Ouh comme je te rejoins Lélé !
Je dirais même : enfin une parole sage.
Ouh comme je te rejoins Lélé !
lélé a écrit : Ensuite j'ai vraiment l'impression en lisant ce poste que les médecins sont des bons à rien et que c'est eux qui devraient finir en HP
Je ne sais pas si on doit faire une généralité de tout
C'est dommage
bin on verra quand ça sera votre tour les filles. ne jamais jeter la pierre parole de sageMargot a écrit : Ouh comme je te rejoins Lélé !
Je dirais même : enfin une parole sage.
En faiteLa sep cest cool a écrit : ↑22 juin 2021, 16:37oui donc 51% risque de SEP après diagnostic de la schizophrénieNostromo a écrit : Surrisque de sep si diagnostic de SCZ antérieur : +51%
Surrisque de SCZ si diagnostic de sep antérieur : +26%
et 26% de risque de schizophrénie après le diagnostic de la SEP
Ca prend un peu de temps pour trouver le bon dosage, c'est normal. Mais avec le doc, tu vas trouver ce qui te va, pour aller mieuxLa sep cest cool a écrit : ↑21 juin 2021, 21:13C'est que j'ai fait il m'a proposé de faire soit :maglight a écrit :
Tu devrais peut-être les prévenir pour qu'ils avancent un peu le traitement, si tu ne l'as pas déjà fait.
- 75mg pour 3 semaines
- ou bien 100 mg pour 4 semaines
Et j'ai choisis 100mg 4 semaines parce que je n'aime pas les piqures. Mais du coup ça ne marche pas je vais devoir passé a 3 semaines. C'était un mois test a mon avis.
je me demande si SEP ça serait juste un stress intense. puisque trouble psychologique et SEP c'est lié.
j'ai la gerbe en mer, dès qu'il y a trop de houle, au point de préférer sauter par dessus bord, pour rejoindre la terre ferme !
Heu, comment dire... non, tu n'as pas tout à fait compris.oui donc 51% risque de SEP après diagnostic de la schizophrénieNostromo a écrit : Surrisque de sep si diagnostic de SCZ antérieur : +51%
Surrisque de SCZ si diagnostic de sep antérieur : +26%
et 26% de risque de schizophrénie après le diagnostic de la SEP
j'ai compris youpi ! lol ça va j'ai encore toute ma tête![]()
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Quand j'ai refusé, ma décision était mûrement réfléchie et j'étais par conséquent prêt à mordre si on avait voulu me coller sous traitement malgré tout. Il reste qu'on n'en est pas arrivé là, ça s'est fait entre gens bien élevés, du coup la neuro à qui j'avais à l'époque opposé mon refus (ça se passait à Genève) m'avait peu de temps après fait comprendre que j'étais "guéri" (sic.) (les neuros ont trouvé une raison de vivre le jour où on a commencé à leur servir sur un plateau des traitements contre la sep, leur vie auparavant devait être un calvaire permanent ; avec certains, refuser un traitement correspond à leur faire disparaître d'un coup de baguette magique la chaise sur laquelle ils sont assis).Peut être que ceux qui ont refusé ce sont des personnes avec une petite dépression, un peu d'anxiété. du coup on ne les a pas obligé à prendre de traitement.
On commence à y voir plus clair. Et plus sombre, à la fois... Tu devrais fréquenter un forum de droit, en plus de celui-ci, ce que tu me racontes me heurte profondément et m'emplit d'un mélange de colère et de tristesse. Qu'on t'impose un traitement contre la SCZ me pose d'ailleurs beaucoup moins de problème, qu'un traitement contre la sep. Or c'est de traitement contre la sep qu'il est question ici...en faite, mes parents m'ont balancé ils ont dit que je prennais pas le traitement de la SEP au neuro, les médecins on vu mon état ils ont dit a mes parents que ça n'allait pas du tout (lol) du coup ça correspondait aux déclarations de mes parents et ils ont procédé a l'hospitalisation. et c'est lui qui a fait la demande au psy. c'est comme ça que ça c'est déroulé. je suis partit de chez mon neuro (d'un rdv a la base pour la SEP) et ensuite ils m'ont analysés il y a eu une psy qui est venu et quelques après il m'ont embarqué pour un autre hôpital.
