, mais je ne les connais pas. Je me contente de donner des ordres de grandeur connus de ce genre de risque, et vous laisse prendre le soin de placer vous-même votre seuil. C'est aussi à ça que servent les études, et l'avis de nos médecins. C'est toujours à cause de ce même rapport bénéfice/risque qu'on ne prescrit pas le tysabri à tout le monde. Ce ne sont que des probabilités, donc il y a toujours une chance, si infime et maîtrisée soit-elle qu'on ait tort. Mais peut-être y a-t-il une chance sur un milliard de milliards de milliards que l'aspirine nous rende tous stériles au bout de 15 générations, et pourtant nous acceptons ce risque. Parce qu'il est infime.
gis a écrit :
Chacun fait avec ses convictions, selon le rapport qu'il a avec la maladie, son neuro, son homéo, son entourage, son expérience de malades qu'il a autour de soi, ses lectures etc etc ..................
Chacun choisit en son âme et conscience, effectivement, et je ne veux pas vous dire lequel des deux choisir. Simplement, comme tu le fais remarquer à juste titre, gis, on fait son choix selon son rapport à la maladie, son entourage et ses lectures, en gros, la connaissance qu'on a de la maladie. Je ne fais qu'apporter le plus possible d'éléments concrets, vérifiables, prouvés rigoureusement, parce que les meilleurs choix qu'on fait sont ceux qu'on fait quand on sait, même si ce qu'on sait n'est qu'un ensemble de probabilités, ce qui, hélas, est souvent le cas. Plus on en connaît, plus on a de chances de faire le bon choix, et je pense que c'est ce qu'il faut retenir de ce débat.
Ne t’excuse pas de ta prolixité, Invité, car tu es très intéressant.
Je reprends à partir de ton avant-dernier message (vous allez trop vite, les amis
)
Sur la question du PH, je ne réduisais pas le pb du corps humain à une valeur unique. J’ai plutôt une vision holistique, et ce serait mal venu de ma part de réduire un, ou des effets, à une seule et unique cause, surtout dans un contexte complexe… Il est bien connu que les méthodes « alternatives » voient le corps (et l’univers) comme une globalité, donc un ensemble d’entités qui interagissent. Or c’est l’EQUILIBRE entre les entités qui fait que « ça roule ». Je trouve que justement, la vision allopathique, et plus généralement la vision scientifique se goure souvent lorsqu’elle essaye d’interpréter une situation en restant au niveau forcément fragmentaire de l’analyse (c’est-à-dire
Soyons clair (j’essaye en tous cas ;o) :
je ne fais pas le procès de cette vision, puisque je trouve essentiel ce qu’elle nous apprend au travers de l’observation de ce qu’on appelle le « réel ». D’autant plus que, la technologie étant de plus en plus fine, l’observation du réelle l’est aussi. C’est sur l’interprétation, et surtout sur la méthode curative axée uniquement sur une vision « mécaniste » court-terme
Il n’y a rien de pire qu’un allopathe qui fait de l’ »alternatif parce qu’il « sent » que c’est mieux. On arrive à du non-sens parce qu’il conserve sa vision « mécanico-scientiste » dans un univers qui est régi par une logique totalement différente. Par ex, il est arrivé qu’un généraliste ou même un neurologue me prescrivent des plantes pour mon système nerveux ou mon tonus, sans se préoccuper de mon « terrain » en général, or il y avait de quoi se préoccuper par ailleurs.
Evidemment, là on va me sortir la fameuse phrase : « ça peut pas faire de mal ».
A laquelle je réponds :
1- c’est faux, sinon cela voudrait dire qu’il n’y a pas de principe actif dans les plantes (et même les « vibrations » pour parler yoga…)
2- Par ailleurs, lorsqu’on se pique d’être logique, autant l’être jusqu’au bout, et non pas « piochotter » de temps à autre dans une pratique pour se rassurer ou rassurer le patient (je sais, cé pa facil !
