Salut PatricKssssss
PatrickS a écrit : ↑08 sept. 2020, 10:04
Ça me rappelle une sombre partie de notre histoire. Il suffit de remplacer le masque par une étoile jaune ou un triangle rose.
La peur nous fait devenir des moutons et bien suivre notre berger (abattoir pour le deuxième cas, j'espère juste que cela n'ira pas trop loin pour le premier).
Gaffe, tu es en train de dépasser le point de goldwin
Salut Jipé,
moi aussi, je lache pas l'affaire comme ça ....ca nous en fait des points communs
Tout ce qui consiste à utiliser la faiblesse, voire la détresse des gens, pour son propre intérêt, me donne envie de sortir la mitrailleuse lourde

.
Ah bein moi c’est pareil
Quand on nous a dit début mars, que le masque ne servait a rien, j’ai suivi mon intuition et je me suis fabriqué des masques. De la même manière quand, le gouvernement a tiré la sonnette d’alarme, a mi-aout en nous annonçant un nouveau rebond de l’épidémie, et en obligeant la population a le porter dans certains quartiers …..en pleine canicule, intuitivement, j’ai senti comme un gros hic. C’est d’ailleurs parce que je ne supporte pas les mensonges et la manipulation des plus faibles que je m’exprime.
Le masque est utile dans les espaces clos et permet d’éviter la propagation du virus, sur ce point je suis entièrement d’accord. il l'est aussi pour les personnes fragilisés par l'age ou par des immuno-suppreseur
Maintenant, lorsqu’il s’agit de personnes en bonne santé et des espace extérieurs, je me permet d’en douter, bien évidement, ça n'engage que moi et tout ce que je vais dire par la suite, aussi.
Le bois de vincennes est un exemple parmi d'autres, mais j'aimerai bien comprendre !? la nuit aussi, j'aimerais, bien comprendre !?
La brise , le vent, pour moi, dissipe les particules virales, et si elles subsistent, elles y sont en très faible quantité, pas de quoi être malade, peut-être juste de quoi, créer une immunité ?!….mais a croire qu' on ne nous en laisse pas l’occasion.
Le port du masque est, quoi qu’on en dise une contrainte, et le supporter déjà au travail est une épreuve pour beaucoup. Continuer a le porter dehors, après 8h au travail est un effort supplémentaire dont je ne vois pas bien le fondement légitime... et comme j'y suis confrontée, je souffre. J'ai beau me remettre en question, je fais de la résistance intellectuelle, malgré moi ( sans compter mon corps qui me dit, respire). Je redoute plus l'amende que le virus, ça c'est certain. J'aimerais aussi comprendre, le pourquoi du comment.
A part peut-être, la peur du gouvernement, face a sa gestion de crise de début mars, de mettre les bouchées doubles pour ne pas être accusé de négligences, en plus comme le souligne patrickA, de faire un billet sur les masques vendus et de maintenir le peuple dans un carcan, ou il lui est difficile de se rassembler pour objecter.... je ne vois pas d'utilité à la chose.
En mars, on nous mentait et j’ai bien peur qu’un mensonge puisse en entrainer un autre, puis un autre ect....
Les scientifiques ne valident d’ailleurs pas l’efficacité du port du masque en extérieur. Les clusters, répertoriés se trouvent essentiellement au travail ( lieu clos) et dans le cocon familiale ( lieux clos)
Dès lors, je vois une contrainte non justifiée, qui tend vers une attente des libertés fondamentales des droits de l’homme.
Dans le bas rhin , une plainte a été déposé concernant l’abus de ce port du masque obligatoire a Strasbourg et dans une douzaines de communes ! le tribunal a tranché et juge la décision du gouvernement être une atteinte aux libertés individuelles.
https://www.huffingtonpost.fr/entry/mas ... a87463418b
« L’arrêté en cause, qui était valable jusqu’au 30 septembre, “porte une atteinte immédiate à la liberté d’aller et venir et à la liberté personnelle des personnes appelées à se déplacer” dans les communes concernées, pointe encore l’ordonnance du tribunal, consultée par l’AFP. »
Mais , comme on s’en doutait, l’état a fait appel et a eu gain de cause. Bafouer la démocratie, sous des prétextes contestables, c'est manifestement plus un problème.
Nostromo a écrit : ↑02 sept. 2020, 10:20
Ce n'est pas une puce, ce sont des nanoparticules qui réagissent à certaines fréquences infrarouges, point barre. C'est du moins ce que prétend l'article du Monde vers lequel tu m'as redirigé

. Le truc c'est que ces nanoparticules durent plus longtemps (combien, on ne sait pas) que la méthode actuelle, qui consiste à laisser une trace avec un marqueur indélébile, pour savoir qui a déjà été vacciné et qui ne l'a pas encore été. A part une plus longue durée de vie et l'absence de marque visible à l'œil nu, tu vois quelle différence, notamment d'un point de vue éthique, par rapport au marqueur indélébile ?
