Salut à tous,
(Petit rappel: j'ai 24 ans , diagnostiqué en sept 2010, TTT Avonex 1 fois par semaine,je suis elève infirmière)
Je suis en stage actuellement en milieu hospitalier.
Je m'entend très bien avec les collègues du service
Mon soucis c'est que je ne peux pas m'empecher de leur dire que j'ai la SEP.
J'ai tjs ce besoin de dire aux personnes qui m'entoureent ce que j'ai. En plus je suis souvent fatiguée et je ne veux pas qu'on me prenne pour une fénéante alors je me donne ms je ss épuisée!
Quelle attitude avoir? Dois-je e taire et ne pas en parler au collègues que je ne reverrai pas en plus?
Merci à vous d'avance
besoin d'en parler
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Lelette
Ce besoin d'en parler est tout à fait compréhensible.
Je crois que ça dépend beaucoup de chacun et des circonstances rencontrées.
Par exemple, moi je fais du théâtre dans une troupe amateur. Certains étaient au courant, d'autres non. Et puis un jour, j'en ai eu assez de ne pas faire certains des exercices proposés (surtout à l'échauffement), ou seulement à moitié, et j'ai ressenti le besoin d'en parler. Ça n'a rien changé à nos relations depuis, mais ils sont plus attentifs : lorsque j'ai un peu de mal à me relever quand je suis assise par terre, par exemple, il y a toujours quelqu'un pour me tendre la main, alors qu'avant on attendait patiemment que "mamie" ait déplié ses jambes...
Peut-être justement parce qu'on est "une troupe", il fallait qu'ils le sachent.
C'est un peu la même situation pour toi il me semble : à tes collègues (qui plus est en milieu hospitalier !), pourquoi cacher quelque chose d'aussi important ?
D'autres sur ce forum te diront qu'ils n'en ont pas parlé. Chacun pour ses raisons propres. Mais si tu ressens l'envie de le dire, qu'est-ce qui t'en empêche ?
Je crois que ça dépend beaucoup de chacun et des circonstances rencontrées.
Par exemple, moi je fais du théâtre dans une troupe amateur. Certains étaient au courant, d'autres non. Et puis un jour, j'en ai eu assez de ne pas faire certains des exercices proposés (surtout à l'échauffement), ou seulement à moitié, et j'ai ressenti le besoin d'en parler. Ça n'a rien changé à nos relations depuis, mais ils sont plus attentifs : lorsque j'ai un peu de mal à me relever quand je suis assise par terre, par exemple, il y a toujours quelqu'un pour me tendre la main, alors qu'avant on attendait patiemment que "mamie" ait déplié ses jambes...
Peut-être justement parce qu'on est "une troupe", il fallait qu'ils le sachent.
C'est un peu la même situation pour toi il me semble : à tes collègues (qui plus est en milieu hospitalier !), pourquoi cacher quelque chose d'aussi important ?
D'autres sur ce forum te diront qu'ils n'en ont pas parlé. Chacun pour ses raisons propres. Mais si tu ressens l'envie de le dire, qu'est-ce qui t'en empêche ?