)
Donc comme je le disais dans l’autre post (oulala je deviens prolixe comme Invité, moi… ;o) : « Or, nous sommes tous trop "acides" à cause de notre alimentation appauvrie (en oligo-éléments, vitamines), de la pollution, du stress » et j’aurais pu ajouter les médicaments…
en fait, je ne réduisais pas l’état du corps à un (type de) PH, mais je voulais dire que ce n’était pas la peine d’en rajouter (de l’acidité) avec les médicaments, sachant que GLOBALEMENT (mais c’est là que, je crois, nos chemins divergent, Invité, car tu DETAILLES différents types de PH) un de nos grands et fréquents déséquilibres (ce n’est pas le seul, effectivement) se marque par une acidité excessive.
Et je constate actuellement, au travers de mon yoga, de cette poussée que je fais après 20 ans, et d’un travail psycho sur moi-même, que cette acidité compte pour beaucoup dans ma SEP (je parle pour moi ; je n’oserais pas généraliser).
Je me comprends, mais suis pas sûre de l’être pour les autres… enfin, c’est un essai. ;o)
Pour Tchernobyl, j’avais 20 ans, c’était un mois avant que je ne fasse ma 1ère poussée… en d’autres termes, on peut dire que mes neurones étaient encore à peu près frais, et je me souviens très bien avoir vu et entendu des « experts » (soit frileux, soit achetés par le pouvoir en place) dire qu’il n’y avait aucun danger pour la France ! J’étais chez mes parents, et me suis esclaffée en entendant cela ! j’étais outrée, et il me semble que j’avais raison, sur ce coup-là.
Excuse-moi, Invité, mais je te trouve un peu naïf sur les magouilles d’état (si tu veux, je t’enverrai des références de journalistes d’investigation qui parlent depuis des années de magouilles de ce type, qui commencent seulement à voir le jour… ça ne concerne pas les neurones, mais c’est très intéressant lorsqu’on s’intéresse à la désinformation, aux « experts » tous type, et aux enjeux des différents pouvoirs…)
Ce que tu dis sur les charlatans possibles côté Homéo / phyto / naturo… est évident. Tout le monde s’en doute, à part les gens trop en détresse qui tombe dans leurs filets.
En ce qui me concerne, tant que j’aurai des neurones à peu près frais, il n’est pas né le naturopathe, homéopathe, ou quoiquecesoitpathe, qui m’obligera à abandonner quoique ce soit,…
Mais tout renier sous prétexte qu’il y a des charlatans ne paraît pas une démarche très honnête.
Comme tu dis, il y en a dans la médecine officielle, simplement je trouve qu’on les dénonce moins que lorsqu’il s’agit de visions et de domaines moins officiellement établis.
Par ailleurs, ce que je trouve dégueulasse, c’est quand la médecine « officielle », après avoir cogné le plus possible sur « l’alternatif », utilise certains principes de celui-i car mise au pied du mur,
ex : il y a 20 ans, quand on parlait de psycho-somatique, on était traité de sorcier, maintenant c’est dans la bouche de tous les médecins ; lorsque Kousmine parlait du terrain ou des acides gras on la traitait de follasse, et maintenant tout le monde reprend ça et en fait des choux gras, y compris des labo ayant pignon sur rue ; etc... (les neurones fatiguent, j’avais d’autres exemples, mais…)
y en encore des trucs qui me viennent par rapport à ce que tu as dit mais faut que j’aille reposer les synapses..
@+
et merci, Invité, pour tes arguments, ils m’apportent beaucoup, car, comme tu dis, « Plus on en connaît, plus on a de chances de faire le bon choix, et je pense que c'est ce qu'il faut retenir de ce débat. »
OM.
