Rions le 200109
Posté : 20 janv. 2009, 08:39
Journal Intime
Ses annotations à ELLE :
Samedi soir je l'ai trouvé un peu étrange. On s'était mis d'accord pour aller boire un verre dans un bar. Comme j'avais passé l'après-midi avec mes copines à faire du shopping, j'ai pensé que c'était ma faute... Je suis arrivée avec un peu de retard mais lui ne m'a rien dit. Aucun commentaire.
La conversation n'était pas très soutenue, alors je lui ai proposé d'aller dans un lieu plus tranquille et intime. Nous sommes allés dans un bon restaurant, mais lui continuait à être bizarre. Il était comme absent. J'ai essayé de le dérider, tout en commençant à me demander si je pouvais ou non en être responsable. Je lui ai demandé si c'était de ma faute et il m'a répondu que je n'avais rien à voir là dedans, mais il ne m'a pas convaincu.
Pendant que nous retournions à la maison en voiture, je lui ai dit que je l'aimais comme une folle. Lui s'est limité à me serrer dans ses bras sans dire un mot. Je ne sais pas comment expliquer son comportement, il n'a pas décroché un mot... Il n'a pas dit qu'il m'aimait lui aussi...
J'étais hyper préoccupée ! Finalement nous sommes arrivés à la maison. A ce moment-là j'étais persuadée qu'il voulait me larguer. J'ai essayé de parler, mais il a allumé la télé et a commencé à la regarder l'air perdu dans ses pensées, comme s'il cherchait à m'annoncer que tout était fini entre nous.
Finalement, je me suis rendue à l'évidence et je suis allée au lit. Mais environ dix minutes après il est arrivé lui aussi et, à ma grande surprise, répondu à mes caresses, et nous avons fait l'amour, même s'il continuait à être distant, comme loin de moi. J'ai tenté une fois de plus de lui parler de notre situation, de ce qui s'était passé, mais il s'est endormi tout de suite. Je me suis mise à pleurer, et j'ai pleuré jusqu'à ce qu'enfin je m'endorme moi aussi. Je suis à peu près convaincue qu'il pensait à une autre. Ma vie est un vrai désastre.
Ses annotations à LUI :
Le PSG a perdu... Heureusement qu'au moins j'ai tiré mon coup
Un journaliste se rend au fin fond de la Russie pour y faire un reportage.
Arrivé dans un petit village isolé, il voit un vieil homme et lui demande:
- Pouvez-vous me raconter votre plus beau souvenir ?
Le vieil homme sourit et commence son histoire:
- c'est un jour, il y a très longtemps, ma chèvre s'était égarée dans la montagne. Comme c'était la tradition, tous les hommes du village s'étaient réunis pour boire de la vodka et partir à la recherche de la chèvre. Quand finalement on l'a retrouvé au petit matin, comme c'est la tradition, on a encore bu de la vodka et tous les hommes du village se sont tapés la chèvre un par un. Qu'est-ce qu'on a pu rigoler.
Le journaliste se dit que cette histoire est difficilement publiable et demande au vieil homme de lui en raconter une autre, peut-être un peu moins grossière.
Le vieil homme sourit à nouveau et dit:
- Un jour, la femme de mon voisin s'est perdue dans la montagne. Comme c'est la tradition, tous les hommes du village se sont réunis pour boire de la vodka et partir à sa recherche. Comme c'est la tradition, quand on l'a finalement retrouvée, tous les hommes du village se sont tapés la femme du voisin. On s'est bien amusé.
Le journaliste n'est pas encore convaincu et interroge le vieil homme:
- Vous n'auriez pas une histoire plus triste ?
Le vieil homme prend un air sombre et commence:
- Un jour, je me suis perdu dans la montagne...
Ses annotations à ELLE :
Samedi soir je l'ai trouvé un peu étrange. On s'était mis d'accord pour aller boire un verre dans un bar. Comme j'avais passé l'après-midi avec mes copines à faire du shopping, j'ai pensé que c'était ma faute... Je suis arrivée avec un peu de retard mais lui ne m'a rien dit. Aucun commentaire.
La conversation n'était pas très soutenue, alors je lui ai proposé d'aller dans un lieu plus tranquille et intime. Nous sommes allés dans un bon restaurant, mais lui continuait à être bizarre. Il était comme absent. J'ai essayé de le dérider, tout en commençant à me demander si je pouvais ou non en être responsable. Je lui ai demandé si c'était de ma faute et il m'a répondu que je n'avais rien à voir là dedans, mais il ne m'a pas convaincu.
Pendant que nous retournions à la maison en voiture, je lui ai dit que je l'aimais comme une folle. Lui s'est limité à me serrer dans ses bras sans dire un mot. Je ne sais pas comment expliquer son comportement, il n'a pas décroché un mot... Il n'a pas dit qu'il m'aimait lui aussi...
J'étais hyper préoccupée ! Finalement nous sommes arrivés à la maison. A ce moment-là j'étais persuadée qu'il voulait me larguer. J'ai essayé de parler, mais il a allumé la télé et a commencé à la regarder l'air perdu dans ses pensées, comme s'il cherchait à m'annoncer que tout était fini entre nous.
Finalement, je me suis rendue à l'évidence et je suis allée au lit. Mais environ dix minutes après il est arrivé lui aussi et, à ma grande surprise, répondu à mes caresses, et nous avons fait l'amour, même s'il continuait à être distant, comme loin de moi. J'ai tenté une fois de plus de lui parler de notre situation, de ce qui s'était passé, mais il s'est endormi tout de suite. Je me suis mise à pleurer, et j'ai pleuré jusqu'à ce qu'enfin je m'endorme moi aussi. Je suis à peu près convaincue qu'il pensait à une autre. Ma vie est un vrai désastre.
Ses annotations à LUI :
Le PSG a perdu... Heureusement qu'au moins j'ai tiré mon coup
Un journaliste se rend au fin fond de la Russie pour y faire un reportage.
Arrivé dans un petit village isolé, il voit un vieil homme et lui demande:
- Pouvez-vous me raconter votre plus beau souvenir ?
Le vieil homme sourit et commence son histoire:
- c'est un jour, il y a très longtemps, ma chèvre s'était égarée dans la montagne. Comme c'était la tradition, tous les hommes du village s'étaient réunis pour boire de la vodka et partir à la recherche de la chèvre. Quand finalement on l'a retrouvé au petit matin, comme c'est la tradition, on a encore bu de la vodka et tous les hommes du village se sont tapés la chèvre un par un. Qu'est-ce qu'on a pu rigoler.
Le journaliste se dit que cette histoire est difficilement publiable et demande au vieil homme de lui en raconter une autre, peut-être un peu moins grossière.
Le vieil homme sourit à nouveau et dit:
- Un jour, la femme de mon voisin s'est perdue dans la montagne. Comme c'est la tradition, tous les hommes du village se sont réunis pour boire de la vodka et partir à sa recherche. Comme c'est la tradition, quand on l'a finalement retrouvée, tous les hommes du village se sont tapés la femme du voisin. On s'est bien amusé.
Le journaliste n'est pas encore convaincu et interroge le vieil homme:
- Vous n'auriez pas une histoire plus triste ?
Le vieil homme prend un air sombre et commence:
- Un jour, je me suis perdu dans la montagne...