Pour toi Maryse...
Et oui, il faut trouver le temps, là tu n'a pas tord
Voici se qu'il raconte sur Scaër
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Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Quimper
Canton Scaër (chef-lieu)
Code Insee abr. 29274
Code postal 29390
Maire
Mandat en cours Paulette Perez
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Quimperlé
Site internet Site sur la commune de Scaër
Démographie
Population 5 123 hab. (2006[1])
Densité 44 hab./km²
Gentilé Scaërois, Scaëroise
Géographie
Coordonnées
géographiques 48° 02′ Nord
3° 42′ Ouest / 48.03, -3.7
Altitudes mini. 65 m — maxi. 242 m
Superficie 117,58 km²
[ départementale ] Localisation Carte nationale
Voir la carte physique
Voir la carte physique
Scaër (Skaer en breton) est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France. Connu pour être un haut lieu de la lutte bretonne, ce sport a valu à Scaër le surnom de pays des lutteurs .
Sommaire [masquer]
1 Géographie
2 Histoire
2.1 Période néolithique
2.2 Période gallo-romaine
2.3 XVe siècle
2.4 XVIIe siècle
2.5 XVIIIe siècle
2.6 XIXe siècle
2.7 XXe siècle
3 Administration
4 Démographie
5 Langue bretonne
6 Monuments et lieux-dits
6.1 Forêt de Coatloc'h
7 Événements
8 Minéralogie
9 Personnalités liées à la commune
10 Jumelages
11 Liens externes
12 Voir aussi
13 Notes et références
Géographie [modifier]
Avec une superficie de 167,58 km², Scaër peut se prévaloir d'être la commune la plus étendue du département. La commune, autrefois très boisée comme en atteste les nombreux toponymes en Coat : Coadry, Coadigou, Kergoat, Coatforn, etc., possède encore deux importants massifs forestiers : la forêt de Cascadec et la forêt domaniale de Coatloc'h.
Histoire [modifier]
Période néolithique [modifier]
Le menhir Saint Jean témoigne de l'occupation du territoire de la commune à la période néolithique.
Période gallo-romaine [modifier]
La présence gallo-romaine est attestée à Scaër par la trouvaille en 1886 de pièces romaines sur le territoire de la commune.
XVe siècle [modifier]
En 1457, Arthur III, connétable de Richemont, devient duc de Bretagne. Comme il devait se rendre à Tours pour offrir son hommage au roi de France, Charles VII, son suzerain, il voulut donner à la cour, le spectacle d'un grand "bouhourdeix" (tournoi de chevaliers[2]). Il demanda au baron de Quimerc'h, en Bannalec, de chercher dans sa région et de lui amener les meilleurs lutteurs. Le vieux connétable ne connaissait pas en Bretagne, disait-il, pour les opposer aux Français, de plus solides gourenieren (lutteurs de gouren lutte bretonne) que ceux de Rosporden et de Scaër. [3]
XVIIe siècle [modifier]
1675 : Révolte des Bonnets Rouges. Des habitants de la paroisse participent au pillage le 11 Juillet 1675 et les jours qui suivent du château de Kergoet en Saint-Hernin propriété du sieur Le Moyne de Trévigny. Scaër figure parmi les 17 paroisses qui doivent verser 50 000 £ en dédommagements au propriétaire du lieu : Scaër est imposée à hauteur de 2000 £.
XVIIIe siècle [modifier]
1779 : Une épidémie de dysenterie, qui sévit dans la région, décime entre juillet et septembre 10 % de la population de la paroisse (environ 350 personnes)
1795 : Passage du constitutionnel Jacques Cambry à Scaër qui laisse un témoignage assez complet mais pas toujours très complaisant sur le Scaër d'antan dans son ouvrage Voyage dans le Finistère. En voici deux brefs passages, le premier est relatif aux principales occupations des hommes et le second à l'état du bourg : « Le pays en général est mal peuplé. Des échanges répétés de grains, de bestiaux, et de denrées de toutes espèces, eaux de vie, vin, etc... en font subsister les habitans. Ils parcourent sans cesse les foires de Châteauneuf du Faou, de Coray, du Faouët. Dans la commune de Scaër peuplée de cinq-cent hommes ont n'en compte que trois qui labourent la terre. Le reste agiote, commerce, est ouvrier, fait des sabots dans les forêts voisines ; il y a vingt-quatre auberges dans ce bourg.» et « De là on aperçoit l'aspect déplorable des rues de Scaër; une eau fétide, infecte et verte se putréfie dans de sales rigoles. Dans le coeur de l'été même une boue épaisse empêche de les traverser. L'hiver ce bourg considérable donne l'aspect d'un marais impraticable. Presque toutes les maisons de Scaër sont couvertes de paille, incommodes et mal fabriquées avec les plus riches matériaux, les pierres les plus belles.»