Je reprends à partir de ton avant-dernier message (vous allez trop vite, les amis

Sur la question du PH, je ne réduisais pas le pb du corps humain à une valeur unique. J’ai plutôt une vision holistique, et ce serait mal venu de ma part de réduire un, ou des effets, à une seule et unique cause, surtout dans un contexte complexe… Il est bien connu que les méthodes « alternatives » voient le corps (et l’univers) comme une globalité, donc un ensemble d’entités qui interagissent. Or c’est l’EQUILIBRE entre les entités qui fait que « ça roule ». Je trouve que justement, la vision allopathique, et plus généralement la vision scientifique se goure souvent lorsqu’elle essaye d’interpréter une situation en restant au niveau forcément fragmentaire de l’analyse (c’est-à-dire
Soyons clair (j’essaye en tous cas ;o) :
je ne fais pas le procès de cette vision, puisque je trouve essentiel ce qu’elle nous apprend au travers de l’observation de ce qu’on appelle le « réel ». D’autant plus que, la technologie étant de plus en plus fine, l’observation du réelle l’est aussi. C’est sur l’interprétation, et surtout sur la méthode curative axée uniquement sur une vision « mécaniste » court-terme
Il n’y a rien de pire qu’un allopathe qui fait de l’ »alternatif parce qu’il « sent » que c’est mieux. On arrive à du non-sens parce qu’il conserve sa vision « mécanico-scientiste » dans un univers qui est régi par une logique totalement différente. Par ex, il est arrivé qu’un généraliste ou même un neurologue me prescrivent des plantes pour mon système nerveux ou mon tonus, sans se préoccuper de mon « terrain » en général, or il y avait de quoi se préoccuper par ailleurs.
Evidemment, là on va me sortir la fameuse phrase : « ça peut pas faire de mal ».
A laquelle je réponds :
1- c’est faux, sinon cela voudrait dire qu’il n’y a pas de principe actif dans les plantes (et même les « vibrations » pour parler yoga…)
2- Par ailleurs, lorsqu’on se pique d’être logique, autant l’être jusqu’au bout, et non pas « piochotter » de temps à autre dans une pratique pour se rassurer ou rassurer le patient (je sais, cé pa facil !

Donc comme je le disais dans l’autre post (oulala je deviens prolixe comme Invité, moi… ;o) : « Or, nous sommes tous trop "acides" à cause de notre alimentation appauvrie (en oligo-éléments, vitamines), de la pollution, du stress » et j’aurais pu ajouter les médicaments…
en fait, je ne réduisais pas l’état du corps à un (type de) PH, mais je voulais dire que ce n’était pas la peine d’en rajouter (de l’acidité) avec les médicaments, sachant que GLOBALEMENT (mais c’est là que, je crois, nos chemins divergent, Invité, car tu DETAILLES différents types de PH) un de nos grands et fréquents déséquilibres (ce n’est pas le seul, effectivement) se marque par une acidité excessive.
Et je constate actuellement, au travers de mon yoga, de cette poussée que je fais après 20 ans, et d’un travail psycho sur moi-même, que cette acidité compte pour beaucoup dans ma SEP (je parle pour moi ; je n’oserais pas généraliser).
Je me comprends, mais suis pas sûre de l’être pour les autres… enfin, c’est un essai. ;o)
Pour Tchernobyl, j’avais 20 ans, c’était un mois avant que je ne fasse ma 1ère poussée… en d’autres termes, on peut dire que mes neurones étaient encore à peu près frais, et je me souviens très bien avoir vu et entendu des « experts » (soit frileux, soit achetés par le pouvoir en place) dire qu’il n’y avait aucun danger pour la France ! J’étais chez mes parents, et me suis esclaffée en entendant cela ! j’étais outrée, et il me semble que j’avais raison, sur ce coup-là.
Excuse-moi, Invité, mais je te trouve un peu naïf sur les magouilles d’état (si tu veux, je t’enverrai des références de journalistes d’investigation qui parlent depuis des années de magouilles de ce type, qui commencent seulement à voir le jour… ça ne concerne pas les neurones, mais c’est très intéressant lorsqu’on s’intéresse à la désinformation, aux « experts » tous type, et aux enjeux des différents pouvoirs…)
Ce que tu dis sur les charlatans possibles côté Homéo / phyto / naturo… est évident. Tout le monde s’en doute, à part les gens trop en détresse qui tombe dans leurs filets.
En ce qui me concerne, tant que j’aurai des neurones à peu près frais, il n’est pas né le naturopathe, homéopathe, ou quoiquecesoitpathe, qui m’obligera à abandonner quoique ce soit,…
Mais tout renier sous prétexte qu’il y a des charlatans ne paraît pas une démarche très honnête.
Comme tu dis, il y en a dans la médecine officielle, simplement je trouve qu’on les dénonce moins que lorsqu’il s’agit de visions et de domaines moins officiellement établis.
