Présentation Gwendoline
Posté : 11 juil. 2025, 13:17
Bonjour,
Je ne sais pas trop où poster donc je tente en vous remerciant pour l’ajout)
Je suis Gwendoline j’ai 40ans .
Je me permets de vous écrire car je suis un peu perdue face à ma situation médicale et j’aimerais savoir si votre association pourrait m’orienter ou me conseiller.
Il y a un peu plus d’un an, on m’a diagnostiqué un syndrome radiologiquement isolé (RIS), avec des lésions de myéline cérébrales visibles à l’IRM, mais sans atteinte médullaire et ponction lombaire positive. Je suis actuellement suivie à l’hôpital Rothschild, sans traitement pour le moment.(IRM cérébrale et médullaire tous les 6mois et examens ophtalmologiques)
Même si mon cas est qualifié de « non symptomatique » par les neurologues, je vis au quotidien des symptômes très invalidants :
de fortes intolérances à la chaleur (notamment sous la douche, avec sensation de tangage et de fourmillements),
des troubles cognitifs marqués,
une neuropathie auditive,
des diarrhées chroniques et des vomissements fréquents,avec nécessité d’injection de potassium
une fatigue intense et permanente.
Mon médecin traitant prend ces symptômes très au sérieux et les relie à mon atteinte neurologique, mais la qualification « asymptomatique » de la SEP par les spécialistes me fait douter de la légitimité de mes difficultés. Je n’ose presque plus en parler, de peur qu’on les minimise, alors qu’elles me handicapent véritablement dans ma vie quotidienne.
Mon dossier est compliqué : à 26 et 30 ans, j’ai connu deux épisodes de perte brutale de la vue, sous corticoïdes , mais il n’y a aujourd’hui aucune trace d’atteinte du nerf optique à l’IRM. Ces épisodes pourraient aussi être liés au syndrome de Cogan dont je suis porteuse, ce qui complique davantage l’interprétation.
J’ai 40 ans aujourd’hui, et je ressens un besoin urgent de compréhension, de validation et de conseils. Je conçois que mon cas est sans doute moins grave que celui d’autres patients, mais j’ai le sentiment qu’il n’est pas pour autant anodin.
Je me tourne vers vous avec l’espoir que mon parcours ne soit pas isolé, et que vous puissiez peut-être me mettre en relation avec d’autres personnes dans une situation similaire, ou m’indiquer des ressources pour mieux vivre avec ce diagnostic incertain mais très impactant.
Je vous remercie chaleureusement par avance pour votre écoute et votre aide.
Bien à vous,
Gwendoline.
Je ne sais pas trop où poster donc je tente en vous remerciant pour l’ajout)
Je suis Gwendoline j’ai 40ans .
Je me permets de vous écrire car je suis un peu perdue face à ma situation médicale et j’aimerais savoir si votre association pourrait m’orienter ou me conseiller.
Il y a un peu plus d’un an, on m’a diagnostiqué un syndrome radiologiquement isolé (RIS), avec des lésions de myéline cérébrales visibles à l’IRM, mais sans atteinte médullaire et ponction lombaire positive. Je suis actuellement suivie à l’hôpital Rothschild, sans traitement pour le moment.(IRM cérébrale et médullaire tous les 6mois et examens ophtalmologiques)
Même si mon cas est qualifié de « non symptomatique » par les neurologues, je vis au quotidien des symptômes très invalidants :
de fortes intolérances à la chaleur (notamment sous la douche, avec sensation de tangage et de fourmillements),
des troubles cognitifs marqués,
une neuropathie auditive,
des diarrhées chroniques et des vomissements fréquents,avec nécessité d’injection de potassium
une fatigue intense et permanente.
Mon médecin traitant prend ces symptômes très au sérieux et les relie à mon atteinte neurologique, mais la qualification « asymptomatique » de la SEP par les spécialistes me fait douter de la légitimité de mes difficultés. Je n’ose presque plus en parler, de peur qu’on les minimise, alors qu’elles me handicapent véritablement dans ma vie quotidienne.
Mon dossier est compliqué : à 26 et 30 ans, j’ai connu deux épisodes de perte brutale de la vue, sous corticoïdes , mais il n’y a aujourd’hui aucune trace d’atteinte du nerf optique à l’IRM. Ces épisodes pourraient aussi être liés au syndrome de Cogan dont je suis porteuse, ce qui complique davantage l’interprétation.
J’ai 40 ans aujourd’hui, et je ressens un besoin urgent de compréhension, de validation et de conseils. Je conçois que mon cas est sans doute moins grave que celui d’autres patients, mais j’ai le sentiment qu’il n’est pas pour autant anodin.
Je me tourne vers vous avec l’espoir que mon parcours ne soit pas isolé, et que vous puissiez peut-être me mettre en relation avec d’autres personnes dans une situation similaire, ou m’indiquer des ressources pour mieux vivre avec ce diagnostic incertain mais très impactant.
Je vous remercie chaleureusement par avance pour votre écoute et votre aide.
Bien à vous,
Gwendoline.