Présentation de Julnar
Posté : 07 avr. 2019, 18:01
Bonjour à Tous
J'ai 63 ans habite Toulouse ma sep rémittente récurrente s'est déclarée en 2005 par une diplopie. Chose très curieuse, mes deux filles ont aussi une SEP RR ce qui étonne les neuros. Après plusieurs bolus de cortisone la diplopie c'est réduite puis à disparu en deux ans. La fatigue est régulière, plusieurs poussées par an traitées par bolus. Les IRM cérébrales ont confirmé les diagnostics. Les troubles des sphincters ( très handicapants) sont très bien atténués par le TENS (électrostimulation transcutanée à l’intérieur des chevilles). En 2016 traitement par Plégridy (inteféron en sous cutané tous les 15 jours) puis arrêt pour cause de baisse de lymphocytes et me rendant trop dépressif. Capable de marcher 3 ou 4 heures jusqu’à maintenant (Aout 2018) la duré est réduite à 3 1/4 d'heure avec de la spasticité, cela à la suite d'une poussée en septembre traitée par un bolus en comprimé cette fois-ci, et pour la première fois j'ai eu droit à un rebond. (Les surrénales voyant de taux élevé de cortisone, ce sont endormies et pas réveillées à l'arrêt du bolus. La spasticité a été traitée au baclofène , je le l'ai pas bien supporté et suis passé au valium sans grands résultats. Les exercices d'élongation des muscles des jambes, débutés depuis un mois améliorent un peu; je ne traine plus la pointe du pied la journée, mais toujours en fin de marche. Le neuro prévoit un traitement de fond à l' ocrélizumab dans un mois. Ce traitement semble prometteur. Je viens de passer les examens sanguins et revoit le neuro le 29 avril. Cerise sur le gâteau j'ai du être opéré de la prostate ; il a fallut bien 6 mois pour redevenir presque tranquille de ce côté.
Bon courage à tous.
J'ai 63 ans habite Toulouse ma sep rémittente récurrente s'est déclarée en 2005 par une diplopie. Chose très curieuse, mes deux filles ont aussi une SEP RR ce qui étonne les neuros. Après plusieurs bolus de cortisone la diplopie c'est réduite puis à disparu en deux ans. La fatigue est régulière, plusieurs poussées par an traitées par bolus. Les IRM cérébrales ont confirmé les diagnostics. Les troubles des sphincters ( très handicapants) sont très bien atténués par le TENS (électrostimulation transcutanée à l’intérieur des chevilles). En 2016 traitement par Plégridy (inteféron en sous cutané tous les 15 jours) puis arrêt pour cause de baisse de lymphocytes et me rendant trop dépressif. Capable de marcher 3 ou 4 heures jusqu’à maintenant (Aout 2018) la duré est réduite à 3 1/4 d'heure avec de la spasticité, cela à la suite d'une poussée en septembre traitée par un bolus en comprimé cette fois-ci, et pour la première fois j'ai eu droit à un rebond. (Les surrénales voyant de taux élevé de cortisone, ce sont endormies et pas réveillées à l'arrêt du bolus. La spasticité a été traitée au baclofène , je le l'ai pas bien supporté et suis passé au valium sans grands résultats. Les exercices d'élongation des muscles des jambes, débutés depuis un mois améliorent un peu; je ne traine plus la pointe du pied la journée, mais toujours en fin de marche. Le neuro prévoit un traitement de fond à l' ocrélizumab dans un mois. Ce traitement semble prometteur. Je viens de passer les examens sanguins et revoit le neuro le 29 avril. Cerise sur le gâteau j'ai du être opéré de la prostate ; il a fallut bien 6 mois pour redevenir presque tranquille de ce côté.
Bon courage à tous.