SEP et sodium
Posté : 20 juil. 2012, 15:01
Bonjour,
Voici un message d'une amie de l'Appart' des spasmos. Je le laisse tel quel, si quelqu'un trouve le texte intégral...
Sclérose en plaque. Découverte d’accumulation de sodium dans le cerveau des malades
Santévendredi 20 juillet 2012
Des chercheurs du Centre de résonance magnétique biologique et médicale de Marseille (CRMBM) ont mis en évidence par IRM une accumulation anormale de sodium dans le cerveau de personnes souffrant de sclérose en plaques, une première médicale mondiale.
« Pour la première fois dans le monde, on a montré chez l’homme in vivo qu’il y avait accumulation de sodium et dans quelles régions cérébrales », explique Jean-Philippe Ranjeva, professeur de neurosciences au CRMBM.
Une meilleure compréhension de la maladie
L’étude révèle des concentrations anormales de sodium dans des zones spécifiques du cerveau (tronc cérébral, cervelet, pôle temporal) chez les patients se trouvant à un stade précoce de sclérose en plaques, tandis que chez les patients à un stade plus avancé, l’accumulation de sodium se retrouve de manière diffuse dans l’ensemble du cerveau. « Il s’agit d’un marqueur de la progression de la maladie, pas d’un élément de diagnostic, mais il peut permettre de comprendre pourquoi la maladie reste stable chez certains patients pendant des années tandis qu’elle progresse très vite chez d’autres », précise le professeur Ranjeva. « À l’heure actuelle, on n’est pas capable de soigner la sclérose en plaques », rappelle-t-il.
Les symptômes
Cette pathologie touche près de 2,5 millions de personnes dans le monde, dont environ 80 000 en France. Première cause de handicap sévère non traumatique acquis chez les jeunes adultes, elle affecte majoritairement des femmes. La maladie altère la transmission des influx nerveux et peut se manifester par des symptômes très divers (engourdissement d’un membre, troubles de la vision…). Elle est à l’origine de déficits moteurs et sensitifs, de troubles de l’équilibre, de douleurs, de troubles des sphincters…
Publiée le 17 juillet sur le site internet de la revue Radiology, cette étude a été menée en collaboration avec le CHU de La Timone à Marseille et une équipe de chercheurs de Mannheim, en Allemagne
Patrick
Voici un message d'une amie de l'Appart' des spasmos. Je le laisse tel quel, si quelqu'un trouve le texte intégral...
Sclérose en plaque. Découverte d’accumulation de sodium dans le cerveau des malades
Santévendredi 20 juillet 2012
Des chercheurs du Centre de résonance magnétique biologique et médicale de Marseille (CRMBM) ont mis en évidence par IRM une accumulation anormale de sodium dans le cerveau de personnes souffrant de sclérose en plaques, une première médicale mondiale.
« Pour la première fois dans le monde, on a montré chez l’homme in vivo qu’il y avait accumulation de sodium et dans quelles régions cérébrales », explique Jean-Philippe Ranjeva, professeur de neurosciences au CRMBM.
Une meilleure compréhension de la maladie
L’étude révèle des concentrations anormales de sodium dans des zones spécifiques du cerveau (tronc cérébral, cervelet, pôle temporal) chez les patients se trouvant à un stade précoce de sclérose en plaques, tandis que chez les patients à un stade plus avancé, l’accumulation de sodium se retrouve de manière diffuse dans l’ensemble du cerveau. « Il s’agit d’un marqueur de la progression de la maladie, pas d’un élément de diagnostic, mais il peut permettre de comprendre pourquoi la maladie reste stable chez certains patients pendant des années tandis qu’elle progresse très vite chez d’autres », précise le professeur Ranjeva. « À l’heure actuelle, on n’est pas capable de soigner la sclérose en plaques », rappelle-t-il.
Les symptômes
Cette pathologie touche près de 2,5 millions de personnes dans le monde, dont environ 80 000 en France. Première cause de handicap sévère non traumatique acquis chez les jeunes adultes, elle affecte majoritairement des femmes. La maladie altère la transmission des influx nerveux et peut se manifester par des symptômes très divers (engourdissement d’un membre, troubles de la vision…). Elle est à l’origine de déficits moteurs et sensitifs, de troubles de l’équilibre, de douleurs, de troubles des sphincters…
Publiée le 17 juillet sur le site internet de la revue Radiology, cette étude a été menée en collaboration avec le CHU de La Timone à Marseille et une équipe de chercheurs de Mannheim, en Allemagne
Patrick