Posté : 26 août 2007, 16:54
Ouf, ça y est, je peux commencer à répondre…
Nous sommes d’accord toi et moi.
Dans ma tête (j’avais dû mal m’exprimer), effectivement, l’holistisque c’est le global. Et donc, effectivement, sur la question de la valeur unique, nous sommes aussi d’accord.
Nb : c’est holos, avec un H, en pricipe, non ?
« ça ne veut pas dire que ces éléments simples, quand on les remet dans l'ensemble, ne sont pas considérés par la sicience comme interagissant ensemble, au contraire… »
D’accord aussi sur ce principe indéniable, SAUF QUE la science réduit trop systématiquement ses angles d’approche. Par exemple, alors qu’il me semble évident que des facteurs comme le passé (et présent) psychologique d’un individu sont essentiels dans des maladies graves (en particulier les auto-immunes), cela est totalement mis au rebus par la science.
Et pourtant, selon moi, si on ne travaille pas, entre autres, sur ces terrains, la « science médicale » ne risque pas de trouver des causes à quoique ce soit, et rester éternellement en aval, et ne traiter que les conséquences, et donc tout considérer sous l’angle de la « crise » (on soigne quand ça va, de façon évidente, mal, et tout le processus GLOBAL qui a permis d’arriver à une situation de crise, n’est absolument pas pris en compte).
J’y reviendrai plus en détail plus tard (concernant mes propres recherches).
Je profite de ce moment de notre dialogue pour bien préciser que je ne rejette pas les pratique allopathiques (si j’ai pu être debout ces 20 dernières années, c’est parce qu’un jour de 1986 on m’a administré de la cortisone qui m’a fait passer de la paralysie totale à un état physique considéré comme normal).
Je pense juste qu’elle sont adaptées à des situations de crise (et qu’elles engendrent des effets secondaires, quoique l’on dise), mais que leur utilisation pourraient être largement évitées si l’on soignait tout au long de la vie le « terrain » (nutrition, hygiène du corps, psychologie, les diverses problématiques de santé publique comme les pesticides, engrais, ou amalgames dentaires…), ce qui éviterait un certain nombre de cas de crise (désolée, Invité, je ne peux quantifier.. ;o).
De même, pour répondre à une de tes remarques, j’apprécie beaucoup la dimension ANALYTIQUE qu’apporte la science en général, d’autant plus qu’elle est largement « affinée » ces deniers temps par des technologies de plus en plus évoluées, car la vision holistique en fait souvent l’économie, ce que je trouve, pour le coup DÉSÉQUILIBRÉ !
Mais pour revenir à la science en général, je trouve que cette façon de porter l’ANALYTIQUE comme référence SYSTEMATIQUE à tous les niveaux de notre réflexion ou appréhension du monde, est non avenue (a priori, et a posteriori).
Ce « pseudo-scientisme » généralisé a envahi la société (accompagné d’un cortège millénaire de « croyances », et superstitions pour contre-balancer, d’ailleurs), et nous fait prendre des détails pour des choses essentielles, et vice e versa.
En effet, de même que nous avons un hémisphère cérébral plus émotionnel et global que l’autre, qui est plus analytique et rationnel, comme une sorte de « balance » pour appréhender le monde, je pense que notre façon de soigner (et envisager l’existence) serait plus en accord avec l’équilibre profond dont nous sommes issus si nous savions passer de l’analytique au global, et vice e versa.
C’est loin d’être le cas.
Ex : la longue période que nous n’avons pas encore fini de traverser où les spécialistes attribuent une cause à un symptôme, la cause ne se révèle pas correcte, et la vision globale du généraliste qui permet de rectifier le tir (quand on a la chance qu’il ait été rectifié)…
Sinon, sur ce que tu dis sur la phyto, je le pense aussi (principe actif).
J’ai commencé de la phytothérapie, et en ai vu les effet ; pour l’homéopathie, je ne peux rien te dire, car je ne pratique pas.
1- si tu restais uniquement dans une vision scientifique, tu ne verrais rien.
2- « qu'on me montre » => la « démonstration » a une valeur, mais dans l’holistique, l’expérience personnelle intérieure est indispensable. Sans quoi, on ne risque pas d’être convaincu…
J’y reviendrai dans un 2è post, en parlant de mon expérience holistique (qui est en perpétuelle évolution évidemment).
J'aime beaucoup ta vision critique "réellement scientifique" (il y a tellement de "scientifiques" ou assimilés qui sont pétris d'a priori, et donc intellectuellement malhonnêtes... et donc, trouvé-je bien peu scientifiques dans leur démarche)
).
je vais reposer mes neurones confits...
@+
Om.
Bon, sur tes diverses premières réflexions entre holistique et global, une phrase suffira :Pour moi, une vision holistique (du grec olos, qui veut dire "tout") considère….
Nous sommes d’accord toi et moi.
Dans ma tête (j’avais dû mal m’exprimer), effectivement, l’holistisque c’est le global. Et donc, effectivement, sur la question de la valeur unique, nous sommes aussi d’accord.
Nb : c’est holos, avec un H, en pricipe, non ?
« ça ne veut pas dire que ces éléments simples, quand on les remet dans l'ensemble, ne sont pas considérés par la sicience comme interagissant ensemble, au contraire… »
D’accord aussi sur ce principe indéniable, SAUF QUE la science réduit trop systématiquement ses angles d’approche. Par exemple, alors qu’il me semble évident que des facteurs comme le passé (et présent) psychologique d’un individu sont essentiels dans des maladies graves (en particulier les auto-immunes), cela est totalement mis au rebus par la science.