Je n’ai pas vraiment la même interprétation de ce qui a pu se passer. J’ai un sérieux doute sur le fait que, Sandrine, l’arrêt de ton traitement SEP ait pu être déterminant dans ton hospitalisation.Nostromo a écrit : ↑22 juin 2021, 19:10
On commence à y voir plus clair. Et plus sombre, à la fois... Tu devrais fréquenter un forum de droit, en plus de celui-ci, ce que tu me racontes me heurte profondément et m'emplit d'un mélange de colère et de tristesse. Qu'on t'impose un traitement contre la SCZ me pose d'ailleurs beaucoup moins de problème, qu'un traitement contre la sep. Or c'est de traitement contre la sep qu'il est question ici...en faite, mes parents m'ont balancé ils ont dit que je prennais pas le traitement de la SEP au neuro, les médecins on vu mon état ils ont dit a mes parents que ça n'allait pas du tout (lol) du coup ça correspondait aux déclarations de mes parents et ils ont procédé a l'hospitalisation. et c'est lui qui a fait la demande au psy. c'est comme ça que ça c'est déroulé. je suis partit de chez mon neuro (d'un rdv a la base pour la SEP) et ensuite ils m'ont analysés il y a eu une psy qui est venu et quelques après il m'ont embarqué pour un autre hôpital.
donc pour toi, si le fait d'avoir refuser un traitement a permis de faire lever les médecins de leur chaises ?Nostromo a écrit : (les neuros ont trouvé une raison de vivre le jour où on a commencé à leur servir sur un plateau des traitements contre la sep, leur vie auparavant devait être un calvaire permanent ; avec certains, refuser un traitement correspond à leur faire disparaître d'un coup de baguette magique la chaise sur laquelle ils sont assis).
si j'ai bien compris, si on t'avait proposé un traitement dès le départ tu aurais accepté ?Nostromo a écrit :Or j'en étais alors à plus de 10 ans de sep, des poussées de plus en plus espacées et deux ans et demi depuis la précédente, pas de handicap visible, des IRM qui montraient une amélioration par rapport à celle du diagnostic, enfin si on m'avait proposé ça le jour du diagnostic j'aurais signé tout de suite ;
je ne prenais pas le Gylenia parce que les cheveux tombaient et ma mère relançait plusieurs fois le neuro pour que je change de traitement. (moi de mon côté je ne le prenais pas) du coup il a accepté de changer pour le Tysabri uniquement quand je suis allé a l'hôpital psy. après me souvenir de la discussion relève de l'impossible puisque ça fait maintenant 3 ans.Nostromo a écrit :Comment as-tu justifié à ton neuro que tu ne prenais pas ton traitement ? Quelle a été sa réponse ? Je suis réellement curieux de savoir où tu es suivie, mais je comprendrais d'éventuelles réticences à me répondre.
Je suis une femme, je tenais à préciser au cas où il y aurait un mal attendu...lélé a écrit : La sep c'est cool, tu mets encore toutes les nanas dans le même panier. On est tous différents .
Et tu ne m'as pas répondu pour le tysabri en injection et non en perf en même temps que le vaccin covid
Bloub a écrit : ↑22 juin 2021, 19:38Je rejoins ton interprétation .Nostromo a écrit : ↑22 juin 2021, 19:10
Je n’ai pas vraiment la même interprétation de ce qui a pu se passer. J’ai un sérieux doute sur le fait que, Sandrine, l’arrêt de ton traitement SEP ait pu être déterminant dans ton hospitalisation.