../.....rester dans le factuel, dans le vérifiable, évite en général de sombrer dans les théories les plus farfelues.../...Bin voilà, c'est ce que j'ai fait. Factuel et vérifiable : pas une puce, tel est du moins ce que prétend la source vers laquelle tu me diriges. La voici, au fait, si jamais tu voulais la relire :
https://www.lemonde.fr/afrique/article/ ... _3212.html.
Je vois qu’il va falloir que je fasse attention au choix de mes mots, pour éviter que tu ne t’accroches qu’a un seul
Le mot "puçage" était mal choisi, un tatouage aurait était plus judicieux, encore que celui-ci, ne conviendrait pas, tout a fait. Le mot ne doit pas encore exister d’ou ce problème linguistique que tu relèves. Allez « marquer » des gens comme l’on marque du bétail me choque, oui.
Qu’on utilise un smartphone pour le scanner m’effraye au plus haut point. J’aimerai pouvoir être assurée que l’on ne détourne pas ce concept et que les générations futures, ne se voient pas infligée d’un code barre, comme on en trouve sur les pots de yaourt.
Dans le contexte qui est le notre, je vois d’un très mauvais oeil, ces recherches expérimentales au Kenya au Bangladesh et au Malawi.
Ce type que tu appelles pantin, m'a tout l'air de tirer les ficelles. Personne, malheureusement, ne pourra me rassurer sur ce point.
Autant dire, que je serais ravie d'avoir des idées farfelues, vraiment.
L’humain mérite, à mon avis , beaucoup mieux que ça. Pour moi, on est en train d’ attenter aux droits de l’homme et tout cela manque cruellement d'éthique ! Je trouve ça tout simplement immoral. Il y a des chose que l’on ne doit pas toucher. L’homme 2.0, si ce n’est pas utilisé, dans le seul but de sauver ou d’améliorer une vie, n’a pas lieu d’être. Une autre utilisation serait une offense à la nature. ce carnet a un but de
contrôle sanitaire. on ne parle pas que de santé, il me semble.
Nostromo a écrit : ↑05 sept. 2020, 12:33
A propos de décès qu'on ne comptera pas, n'oublie pas de retrancher les tués qu'on aurait dû avoir sur les routes pendant le confinement et qui, du fait des effets de ce confinement sur le trafic routier, n'ont pas eu lieu. Ceux-là sont chiffrables assez précisément par comparaison directe mois à mois avec l'année précédente. Ainsi que les décès qui n'auront pas lieu du fait que les débits de boissons étant restés fermés un moment, la consommation d'alcool en France pendant le confinement s'est littéralement effondrée (poussant par exemple le groupe Pernod-Ricard à offrir ses surplus pour fabriquer du gel hydroalcoolique), ce qui devrait avoir un impact visible sur les futurs décès par cancer du foie. Et ainsi de suite...
merci pour tes démonstrations mathématiques, ça fait plaisir de voir que tu t'éclates.
Ok, je veux bien retrancher les morts en bagnoles, mais merci de me rappeler que j'oubliais d'ajouter les siroses au cahier des charges.
Je suis étonnée que tu veuilles les soustraire, en fait !
En suisse, vous ne buvez qu'au bar ?
Boire au bistro, signifie qu'on a encore envie d'une vie sociale et qu'on a les moyens de payer sa tourner. Le désoeuvrement, et l'incertitude, ajouter a l'incapacité de boire en société, mène tout droit a l'alcoolisme primaire. Celui du carré de vigne ou de la villageoise en cubis, ça c'est pour les plus pauvres. Pour les mieux lotis, c'est plutôt de la 8.6, celle qui cogne bien fort et rapidement, pour mieux oublier.
Je te prendrais a l'occasion la photo de la fenêtre d'un voisin, ( son rebord de fenêtre est jonché de canettes) avec qui, j'ai fini par entretenir pendant le confinement, une relation de proximité pour l'aider un peu a sortir de son isolement. ce monsieur, m'inquiétait.
Bref, pour en faire un constat quotidien, lors d'échanges avec un grand nombre (en toute distanciation, bien sur)
je le répète, j'ai plus peur des dommages collatéraux que cette crise va engendrer, que du virus, lui-même.
Ils m'explosent les yeux ! Encore un éventuel dommage collatéral , pour ma santé mais celui là, je veux bien le déduire, direct des calculs
La bise, Nostrosuisse