XIXe siècle [modifier]
1830 à 1850 : Fréquents séjours du poète Brizeux à Scaër.
1873 : Démolition de l'ancienne église paroissiale de Scaër datant du XIe siècle jugée par le recteur trop vétuste et trop petite pour accueillir les nombreux fidèles. Celle-ci est remplacée par une église de style néo-roman correspondant plus à ses attentes.
1896 : Ouverture de la ligne de chemin de fer du Réseau breton Rosporden-Carhaix passant par Scaër qui contribue au désenclavement de la commune.
XXe siècle [modifier]
1922 : Mise en place de l'activité de papeterie sur le site de Cascadec
1944 : Les combats de la Libération font 18 victimes à Scaër et Tourc'h.
Administration [modifier]
Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
mars 2008 - Paulette PEREZ Divers gauche Maire
Toutes les données ne sont pas encore connues.
Démographie [modifier]
Évolution démographique
(Source : Cassini[4]) 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
- - - 3 460 3 676 3 937 4 005 4 156 4 304
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 343 4 278 4 471 4 394 4 747 4 891 5 403 5 686 5 939
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6 243 6 565 6 676 6 581 6 697 7 118 7 402 7 838 7 204
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 - -
7 176 6 999 6 556 5 968 5 555 5 267 5 147 - -
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes
Histogramme
Langue bretonne [modifier]
L’adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le Conseil municipal le 20 mars 2007.
A la rentrée 2007, 11,5% des enfants de la commune étaient inscrits dans le primaire bilingue.[5]
Monuments et lieux-dits [modifier]
menhir Saint Jean, haut de 7 mètresÉglise Sainte-Candide (fin XIXe siècle)
Chapelle de Coadry (nef romane du XIe siècle, chœur du XIVe siècle)
Chapelle Saint-Guénolé (XVIIe siècle)
Chapelle du Plas Caër
Chapelle de Penvern
Chapelle de Saint-Jean
Chapelle de Cascadec
Chapelle Saint-Adrien (XVe siècle)
Moulin restauré de Kerchuz
Ancienne voie ferrée aménagée en chemin piétonnier
Menhir Saint-Jean, haut de 7 mètres, à proximité se situe un second menhir qui est malheureusement couché.
Tumulus de Kergoaler Dour, de Kerzéré
Forêt de Coatloc'h [modifier]
Selon la légende, la forêt de Coatloch (bois de l'étang en français), fut entièrement plantée à la fin du Moyen Âge sur ordre d'Anne de Bretagne. La duchesse, qui surveillait elle même la plantation, découvrit une pie morte à la lisière vers Roz ar Bic. On lui conseilla alors de fixer les limites de la forêt à cet endroit sous peine de connaître le même sort que l'oiseau. D'un point de vue plus historique, un château, peut être d'origine carolingienne, était situé au cœur de cette forêt. Un talus, encore visible par endroits, encerclait totalement la forêt plantée de chênes et de hêtres. Il était destiné à empêcher les animaux de sortir du bois. Les nombreux hêtres de la forêt fournissait la matière première aux sabotiers. Ces derniers travaillaient dans des huttes, appelées loges, et dont la toponymie a conservé le souvenir : Loj Gaor, Loj Stang, Loj Lanic…
Événements [modifier]
Cavalcade (cavalcade de scaër) célèbre, tous les deux ans, les années impaires, le dimanche et le lundi de la Pentecôte.
Minéralogie [modifier]
Dans les environs du village de Coadry en Scaër, on trouve des pierres, en forme de croix de Saint-André, appelées "pierres de Coadry". D'un point de vue géologique, ces pierres sont des staurotides, staurotide signifiant pierre de croix, composés de silicate d'alumine et de fer. On prétend que ces pierres étaient efficaces contre les naufrages, les chiens enragés, les maux d'yeux. On les plaçait au pied des maisons pour se protéger de la foudre : ce qui leur valut aussi le nom de « pierre à tonnerre ». Ces pierres servirent aussi de bijoux et de parures féminines.
Personnalités liées à la commune [modifier]
l'écrivain poète Auguste Brizeux qui effectua de nombreux séjours dans la commune.
Jumelages [modifier]
Scaër est jumelée avec ;
Crickhowell, au Pays de Galles.