Et pourtant, selon moi, si on ne travaille pas, entre autres, sur ces terrains, la « science médicale » ne risque pas de trouver des causes à quoique ce soit, et rester éternellement en aval, et ne traiter que les conséquences, et donc tout considérer sous l’angle de la « crise » (on soigne quand ça va, de façon évidente, mal, et tout le processus GLOBAL qui a permis d’arriver à une situation de crise, n’est absolument pas pris en compte).
J’y reviendrai plus en détail plus tard (concernant mes propres recherches).
Je profite de ce moment de notre dialogue pour bien préciser que je ne rejette pas les pratique allopathiques (si j’ai pu être debout ces 20 dernières années, c’est parce qu’un jour de 1986 on m’a administré de la cortisone qui m’a fait passer de la paralysie totale à un état physique considéré comme normal).
Je pense juste qu’elle sont adaptées à des situations de crise (et qu’elles engendrent des effets secondaires, quoique l’on dise), mais que leur utilisation pourraient être largement évitées si l’on soignait tout au long de la vie le « terrain » (nutrition, hygiène du corps, psychologie, les diverses problématiques de santé publique comme les pesticides, engrais, ou amalgames dentaires…), ce qui éviterait un certain nombre de cas de crise (désolée, Invité, je ne peux quantifier.. ;o).
De même, pour répondre à une de tes remarques, j’apprécie beaucoup la dimension ANALYTIQUE qu’apporte la science en général, d’autant plus qu’elle est largement « affinée » ces deniers temps par des technologies de plus en plus évoluées, car la vision holistique en fait souvent l’économie, ce que je trouve, pour le coup DÉSÉQUILIBRÉ !
Mais pour revenir à la science en général, je trouve que cette façon de porter l’ANALYTIQUE comme référence SYSTEMATIQUE à tous les niveaux de notre réflexion ou appréhension du monde, est non avenue (a priori, et a posteriori).
Ce « pseudo-scientisme » généralisé a envahi la société (accompagné d’un cortège millénaire de « croyances », et superstitions pour contre-balancer, d’ailleurs), et nous fait prendre des détails pour des choses essentielles, et vice e versa.
En effet, de même que nous avons un hémisphère cérébral plus émotionnel et global que l’autre, qui est plus analytique et rationnel, comme une sorte de « balance » pour appréhender le monde, je pense que notre façon de soigner (et envisager l’existence) serait plus en accord avec l’équilibre profond dont nous sommes issus si nous savions passer de l’analytique au global, et vice e versa.
C’est loin d’être le cas.
Heu… je ne sais plus le contexte (et plus assez de neurones pour rechercher)… mais sans doute, je devais parler de la médecine officielle qui, pour moi, ne se donnant les moyens de ne résoudre les choses qu’au niveau des conséquences, comme je viens d’essayer de l’évoquer en parlant de la science en général, est réduite à une vision « court-terme » (ne sais pas le dire autrement), qui se perd, de conséquence en conséquence, dans le détail.A mon sens, ce n'est pas parce qu'une vision est mécaniste qu'elle ne concerne que le long terme. Ou alors il me manque un élément d'argumentation que tu n'as pas précisé.
Ex : la longue période que nous n’avons pas encore fini de traverser où les spécialistes attribuent une cause à un symptôme, la cause ne se révèle pas correcte, et la vision globale du généraliste qui permet de rectifier le tir (quand on a la chance qu’il ait été rectifié)…
Sinon, sur ce que tu dis sur la phyto, je le pense aussi (principe actif).
J’ai commencé de la phytothérapie, et en ai vu les effet ; pour l’homéopathie, je ne peux rien te dire, car je ne pratique pas.
Tu es prof ?j'ai rédigé un dossier cette année sur les conséquences de Tchernobyl, dans le cadre d'un de mes cours).
Que veux-tu dire ?le danger était minime
Moi aussi.j'essaie de me renseigner au maximum pour ne pas classer dans le répertoire "complot et manipulation" des dossiers qui peuvent relever d'une erreur humaine, d'appréciation, ou de la paranoia de ses détracteurs.
Bravo !Je ne renie rien en bloc à cause d'a priori
(l'holistique).j'attends juste qu'on me montre que ça fonctionne, tout simplement.
1- si tu restais uniquement dans une vision scientifique, tu ne verrais rien.
2- « qu'on me montre » => la « démonstration » a une valeur, mais dans l’holistique, l’expérience personnelle intérieure est indispensable. Sans quoi, on ne risque pas d’être convaincu…
J’y reviendrai dans un 2è post, en parlant de mon expérience holistique (qui est en perpétuelle évolution évidemment).
Oui, ça rejoins ce que je dis précédemment.C'est un défaut de la nature humaine : c'est logique qu'un point de vue admis par un grand nombre de personnes soit plus difficile à remettre en cause qu'une opinion prônée par un plus petit groupe, hélas.
J'aime beaucoup ta vision critique "réellement scientifique" (il y a tellement de "scientifiques" ou assimilés qui sont pétris d'a priori, et donc intellectuellement malhonnêtes... et donc, trouvé-je bien peu scientifiques dans leur démarche)
ça va faire l’objet d’un 2è post car tu me demandes de synthétiser, en qqs paragraphes, 30 ans de recherches personnelles. (eh oui, je n’ai pas fait de cours, là-dessuscomment sais-tu que c'est cette acidité qui est à l'origine de l'évolution de ta maladie ?… La science tire sa connaissance de l'étude détaillée et de la preuve scientifique. D'où la vision holistique tire sa connaissance ?»

je vais reposer mes neurones confits...
@+
Om.