Par ailleurs, ce que je trouve dégueulasse, c’est quand la médecine « officielle », après avoir cogné le plus possible sur « l’alternatif », utilise certains principes de celui-i car mise au pied du mur,
ex : il y a 20 ans, quand on parlait de psycho-somatique, on était traité de sorcier, maintenant c’est dans la bouche de tous les médecins ; lorsque Kousmine parlait du terrain ou des acides gras on la traitait de follasse, et maintenant tout le monde reprend ça et en fait des choux gras, y compris des labo ayant pignon sur rue ; etc... (les neurones fatiguent, j’avais d’autres exemples, mais…)
y en encore des trucs qui me viennent par rapport à ce que tu as dit mais faut que j’aille reposer les synapses..
@+
et merci, Invité, pour tes arguments, ils m’apportent beaucoup, car, comme tu dis, « Plus on en connaît, plus on a de chances de faire le bon choix, et je pense que c'est ce qu'il faut retenir de ce débat. »
OM.
Décidément, ce topic est très intéressant, on y apprend plein de trucs. Je ne vais pas m'étendre davantage sur les choix de traitement, puisque je pense que tout a été dit, maintenant, mais j'aimerais bien qu'on continue sur la vision holistique et d'autres choses de ce genre.
Ce que je ne comprends pas dans la vision holistique, c'est comment on peut obtenir de l'information sur un système entier si on ne l'étudie pas en détail. Tu parles d'équilibre. Pour moi, un équilibre fait intervenir plusieurs éléments. On compare leur participation à cet équilibre, et on regarde le total. Par exemple, l'élément A déséquilibre plutôt vers la gauche, l'élement C un peu plus vers la droite, ce qui fait que le système global penche à droite, apr exemple. (comme sur une balance, tout simplement) Ici, on a étudié chaque élément, et on a fait le total. Une valeur d'équilibre implique aussi de le caractériser par une valeur unique, ce qui me paraît incompatible avec ce que tu disais au début du parapgraphe.
Ca ramène plus globalement à une interrogation soulevée par le méthode holistique, qui n'étudie pas en détail, comme tu le fais remarquer : comment savoir ? Si on n'étudie que le système dans son ensemble, comment sait-on si influer sur une des paramètres sans vérifier que les autres ne changent pas, est responsable des effets qu'on lui prête (exemple, l'"acidité"). La science tire sa connaissance de l'étude détaillée et de la preuve scientifique. D'où la vision holistique tire sa connaissance ? (je crois que c'est la question la plus importante de ce message)
Ce débat est très intéressant, et je te remercie de m'éclairer sur les thérapies alternatives, que je connais assez peu.
Ici se situe ma première question : comment définis-tu une vision holistique ? J'ai l'impression que tu différencies une vision holistique d'une vision globale. Pour moi, une vision holistique (du grec olos, qui veut dire "tout") considère un système dans sa globalité. Elle est semble-t-il opposée à une vision qui considérerait ce même système comme la somme de nombreux éléments en interaction. Si on considère ce système comme un tout, comment peut-on le décrire autrement qu'avec une valeur unique ? Si on le décrit avec plusieurs valeurs, ce n'est plus une vision holistique, non ?om77777 a écrit :Ne t’excuse pas de ta prolixité, Invité, car tu es très intéressant.
