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Fatique trop rapide

Posté : 07 mai 2010, 23:43
par kalys
Coucou,
J'ai repris le boulot lundi matin. J'allais impec jusqu'à mercredi une fatique en fin de journée, mais ça le faisait.
Depuis, rien de va plus, jeudi j'ai eu du mal à finir ma journée.
Ce soir mon mari a voulu m'emmener au resto. Je luttais pour garder les yeux ouverts.

Je pensais pas être vraiment fatiguée aussi vite.

Neuro et médecin traitant mon permis de reprendre, mais si je me sentais épuisée, je devais arrêter.
C'est le cas. Mais, j'ai pas envie de prendre à nouveau un arrêt maladie.

Je me lève vers 6h30 ne rentre pas avant 18h30. Pas de possibilité de faire de sieste.
Je vais essayer de continuer comme ça. J'espère que ça va le faire.

Posté : 08 mai 2010, 00:02
par CELDOD
Bonsoir Kalys,
Surtout fais comme tu le sens ! Pas de culpabilité à avoir sur l'arrêt surtout quant il est nécessaire ! Ne laisse surtout personne te dire "tu vois je te l'avais dit...tu aurais dû t'arrêter...". Ecoute ton corps, écoute tes médecins et tout et tout mais surtout dis toi bien que c'est toi qui décide ! Bon courage surtout et si tu as besoin de quoi que ce soit, siffle et la solidarité normande accourt !!

Posté : 08 mai 2010, 10:05
par Lelette
Le risque à trop tirer sur la corde c'est d'être obligée de t'arrêter pour de bon. Ne pourrais-tu pas reprendre à mi-temps pour commencer et voir comment tu te sens ? (c'est sûr que sortir et bouger ne peut te faire que du bien !)

Posté : 08 mai 2010, 13:16
par Defcom
mon nero m'a bien expliquer que si j'en faisais trop,forcement le soir et aussi le lendemain dans certains cas,on passe a la caisse.
depuis,je me ménage,et quand ça ne va pas,je n'hesite pas aller voir mon medecin traitant,
Apres tout,il n'y a personne d'indispensable :wink:

Posté : 08 mai 2010, 21:37
par Kosok
La fatigue, il faut apprendre à gérer car on vit mieux. Effectivement un temps partiel peut-être une bonne solution, c 'est ce que je fais actuellement. J'ai un 80% avec une journée de télétravail à la maison ce qui m'économise un déplacement.
Si tu ne peux pas envisager un temps partiel, pense à tous les petits trucs pour essayer de grapiller du repos, être assise plutot que debout à une pause café, faire une mini sieste pour recharger les batteries, ne pas faire des courses en fin de journée etc...
Pense aussi à aller voir le médecin du travail pour demander un aménagement de ton poste de travail si c'est possible.
Et puis j'ai renoncé aux soirées, après le repas du soir, c'est repos allongé. Les sorties au restaurant , c'est toujours le midi. Je suis out à partir de 20h00 même pour des fêtes de famille, je considère que c'est aux autres de s'adapter, pas à moi car je le paye trop cher.
Avec tout ça, ça va impécable.

Posté : 09 mai 2010, 16:40
par kalys
Un mi temps, je vois ça difficilement réalisable.
Par contre, j'ai déjà penser à travailler chez moi à mon rythme.

J'attends de voir encore une semaine ou 2 et je vais proposer la chose.

Pour ce qui des courses le soir, j'y ai renoncé il y a déjà pas mal de temps. Je les fais en ligne et j'ai juste à les récupérer. Plus de caddies à pousser !

Le resto du soir, ça été le dernier.

Je dois m'adapter aussi à ce nouveau rythme
:?

fatigue

Posté : 10 mai 2010, 10:52
par lilou
moi avant mon arrte de t je devais me cacher dans un coin inoccupé pour me reposer alor il faud en parlé a la medecine du travail il y a certainement une solution fait pas comme moi car j'ai été prise pour une fainéante par les personnes qui ne le savait pas

Posté : 10 mai 2010, 19:11
par kalys
De mon côté tout le monde est au courant au boulot. Pas de coin pour la petite sieste, mais je me suis ménagée cet après midi.

Je pense c'est ce que je vais faire maintenant,en plus du coucher comme les poules.

Posté : 10 mai 2010, 19:26
par CELDOD
Coucou Kalys
Bravo, se ménager je suis persuadée que c'est une des clés pour tenir le coup ! Bon courage.

Posté : 10 mai 2010, 20:29
par Lelette
Et on s'aperçoit qu'on est en meilleure forme, qu'on s'occupe un peu plus de soi (c'est pas grand-chose, mais le simple fait de marcher moins vite, par exemple, qu'est-ce que ça fait du bien !). Le tout, c'est de ne pas oublier, parce que les mauvaises habitudes reviennent... au galop, elles !