besoin d'en parler, enfin..
Posté : 15 août 2020, 12:16
Bonjour, il est tôt, certes mais j'ai commencé depuis vendredi midi les cachets de Medrol 100mg, donc active toute la nuit...traitement pour poussée éventuelle débutée sans doute début juillet avec des symptômes d'engourdissement de tout mon coté droit ,du pied au bras. Je n’arrêtais pas de tâter le pied, la cuisse,taille,hanche,côté de ma prothèse du sein droit( ablation sein droit avril 2017 ....radiothérapie du sein gauche car cancer hormono dépendant opéré janvier 2016. Traitement tamoxifène pour baisser les hormones qui devrait s'arrêter juin 2021 .Bon passons...).
Je suis tombée violemment d'un petit rocher pas haut du tout (fesse gauche noire et hématome énorme mais me suis soignée a l arnica et huile essentielle d'helicryse sans consulter . En randonnée avec mon mari, a grimper des petits rochers,descentes, il était obligé de me soutenir par la main, le bras car impossible de solliciter ma cuisse musculairement .. donc j'ai commencé à me dire que ma sensation de tout mon coté droit en coton était peut être dû à une poussée inflammatoire et non à la chaleur . Donc retour de vacances médecin et prescription IRM fait le 11 août et effectivement plusieurs évolutions comparé à L’IRM de mars 2019 .
Je ne prends pas de traitement de fond pour la sclérose en plaques car au départ la neurologue de la pitié salpêtrière me disait que j'étais une chanceuse car je faisais partie des 20% si je me souviens bien de ceux qui ont une poussée de temps en temps et avec aucune séquelle. .chouette ! 1er questionnement de Sep en 2000, ils ne savaient pas car a L’IRM, 1 unique grosse tache d'1 cm et avec multitudes d'examens avaient conclu : SEP ? Et le neurologue de l’hôpital saint Anne m'avait dit de ne plus y penser, ce que j'ai fait .EN 2013, une grosse poussée, crise de larmes continues, l'impression de traîner ma jambe droite au bout d'une ficelle à la marche, énorme fatigue . Traitement de corticoïdes 3 jours en perfusion à l'hosto . Tout est revenu, super contente ! Et donc vue la distance de poussée, pas de traitement.
Sauf que les poussées maintenant reviennent plus souvent , 2 ans, 1 an...et la neurologue de la pitié comme d'autres veulent que je commence un traitement que je refuse pour l'instant car j'ai déjà le traitement de Tamoxifene pour les cancers de sein, alors ...et comme je récupère pas mal du tout, je croise les doigts et espère que tout ira bien par la suite , mais c'est sûre que je suis plus faible, ne donne plus les cours de danse comme avant, car plus capable de faire 7 cours le samedi. A son compte, on doit gagner ses sous donc pas le choix, mais le médecin m'a expliqué que il fallait calmer le jeu et le STRESS ! Ce que je fais et qu'est ce que c'est bien ! 3 cours le samedi, 5 le mercredi et les autres jours, animatrice péri scolaire. Ça change le rythme et surtout mon stress .
Alors traitement de fond ? Je n'arrive toujours pas à me décider d'autant que je vois ma neurologue de la pitié salpêtrière en avril 2021 avec contrôle IRM et que je ne l'ai pas avertie de cet IRM d'août. .. c'est sûr qu'elle va encore insister mais j'ai peur de ces traitements lourds , alors je fais tout !!!!! Je mange sainement (mes bibles: les livres du médecin KOUSMINE,SEIGNALET)et là j'ai pas arrêté de déconner depuis quelques mois, donc je me dis : VOILA!... et je médite, marche. ...
Bon voilà, merci de m'avoir lu et d'avoir supporté ce roman mais j'ai enfin parlé, c'est cool.
Je suis tombée violemment d'un petit rocher pas haut du tout (fesse gauche noire et hématome énorme mais me suis soignée a l arnica et huile essentielle d'helicryse sans consulter . En randonnée avec mon mari, a grimper des petits rochers,descentes, il était obligé de me soutenir par la main, le bras car impossible de solliciter ma cuisse musculairement .. donc j'ai commencé à me dire que ma sensation de tout mon coté droit en coton était peut être dû à une poussée inflammatoire et non à la chaleur . Donc retour de vacances médecin et prescription IRM fait le 11 août et effectivement plusieurs évolutions comparé à L’IRM de mars 2019 .
Je ne prends pas de traitement de fond pour la sclérose en plaques car au départ la neurologue de la pitié salpêtrière me disait que j'étais une chanceuse car je faisais partie des 20% si je me souviens bien de ceux qui ont une poussée de temps en temps et avec aucune séquelle. .chouette ! 1er questionnement de Sep en 2000, ils ne savaient pas car a L’IRM, 1 unique grosse tache d'1 cm et avec multitudes d'examens avaient conclu : SEP ? Et le neurologue de l’hôpital saint Anne m'avait dit de ne plus y penser, ce que j'ai fait .EN 2013, une grosse poussée, crise de larmes continues, l'impression de traîner ma jambe droite au bout d'une ficelle à la marche, énorme fatigue . Traitement de corticoïdes 3 jours en perfusion à l'hosto . Tout est revenu, super contente ! Et donc vue la distance de poussée, pas de traitement.
Sauf que les poussées maintenant reviennent plus souvent , 2 ans, 1 an...et la neurologue de la pitié comme d'autres veulent que je commence un traitement que je refuse pour l'instant car j'ai déjà le traitement de Tamoxifene pour les cancers de sein, alors ...et comme je récupère pas mal du tout, je croise les doigts et espère que tout ira bien par la suite , mais c'est sûre que je suis plus faible, ne donne plus les cours de danse comme avant, car plus capable de faire 7 cours le samedi. A son compte, on doit gagner ses sous donc pas le choix, mais le médecin m'a expliqué que il fallait calmer le jeu et le STRESS ! Ce que je fais et qu'est ce que c'est bien ! 3 cours le samedi, 5 le mercredi et les autres jours, animatrice péri scolaire. Ça change le rythme et surtout mon stress .
Alors traitement de fond ? Je n'arrive toujours pas à me décider d'autant que je vois ma neurologue de la pitié salpêtrière en avril 2021 avec contrôle IRM et que je ne l'ai pas avertie de cet IRM d'août. .. c'est sûr qu'elle va encore insister mais j'ai peur de ces traitements lourds , alors je fais tout !!!!! Je mange sainement (mes bibles: les livres du médecin KOUSMINE,SEIGNALET)et là j'ai pas arrêté de déconner depuis quelques mois, donc je me dis : VOILA!... et je médite, marche. ...
Bon voilà, merci de m'avoir lu et d'avoir supporté ce roman mais j'ai enfin parlé, c'est cool.