Sur la question du PH, je ne réduisais pas le pb du corps humain à une valeur unique. J’ai plutôt une vision holistique, et ce serait mal venu de ma part de réduire un, ou des effets, à une seule et unique cause, surtout dans un contexte complexe…
C'est là que quelque chose m'échappe. La science décompose un système en ses éléments simples, tout simplement parce que l'étude d'un système entier est beaucoup trop compliquée et souvent impossible. En revanche, ça ne veut pas dire que ces éléments simples, quand on les remet dans l'ensemble, ne sont pas considérés par la sicience comme interagissant ensemble, au contraire. On reconstruit petit à petit le système entier en y ajoutant des "briques", et une fois qu'on sait comment chaque "brique" fonctionne, on regarde comment elle interagit avec les autres briques qu'on a déjà mises dans le système. C'est en tous cas comme ça qu'on étudie un organisme vivant : on le décompose en organes avant d'étudier tout d'un coup : on regarde comment chaque organe fonctionne, puis, une fois qu'on le sait, on étudie comment il se comporte en interaction avec les organes qu'on connaît déjà.Il est bien connu que les méthodes « alternatives » voient le corps (et l’univers) comme une globalité, donc un ensemble d’entités qui interagissent. Or c’est l’EQUILIBRE entre les entités qui fait que « ça roule ». Je trouve que justement, la vision allopathique, et plus généralement la vision scientifique se goure souvent lorsqu’elle essaye d’interpréter une situation en restant au niveau forcément fragmentaire de l’analyse
Ce que je ne comprends pas dans la vision holistique, c'est comment on peut obtenir de l'information sur un système entier si on ne l'étudie pas en détail. Tu parles d'équilibre. Pour moi, un équilibre fait intervenir plusieurs éléments. On compare leur participation à cet équilibre, et on regarde le total. Par exemple, l'élément A déséquilibre plutôt vers la gauche, l'élement C un peu plus vers la droite, ce qui fait que le système global penche à droite, apr exemple. (comme sur une balance, tout simplement) Ici, on a étudié chaque élément, et on a fait le total. Une valeur d'équilibre implique aussi de le caractériser par une valeur unique, ce qui me paraît incompatible avec ce que tu disais au début du parapgraphe.
A mon sens, ce n'est pas aprce qu'une vision est mécaniste qu'elle ne concerne que le long terme. Ou alors il me manque un élément d'argumentation que tu n'as pas précisé.C’est sur l’interprétation, et surtout sur la méthode curative axée uniquement sur une vision « mécaniste » court-terme
Je suis d'accord en ce qui conerne la phytothérapie, mais ce comportement du "ça ne peut aps vous faire de mal" s'applique plutôt à l'homéopathie, dans laquelle il n'y a aucun principe actif (par définition)1- c’est faux, sinon cela voudrait dire qu’il n’y a pas de principe actif dans les plantes (et même les « vibrations » pour parler yoga…)
C'est encore ce "globalement" que je en comprends pas. Tu dis ne pas vouloir définir une valeur unique de pH, mais dans ce cas, comment définis tu ce "globalement" ?en fait, je ne réduisais pas l’état du corps à un (type de) PH, mais je voulais dire que ce n’était pas la peine d’en rajouter (de l’acidité) avec les médicaments, sachant que GLOBALEMENT (mais c’est là que, je crois, nos chemins divergent, Invité, car tu DETAILLES différents types de PH) un de nos grands et fréquents déséquilibres (ce n’est pas le seul, effectivement) se marque par une acidité excessive.
La question suivante est une autre question que je me pose souvent quand j'entends parler de thérapies alternatives, le plus souvent par des témoignages, et c'est une question que j'aimerais souvent poser aux personnes qui témoignent : comment le sais-tu ? Autrement dit, comment sais-tu que c'est cette acidité qui est à l'origine de l'évolution de ta maladie ? Comment sais-tu que ce n'est pas autre chose qui l'a faite évoluer, un phénomène quelconque que tu ne connais pas ? Ou même tout simplement le hasard ?Et je constate actuellement, au travers de mon yoga, de cette poussée que je fais après 20 ans, et d’un travail psycho sur moi-même, que cette acidité compte pour beaucoup dans ma SEP (je parle pour moi ; je n’oserais pas généraliser).
