J'ai vu la semaine dernière un médecin-expert de l'éducation nationale, un généraliste très sympa qui m'a dit : "au vu des comptes rendus neurologiques et de la façon dont vous vous déplacez, je ne vais pas aller à l'encontre de ce que disent mes confrères neurologues ! Je vous accorde un an de congé longue maladie pour commencer." Merci docteur !
Heureusement d'ailleurs, parce que j'ai reçu mes cours de psycho de la fac, y a plus qu'à...
Sauf que je suis en train de faire péniblement mon bilan de fin d'activité. Recherche des papiers, des factures, des relevés de compte... Tout ce que j'aime ! Bien sûr, je suis déjà en retard, mais à vrai dire, je m'en fiche totalement.
A part ça, mon fiston, qui vivait chez son père depuis la rentrée à refusé un dimanche soir de retourner là-bas. Trop de violence, physique et verbale, d'humiliations. Il est donc à la maison depuis 15 jours. Je l'ai inscrit à l'internat dans un lycée du coin, ce qui le ravit (enfin, quelque chose d'approchant). Pris contact avec une avocate, parce que pour l'instant, c'est non-présentation d'enfant et illégalité totale... J'ai hâte que la rentrée arrive (mercredi dans le département), parce que ma petite maison est redevenue le Bronx, et il fait chauffer son ordinateur à longueur de journée

Sinon, côté santé, SEPalepied... Il paraît que 50 % des malades seulement ressentent des douleurs. Je fais malheureusement partie de ces 50 %. Mal partout (douleurs paroxystiques qu'ils appellent ça), contractions permanentes dans la jambe gauche, qui se transforment en cauchemar le soir. Mon œil gauche refait des siennes, avec maux de tête, démarche hasardeuse et équilibre précaire, sans compter cette f... fatigue qui ne me lâche que deux ou trois heures par jour.
Bref, peut-être poussée atténuée par la copaxone, peut-être juste un stress un peu violent en ce moment ? J'ai juste hâte que tout ça se termine, même si, depuis le temps que les douleurs sont là, j'ai du mal à imaginer leur absence !
Globalement, le moral reste bon, heureusement, surtout que le

Petit mot finalement assez long... Je pense à vous très fort, parce que si je me plains (ça fait du bien parfois

