Mathurin et Denis sont deux malades mentaux qui résident dans un hôpital psychiatrique. Un beau jour où ils passaient près de la piscine de l'hôpital, Mathurin tombe soudainement à l'eau et coule à pic. Denis saute à son tour et va chercher Mathurin au fond pour le ramener à la surface. Quand le directeur de l'hôpital apprit l'acte héroïque de Denis, il a immédiatement ordonné de le laisser sortir de l'hôpital parce qu'il le jugeait être mentalement stable à cause de cet acte de bravoure. Le Directeur va rencontrer Denis pour lui apprendre la nouvelle, il lui dit :
- Denis, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à t'apprendre ! La bonne, c'est que nous te laissons sortir de l'hôpital parce que tu as été capable d'accomplir un acte de bravoure en sauvant la vie d'une autre personne. Je crois que tu as retrouvé ton équilibre mental. La mauvaise, c'est que Mathurin s'est pendu, dans la salle de bain, avec la ceinture de sa robe de chambre.
Denis de répondre au Directeur :
- Il ne s'est pas pendu. C'est moi qui l'ai accroché là pour qu'il sèche …
- Papa, papa, pourquoi Mamie elle fait des bulles ?
- Tais toi et tire la chasse...
- Papa papa pourquoi mamy court en zig-zag dans le jardin?
- Ta queule filston tu vois bien que j'essaie de viser juste!
Un gars chez le médecin :
- C'est grave docteur ?
- J'ai une mauvaise nouvelle pour vous, vous avez un cancer.
- On peut le guérir ?
- J'ai bien peur que non...
- Aie aie aie aie !! Que dois-je faire docteur !
- Essayez les bains de boue...
- Ça va guérir mon cancer ?
- Ah ça non, mais ça vous habituera à la terre...
- Mon père m'a toujours dit de me méfier des ours.
- Ah, il était trappeur ?
- Non, zoophile
Un homme en cour, accusé d'un double meurtre et le juge dit :
- Vous êtes accusé d'avoir battu à mort votre femme avec un marteau.
Une voix dans l'assistance dit :
- Ah ! Le maudit bâtard !
Le juge continue :
- Et vous êtes aussi accusé d'avoir battu à mort votre fille avec un marteau.
Encore, une voix dans l'assistance :
- Ah ! Maudit bâtard de bâtard !
Le juge s'arrête, se retourne vers l'homme assis à l'arrière et dit :
- Monsieur, je peux comprendre votre frustration et votre dégoût face à ces crimes, mais je ne pourrai plus tolérer ces remarques de votre part. Avez-vous compris ?
L'homme dans le fond de la salle se lève et répond :
- Pendant 15 ans, j'ai vécu la porte voisine de chez lui et le maudit bâtard, à chaque fois que je lui demandais de me prêter un marteau, il disait qu'il n'en avait pas !
Qu'est-ce qu'y est noir et qui est entre la jambe d'un petit garçon ?
Michaël Jackson...
Un avion de ligne tombe dans l'eau en plein Pacifique Sud. Trois survivants seulement : le pilote, un steward et une hôtesse. Ils s'accrochent aux débris qui flottent. Après avoir dérivé pendant une semaine, ils arrivent sur une île totalement déserte. Au bout de quelques jours, ils commencent à comprendre qu'ils ne seront jamais secourus. La vie s'organise. Ils se construisent une cabane. La nature généreuse leur fournit viande, fruits, eau fraîche. Ils sont beaux, jeunes...
Après 1 mois, l'hôtesse se décide à parler aux deux autres :
- Écoutez, nous sommes seuls... peut-être pour toujours. Nous nous sommes toujours respectés, nous avons notre intimité, tout est très chouette....Mais je sens que nous souffrons d'un certain manque. Je sais que vous n'osez pas en parler, alors je le dis moi-même : je suis d'accord. Il suffit de s'arranger, par exemple, toi les jours pairs, et toi les jours impairs. S'il y a le moindre problème, on en parle.
Enchanté d'avoir pu en parler et de s'être organisé, ils passent des semaines fabuleuses. Chacun à son tour, dans un respect mutuel et une attente exemplaire, l'un les jours pairs, l'autre les jours impairs .
Malheureusement, après deux mois, la fille attrape un virus foudroyant et meurt... Les deux autres sont terriblement tristes, mais la vie se réorganise...
Au bout d'un mois, l'un des deux s'adresse à l'autre :
- Écoute vieux, le temps passe, c'est dur pour toi comme pour moi. Alors autant en parler. Je suis jeune, je suis en manque, ça ne peut pas durer comme ça. Qu'est-ce que tu en penses ?
L'autre le remercie d'avoir osé en parler et tout de suite le rassure en lui disant que c'est la même chose pour lui.
- Tu penses comme moi alors ?
- Oui, je suis d'accord, et si ça ne va pas on en parle.
- D'accord, comment on fait ? Toi les jours pairs et moi les jours impairs?
- D'accord, on essaie.
Ils passent des semaines formidables, mais un soir, l'un des deux dit à l'autre :
- Écoute, on a dit que si ça n'allait pas on en parlait. Eh bien je trouve que ça ne va plus. On est seuls, on est jeunes d'accord, mais ce qu'on fait me gène, c'est contre nature.
- Tu me rassures dit l'autre, j'allais aussi t'en parler . J'aimerais qu'on arrête. De toutes façons les sensations ne sont pas les mêmes qu'avant...
- Tu es d'accord alors
- Oui et toi
- Oui...
- Bon... on l'enterre alors ?