Liens externes [modifier]
Site sur la commune de Scaër
Site de l'Office de Tourisme
Site de la commune
Page généalogique sur Scaër
Site officiel de la Cavalcade
]
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Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Quimper
Canton Scaër (chef-lieu)
Code Insee abr. 29274
Code postal 29390
Maire
Mandat en cours Paulette Perez
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Quimperlé
Site internet Site sur la commune de Scaër
Démographie
Population 5 123 hab. (2006[1])
Densité 44 hab./km²
Gentilé Scaërois, Scaëroise
Géographie
Coordonnées
géographiques 48° 02′ Nord
3° 42′ Ouest / 48.03, -3.7
Altitudes mini. 65 m — maxi. 242 m
Superficie 117,58 km²
[ départementale ] Localisation Carte nationale
Voir la carte physique
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Scaër (Skaer en breton) est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France. Connu pour être un haut lieu de la lutte bretonne, ce sport a valu à Scaër le surnom de pays des lutteurs .
Sommaire [masquer]
1 Géographie
2 Histoire
2.1 Période néolithique
2.2 Période gallo-romaine
2.3 XVe siècle
2.4 XVIIe siècle
2.5 XVIIIe siècle
2.6 XIXe siècle
2.7 XXe siècle
3 Administration
4 Démographie
5 Langue bretonne
6 Monuments et lieux-dits
6.1 Forêt de Coatloc'h
7 Événements
8 Minéralogie
9 Personnalités liées à la commune
10 Jumelages
11 Liens externes
12 Voir aussi
13 Notes et références
Géographie [modifier]
Avec une superficie de 167,58 km², Scaër peut se prévaloir d'être la commune la plus étendue du département. La commune, autrefois très boisée comme en atteste les nombreux toponymes en Coat : Coadry, Coadigou, Kergoat, Coatforn, etc., possède encore deux importants massifs forestiers : la forêt de Cascadec et la forêt domaniale de Coatloc'h.
Histoire [modifier]
Période néolithique [modifier]
Le menhir Saint Jean témoigne de l'occupation du territoire de la commune à la période néolithique.
Période gallo-romaine [modifier]
La présence gallo-romaine est attestée à Scaër par la trouvaille en 1886 de pièces romaines sur le territoire de la commune.
XVe siècle [modifier]
En 1457, Arthur III, connétable de Richemont, devient duc de Bretagne. Comme il devait se rendre à Tours pour offrir son hommage au roi de France, Charles VII, son suzerain, il voulut donner à la cour, le spectacle d'un grand "bouhourdeix" (tournoi de chevaliers[2]). Il demanda au baron de Quimerc'h, en Bannalec, de chercher dans sa région et de lui amener les meilleurs lutteurs. Le vieux connétable ne connaissait pas en Bretagne, disait-il, pour les opposer aux Français, de plus solides gourenieren (lutteurs de gouren lutte bretonne) que ceux de Rosporden et de Scaër. [3]
XVIIe siècle [modifier]
1675 : Révolte des Bonnets Rouges. Des habitants de la paroisse participent au pillage le 11 Juillet 1675 et les jours qui suivent du château de Kergoet en Saint-Hernin propriété du sieur Le Moyne de Trévigny. Scaër figure parmi les 17 paroisses qui doivent verser 50 000 £ en dédommagements au propriétaire du lieu : Scaër est imposée à hauteur de 2000 £.
XVIIIe siècle [modifier]
1779 : Une épidémie de dysenterie, qui sévit dans la région, décime entre juillet et septembre 10 % de la population de la paroisse (environ 350 personnes)
1795 : Passage du constitutionnel Jacques Cambry à Scaër qui laisse un témoignage assez complet mais pas toujours très complaisant sur le Scaër d'antan dans son ouvrage Voyage dans le Finistère. En voici deux brefs passages, le premier est relatif aux principales occupations des hommes et le second à l'état du bourg : « Le pays en général est mal peuplé. Des échanges répétés de grains, de bestiaux, et de denrées de toutes espèces, eaux de vie, vin, etc... en font subsister les habitans. Ils parcourent sans cesse les foires de Châteauneuf du Faou, de Coray, du Faouët. Dans la commune de Scaër peuplée de cinq-cent hommes ont n'en compte que trois qui labourent la terre. Le reste agiote, commerce, est ouvrier, fait des sabots dans les forêts voisines ; il y a vingt-quatre auberges dans ce bourg.» et « De là on aperçoit l'aspect déplorable des rues de Scaër; une eau fétide, infecte et verte se putréfie dans de sales rigoles. Dans le coeur de l'été même une boue épaisse empêche de les traverser. L'hiver ce bourg considérable donne l'aspect d'un marais impraticable. Presque toutes les maisons de Scaër sont couvertes de paille, incommodes et mal fabriquées avec les plus riches matériaux, les pierres les plus belles.»