Ca ramène plus globalement à une interrogation soulevée par le méthode holistique, qui n'étudie pas en détail, comme tu le fais remarquer : comment savoir ? Si on n'étudie que le système dans son ensemble, comment sait-on si influer sur une des paramètres sans vérifier que les autres ne changent pas, est responsable des effets qu'on lui prête (exemple, l'"acidité"). La science tire sa connaissance de l'étude détaillée et de la preuve scientifique. D'où la vision holistique tire sa connaissance ? (je crois que c'est la question la plus importante de ce message)
A l'époque, on ne savait pas du tout comment la situation allait évoluer, et on ne disposait que d'informations fragmentaires que les autorités russes avaient bien voulu communiquer, c'est à dire pas grand chose. Avec ce qu'on savait, il apparassait raisonnable de dire que le danger était minime, ce qu'il a été d'ailleurs. (j'ai rédigé un dossier cette année sur les conséquences de Tchernobyl, dans le cadre d'un de mes cours).Pour Tchernobyl, j’avais 20 ans, c’était un mois avant que je ne fasse ma 1ère poussée… en d’autres termes, on peut dire que mes neurones étaient encore à peu près frais, et je me souviens très bien avoir vu et entendu des « experts » (soit frileux, soit achetés par le pouvoir en place) dire qu’il n’y avait aucun danger pour la France ! J’étais chez mes parents, et me suis esclaffée en entendant cela ! j’étais outrée, et il me semble que j’avais raison, sur ce coup-là.
Je ne parlais que de Techernobyl, seul dossier que je connais. Il se peut qu'il y ait eu des magouilles dans le dossier de la dioxine, ou du sang contaminé, mais je ne les connais pas suffisamment pour me prononcer. Si c'est le cas, ça ne m'étonnerait pas outre mesure, je ne suis pas hérmétique à l'idée que des choses pas jolies-jolies soient faites dans notre dos par les gouvernants. Néanmoins, j'essaie de me renseigner au maximum pour ne pas classer dans le répertoire "complot et manipulation" des dossiers qui peuvent relever d'une erreur humaine, d'appréciation, ou de la paranoia de ses détracteurs.Excuse-moi, Invité, mais je te trouve un peu naïf sur les magouilles d’état (si tu veux, je t’enverrai des références de journalistes d’investigation qui parlent depuis des années de magouilles de ce type, qui commencent seulement à voir le jour… ça ne concerne pas les neurones, mais c’est très intéressant lorsqu’on s’intéresse à la désinformation, aux « experts » tous type, et aux enjeux des différents pouvoirs…)
Je ne renie rien en bloc à cause d'a priori, j'attends juste qu'on me montre que ça fonctionne, tout simplement.Mais tout renier sous prétexte qu’il y a des charlatans ne paraît pas une démarche très honnête.
C'est un défaut de la nature humaine : c'est logique qu'un point de vue admis par un grand nombre de personnes soit plus difficile à remettre en cause qu'une opinion prônée par un plus petit groupe, hélas.Comme tu dis, il y en a dans la médecine officielle, simplement je trouve qu’on les dénonce moins que lorsqu’il s’agit de visions et de domaines moins officiellement établis.
Ce débat est très intéressant, et je te remercie de m'éclairer sur les thérapies alternatives, que je connais assez peu.
Salut !
Je suis ravie que ça t'intéresse ;
moi aussi, ça m'botte.
Bon, écoute, là, je ne peux pas te répondre entièrement de suite ; j'ai pas mal de trucs à résoudre côté boulot, sachant que ma poussée n'est pas finie (le neurones sont vite à genoux)... donc je vais répondre à un rythme de tortue rhumatisante
, genre par petits bouts, mais je vais répondre..
OM.

Je suis ravie que ça t'intéresse ;
moi aussi, ça m'botte.
Bon, écoute, là, je ne peux pas te répondre entièrement de suite ; j'ai pas mal de trucs à résoudre côté boulot, sachant que ma poussée n'est pas finie (le neurones sont vite à genoux)... donc je vais répondre à un rythme de tortue rhumatisante


OM.
Heu, Invité, avant de faire du "tout holistique" (si je puis dire), tu peux me dire un peu précisément :Je ne vais pas m'étendre davantage sur les choix de traitement, puisque je pense que tout a été dit, maintenant, mais j'aimerais bien qu'on continue sur la vision holistique et d'autres choses de ce genre.
1- comment fonctionne l'Interferon au niveau des cellules nerveuses ?
2- comment il se fait que des institutions vénérables (Charcot, Inria...) admettent ne pas voir de corrélations effectives entre lésions au niveau myéline et symptômes cliniques, et dans le même temps, continuent d'admettre qu'un diagnostic SEP soit basé sur des IRM cérébrales et médullaires montrant des lésions (actives ou non) ?
Merci,
J'arrive, pour le reste.
Om