est-ce le contrecoup de l'arrêt de la cortisone
Posté : 16 déc. 2012, 12:57
J'ai été une semaine sous cortisone (et j'étais au top!)
J'ai arrêté mardi. Mercredi, jeudi, vendredi, mon état s'est peu à peu dégradé. Mais depuis hier, c'est la catastrophe.
Je me sens dans un état de très très grande faiblesse. J'ai du mal à marcher, mes jambes se dérobent. J'ai du mal à lever les bras. J'ai été incapable de faire un gâteau (un bête gâteau au yaourt, hein, pas une forêt noire ou un paris-brest!) car je n'arrive pas à mélanger la pâte, je n'arrive pas à ouvrir une bouteille tant j'ai les mains et les bras faibles et tremblotants.
En fait, je me sens constamment comme si j'allais m'écrouler : j'ai déjà perdu connaissance deux fois dans ma vie, je me souviens avoir très brièvement ressenti cette sensation que "'tout lâche" (avant de m'écrouler pour de bon). Sauf que là, c'est un état constant dès que j'essaie de bouger. Et lorsque je ne bouge pas, j'ai d'insupportables brûlures dans les bras, les épaules, les jambes.
D'après vous
- est-ce le contrecoup de l'arrêt de la cortisone?
- si c'est le cas, est-ce que ça va durer longtemps? (demain soir, réunion parents-prof au lycée pour ma fille, elle serait déçue que j'y aille pas, sauf que si c'était aujourd'hui, ben ce serait même pas imaginable: une grande cour à traverser, un étage à monter, des couloirs à arpenter : tout ce que je peux pas faire aujourd'hui).
- existe-t-il un remède magique pour être opérationnelle quelques heures (tant pis pour les éventuelles conséquences après) demain, pour pouvoir conduire ma voiture et aller à cette satanée réunion ? négocier une journée de cortisone avec mon généraliste permettrait d'être ok?
Si vous avez la moindre idée, répondez moi, je cherche désespérément comment être "valide" demain soir, c'est important pour ma fille - donc pour moi.
J'ai arrêté mardi. Mercredi, jeudi, vendredi, mon état s'est peu à peu dégradé. Mais depuis hier, c'est la catastrophe.
Je me sens dans un état de très très grande faiblesse. J'ai du mal à marcher, mes jambes se dérobent. J'ai du mal à lever les bras. J'ai été incapable de faire un gâteau (un bête gâteau au yaourt, hein, pas une forêt noire ou un paris-brest!) car je n'arrive pas à mélanger la pâte, je n'arrive pas à ouvrir une bouteille tant j'ai les mains et les bras faibles et tremblotants.
En fait, je me sens constamment comme si j'allais m'écrouler : j'ai déjà perdu connaissance deux fois dans ma vie, je me souviens avoir très brièvement ressenti cette sensation que "'tout lâche" (avant de m'écrouler pour de bon). Sauf que là, c'est un état constant dès que j'essaie de bouger. Et lorsque je ne bouge pas, j'ai d'insupportables brûlures dans les bras, les épaules, les jambes.
D'après vous
- est-ce le contrecoup de l'arrêt de la cortisone?
- si c'est le cas, est-ce que ça va durer longtemps? (demain soir, réunion parents-prof au lycée pour ma fille, elle serait déçue que j'y aille pas, sauf que si c'était aujourd'hui, ben ce serait même pas imaginable: une grande cour à traverser, un étage à monter, des couloirs à arpenter : tout ce que je peux pas faire aujourd'hui).
- existe-t-il un remède magique pour être opérationnelle quelques heures (tant pis pour les éventuelles conséquences après) demain, pour pouvoir conduire ma voiture et aller à cette satanée réunion ? négocier une journée de cortisone avec mon généraliste permettrait d'être ok?
Si vous avez la moindre idée, répondez moi, je cherche désespérément comment être "valide" demain soir, c'est important pour ma fille - donc pour moi.