Comme un doute..
Posté : 01 juin 2016, 10:52
Bonjour à tous,
Je viens vers vous pour tenter d'avoir des avis plus objectifs que les réponses alarmistes que je me fais seule, face aux symptômes quotidiens que j'ai. Je ne suis pas encore diagnostiquée officiellement, je le serai fin octobre lors de mes prochains IRM (il manque à ce jour le critère d'évolution temporelle des lésions trouvées fin janvier de cette année au cerveau pour confirmer le diagnostic).
Pour faire court, je viens d'avoir 40 ans et je souffre de fourmillements au niveau des mollets depuis fin 2014. Ces paresthésies sont accompagnées, selon l'humeur du jour de mon corps, de courbatures aux cuisses, ou bien de brûlures cuisse gauche, ou encore vibrations pied droit, jambes lourdes, pieds froids etc... Bref, une farandole de symptômes qui ne vous seront certainement pas étrangers. Depuis peu, j'ai des sensations de faiblesse généralisée au niveau de mes bras au réveil (sans perte de force mais assez flippant je dois l'admettre) que le neurologue qui me suit n'attribue pas forcément à la sclérose en plaques mais bon... Le premier neurologue que j'ai vu l'année dernière avait aussi conclu, après EMG normal + IRM médullaire normal, que mes symptômes n'était pas neurologiques. Mouais. "Heureusement" que j'ai voulu pousser les examens plus loin, sinon j'en serais encore à me dire aujourd'hui que j'ai une jambe plus courte que l'autre ou que je vieillis et que ça doit être normal après tout...Bref!
Ce qui me fait me poser des questions, c'est le caractère quotidien de mes symptômes qui...évoluent? J'ai évidemment eu droit au bolus de corticoides 2 fois déjà, et à quelques améliorations (exit les pieds gelés, exit la fatigue qui me collait à mon canapé, exit les jambes en étau quand station debout statique). Mais toujours ces fourmis aux mollets, toujours ces cuisses qui brûlent ou qui me font mal selon le jour,... et maintenant, c'est ma joue gauche qui est engourdie, qui ne l'est plus, qui est engourdie, qui ne l'est plus etc. De quoi me plonger chaque jour un peu plus dans l'angoisse du lendemain. Pour le moment, tout cela reste sensitif et ne m'handicape pas encore dans mon quotidien, mais quand je vous lis, vous avez en majorité des périodes de rémission que je n'ai pas ou peu.
Je voudrais juste savoir si ce que je décris parle à certains d'entre vous, histoire de me sentir moins seule face à quelque chose qui me dépasse allègrement..
Maelys.
Je viens vers vous pour tenter d'avoir des avis plus objectifs que les réponses alarmistes que je me fais seule, face aux symptômes quotidiens que j'ai. Je ne suis pas encore diagnostiquée officiellement, je le serai fin octobre lors de mes prochains IRM (il manque à ce jour le critère d'évolution temporelle des lésions trouvées fin janvier de cette année au cerveau pour confirmer le diagnostic).
Pour faire court, je viens d'avoir 40 ans et je souffre de fourmillements au niveau des mollets depuis fin 2014. Ces paresthésies sont accompagnées, selon l'humeur du jour de mon corps, de courbatures aux cuisses, ou bien de brûlures cuisse gauche, ou encore vibrations pied droit, jambes lourdes, pieds froids etc... Bref, une farandole de symptômes qui ne vous seront certainement pas étrangers. Depuis peu, j'ai des sensations de faiblesse généralisée au niveau de mes bras au réveil (sans perte de force mais assez flippant je dois l'admettre) que le neurologue qui me suit n'attribue pas forcément à la sclérose en plaques mais bon... Le premier neurologue que j'ai vu l'année dernière avait aussi conclu, après EMG normal + IRM médullaire normal, que mes symptômes n'était pas neurologiques. Mouais. "Heureusement" que j'ai voulu pousser les examens plus loin, sinon j'en serais encore à me dire aujourd'hui que j'ai une jambe plus courte que l'autre ou que je vieillis et que ça doit être normal après tout...Bref!
Ce qui me fait me poser des questions, c'est le caractère quotidien de mes symptômes qui...évoluent? J'ai évidemment eu droit au bolus de corticoides 2 fois déjà, et à quelques améliorations (exit les pieds gelés, exit la fatigue qui me collait à mon canapé, exit les jambes en étau quand station debout statique). Mais toujours ces fourmis aux mollets, toujours ces cuisses qui brûlent ou qui me font mal selon le jour,... et maintenant, c'est ma joue gauche qui est engourdie, qui ne l'est plus, qui est engourdie, qui ne l'est plus etc. De quoi me plonger chaque jour un peu plus dans l'angoisse du lendemain. Pour le moment, tout cela reste sensitif et ne m'handicape pas encore dans mon quotidien, mais quand je vous lis, vous avez en majorité des périodes de rémission que je n'ai pas ou peu.
Je voudrais juste savoir si ce que je décris parle à certains d'entre vous, histoire de me sentir moins seule face à quelque chose qui me dépasse allègrement..
Maelys.