En avril 2007, j'effectue un stage de fin d'étude (DUT en communication et multimédia pour résumé ...), mon stage ne se passe pas bien du tout et là, grosse période de stress. J'arrive heureusement à trouver un autre stage(avec des personnes formidables ...). Donc pendant ce deuxième stage, on est début mai un jour comme ça j'ai un très grosse douleur au testicule droit, puis je commence à marché en boitant ... La douleur persiste, je vais voir mon médecin de famille et il me dit d'aller voir un urologue car d'après ces "attouchements"(désolé de l'expression

Il me dit que ce n'est rien du tout et qu'une opération n'est pas nécessaire car ils ne sont pas assez développés. Il me dit donc que la douleur que j'ai doit être une Epididymite (infection de l'épididyme). Je reçois donc un traitement pour çà pendant trois semaines, les trois semaines s'écoulent et les douleurs toujours présentes avec la même intensité. Je retourne donc le voir, il ne comprend pas et me dit qu'il faut que je me pose sur un problème de dos. Je lui répond donc que j'ai un souci au niveau L5S1 détecté lors d'un IRM en 2003.
Je passe tout l'été avec des douleurs de plus en plus atroce au testicule mais qui se propage également dans l'aine , la hanche ,la cuisse ,le genou et le pied.
Fin aout 2007 je consulte donc un ostéopathe, j'effectue 4 séance sur 10 semaine à peu près, je vais a une salle de sport uniquement une fois (une place offerte par ami) et la 3 jours après plus une seule douleur.
Je commence à travailler début novembre, travail assez physique mais mon corps réagi nickel je peux refaire tous les mouvements comme avant, même mieux qu'avant, je redécouvre ce qu'est la souplesse du dos ... Noël passe ça va toujours , moi de janvier pareil et la début février
2008 pendant mon travail je commence à avoir des décharges électriques dans le testicule dans la cuisse et le genou. De suite je me doute que le calvaire va recommencer... Et le calvaire va continuer ... Donc c'est reparti de février jusqu'à novembre avec une propagation de la douleur dans l'épaule, le bras droit et parfois dans la nuque montant au crane et des pertes de mémoires , je reconsulte donc mon médecin , je tombe sur sa remplaçante, lui explique mon histoire et elle commence a me faire des test rapides neurologiques,
je vois qu'elle a l'air inquiète, et la elle me dit votre cas m'inquiète un peu, je consulte dès ce soir un neurologue en urgences ...
Une semaine après je suis donc transmis en neurologie des tests avec des outils sont effectués(je ne sais plus le nom désolé

Une interne vient donc ensuite me voir et me dit "Monsieur on se penche vraisemblablement sur une maladie inflammatoire du système nerveux central". J'étais sous LYRICA + TOPALGIC + ZAMUDOL donc j'étais bien défoncé on va dire, j'ai pas eu le temps de poser de question ...
Donc c'est parti pour les prise de sang, IRM cérébrale en urgences( je suis passé devant beaucoup d'autre personne vu mon état "bizarre" et mon jeune âge : 23 ans). IRM cérébrale ;RIEN Résultat prise de sang :RIEN .Ils décident donc de faire une ponction lombaire dont je garde un terrible souvenir : piqué 4 fois au lieu d'une, cette ponction lombaire a été pratiqué par des internes qui vraisemblement galérer avec mon dos(sincèrement je leur en veux pas ...) puis ensuite une habituée m'a piqué la 4ème fois sans quasiment de douleur mais en touchant violemment un nerf--> très grosse décharge dans la jambe gauche

Résultat de la ponction lombaire : rien d'anormal avec quand même diagnostic faiblement positif pour la maladie de lyme (maladie du tique).
Pour être sur ils effectuent un IRM médullaire et la hop toujours négatif.
Les nausée de la ponction persiste... donc je reste un peu à l'hôpital. Vers le retour de la maison, je me sens pas bien impossible d'être assis ni debout donc couché dans la voiture ... (pas la ceinture--> pas bien ça mais la j'avais pas le choix) puis les nausées ont encore duré environ une semaine. Ensuite j'ai passé les PES qui n'ont rien détecté et une EMG qui a détecté que j'avais une compression du nerf cubital au coude droite et que les fourmillements venaient de la .Puis je recommence à travailler . Donc j'obtiens un rendez vous avec mon neurologue pour faire un bilan (17 décembre) et elle ne sait vraiment pas ce que j'ai ... elle décide donc d'augmenter tous les 5 jours mon traitement de LYRICA (qui d'ailleurs me donnaient des acouphènes) la premiere fois que je l'augmente c'est le jeudi 18 décembre le soir , le vendredi 19 au travail ça ne va pas, je fais comme un malaise avec des tremblements donc SAMU, une journée d'hospitalisation et changement de traitement. Maintenant je suis sous RIVOTRIL( dur le réveil le matin ..)Je suis encore en arrêt de travail jusqu'au 4 janvier donc dimanche qui vient.
Dans toute cette histoire ce qui m'a fait flippé c'est que quand je suis rentré chez moi et que j'ai vu via le net que la sclérose en plaque était une des maladie inflammatoire du système nerveux central , ça m'a foutu un sacré coup ...
En plus de ça j'ai vu les comtes rendus du neurologue indiquant : pas de démyélinisation donc d'un coté "sauvé" mais d'un autre coté inquiet car j'avais laissé trainé ça quand même un an et demie et que j'avais vraiment les symptômes de la SEP : grosse fatigue, fourmillements, bourdonnement, variation de l'humeur, problème pour la selle + brulure quand j'urine, obligé de "pousser pour uriner", décharges éléctriques, pertes de mémoire, troubles visuels ...
Bon voilà je vous ai raconté mon histoire (un peu longue , j'espère que ça va pas vous ennuyé

Le neurologue m'a proposé des infiltrations de cortisone le 22 janvier, donc je vous tiendrais au courant.
Merci d'avance.
Jonathan
Salut