XIXe siècle [modifier]
1830 à 1850 : Fréquents séjours du poète Brizeux à Scaër.
1873 : Démolition de l'ancienne église paroissiale de Scaër datant du XIe siècle jugée par le recteur trop vétuste et trop petite pour accueillir les nombreux fidèles. Celle-ci est remplacée par une église de style néo-roman correspondant plus à ses attentes.
1896 : Ouverture de la ligne de chemin de fer du Réseau breton Rosporden-Carhaix passant par Scaër qui contribue au désenclavement de la commune.
XXe siècle [modifier]
1922 : Mise en place de l'activité de papeterie sur le site de Cascadec
1944 : Les combats de la Libération font 18 victimes à Scaër et Tourc'h.
Administration [modifier]
Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
mars 2008 - Paulette PEREZ Divers gauche Maire
Toutes les données ne sont pas encore connues.
Démographie [modifier]
Évolution démographique
(Source : Cassini[4]) 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
- - - 3 460 3 676 3 937 4 005 4 156 4 304
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 343 4 278 4 471 4 394 4 747 4 891 5 403 5 686 5 939
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6 243 6 565 6 676 6 581 6 697 7 118 7 402 7 838 7 204
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 - -
7 176 6 999 6 556 5 968 5 555 5 267 5 147 - -
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes
Histogramme
Langue bretonne [modifier]
L’adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le Conseil municipal le 20 mars 2007.
A la rentrée 2007, 11,5% des enfants de la commune étaient inscrits dans le primaire bilingue.[5]
Monuments et lieux-dits [modifier]
menhir Saint Jean, haut de 7 mètresÉglise Sainte-Candide (fin XIXe siècle)
Chapelle de Coadry (nef romane du XIe siècle, chœur du XIVe siècle)
Chapelle Saint-Guénolé (XVIIe siècle)
Chapelle du Plas Caër
Chapelle de Penvern
Chapelle de Saint-Jean
Chapelle de Cascadec
Chapelle Saint-Adrien (XVe siècle)
Moulin restauré de Kerchuz
Ancienne voie ferrée aménagée en chemin piétonnier
Menhir Saint-Jean, haut de 7 mètres, à proximité se situe un second menhir qui est malheureusement couché.
Tumulus de Kergoaler Dour, de Kerzéré
Forêt de Coatloc'h [modifier]
Selon la légende, la forêt de Coatloch (bois de l'étang en français), fut entièrement plantée à la fin du Moyen Âge sur ordre d'Anne de Bretagne. La duchesse, qui surveillait elle même la plantation, découvrit une pie morte à la lisière vers Roz ar Bic. On lui conseilla alors de fixer les limites de la forêt à cet endroit sous peine de connaître le même sort que l'oiseau. D'un point de vue plus historique, un château, peut être d'origine carolingienne, était situé au cœur de cette forêt. Un talus, encore visible par endroits, encerclait totalement la forêt plantée de chênes et de hêtres. Il était destiné à empêcher les animaux de sortir du bois. Les nombreux hêtres de la forêt fournissait la matière première aux sabotiers. Ces derniers travaillaient dans des huttes, appelées loges, et dont la toponymie a conservé le souvenir : Loj Gaor, Loj Stang, Loj Lanic…
Événements [modifier]
Cavalcade (cavalcade de scaër) célèbre, tous les deux ans, les années impaires, le dimanche et le lundi de la Pentecôte.
Minéralogie [modifier]
Dans les environs du village de Coadry en Scaër, on trouve des pierres, en forme de croix de Saint-André, appelées "pierres de Coadry". D'un point de vue géologique, ces pierres sont des staurotides, staurotide signifiant pierre de croix, composés de silicate d'alumine et de fer. On prétend que ces pierres étaient efficaces contre les naufrages, les chiens enragés, les maux d'yeux. On les plaçait au pied des maisons pour se protéger de la foudre : ce qui leur valut aussi le nom de « pierre à tonnerre ». Ces pierres servirent aussi de bijoux et de parures féminines.
Personnalités liées à la commune [modifier]
l'écrivain poète Auguste Brizeux qui effectua de nombreux séjours dans la commune.
Jumelages [modifier]
Scaër est jumelée avec ;
Crickhowell, au Pays de Galles.
Liens externes [modifier]
Site sur la commune de Scaër
Site de l'Office de Tourisme
Site de la commune
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Site officiel de la Cavalcade
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