La neuro a pu constater, même si c’était dans le cadre d’une consultation pour la SEP, que tu semblais psychiquement en souffrance (ce que constataient tes parents aussi), et donc demander l’avis d’un spécialiste, un psychiatre en l’occurrence — ce qui aurait tout aussi bien pu se produire par l’intermédiaire d’un généraliste que tu aurais consulté pour une angine. Ça n’aurait pas pour autant fait de l’angine un argument en faveur de ton hospitalisation…
Enfin, c’est plutôt comme ça que je le comprends.
Tu t'es fourvoyée, nos réponses n'ont rien à voir avec la schizophrénie, on sait tous que personne n'est à l'abri d'une maladie (on est bien placés pour le savoir)...La sep cest cool a écrit : ↑22 juin 2021, 18:09lélé a écrit : Ensuite j'ai vraiment l'impression en lisant ce poste que les médecins sont des bons à rien et que c'est eux qui devraient finir en HP
Je ne sais pas si on doit faire une généralité de tout
C'est dommagebin on verra quand ça sera votre tour les filles. ne jamais jeter la pierre parole de sageMargot a écrit : Ouh comme je te rejoins Lélé !
Je dirais même : enfin une parole sage.la SCZ c'est typiquement féminin parait-il
Je comprends ton point de vue, à vrai dire j'essaye de tirer les choses au clair, mais le moins qu'on puisse dire est que Sandrine aime se faire tirer les vers du nez. En l'occurrence j'essayais de savoir dans quelle mesure le traitement contre la sep de Sandrine lui avait été imposé, ou s'il était le résultat d'un choix consenti (choix dans lequel l'option "pas de traitement du tout" était possible). Je n'avais encore aucune certitude sur la question, maintenant ça va mieux : voir plus bas.Bloub a écrit :Enfin, c’est plutôt comme ça que je le comprends.
Sois à ce qu'on te ditmaglight a écrit :j'ai la gerbe en mer, dès qu'il y a trop de houle, au point de préférer sauter par dessus bord, pour rejoindre la terre ferme !
La probabilité que tu passes devant ce bateau et qu'il porte ce nom est étonnante , je trouve une fois de plus, que le hasard, fait de drôles de choses !
Pas de se lever : de tomber sur leur c*l et ouille ça fait mal, plutôtla sep cest cool a écrit :donc pour toi, si le fait d'avoir refuser un traitement a permis de faire lever les médecins de leur chaises ?
Oui, très certainement, mais ça n'est pas ce que je voulais dire. Il faut que tu comprennes que quand j'ai été diagnostiqué, en 1995 donc, les seuls traitements disponibles étaient les interférons-bêta (Avonex, Bétaséron, Rebif), et encore, ils n'avaient pas encore reçu leur AMM, ils n'étaient administrés que de façon expérimentale. Au moment du diagnostic puis de mon acceptation, je m'étais donc fait à l'idée que j'étais atteint d'une maladie contre laquelle il n'existait pas vraiment de traitement. J'ai continué à revoir mon neuro de temps à autres (disons deux fois par an dans les deux premières années) et il m'avait rapidement fait comprendre que comme j'avais très bien récupéré de la poussée de mon diagnostic, comme d'ailleurs de la suivante, on pouvait se permettre de temporiser. De fait, hors période de poussée, je ne me sentais pas particulièrement malade.si on t'avait proposé un traitement dès le départ tu aurais accepté ?
Hmm, on se rapproche de la vision de Bloub, voir plus hautje ne prenais pas le Gylenia parce que les cheveux tombaient et ma mère relançait plusieurs fois le neuro pour que je change de traitement. (moi de mon côté je ne le prenais pas) du coup il a accepté de changer pour le Tysabri uniquement quand je suis allé a l'hôpital psy. après me souvenir de la discussion relève de l'impossible puisque ça fait maintenant 3 ans.
mag, c'est ma sœur de sangje pensais que maglight c'était amis à toi... tu as raison on est tous dans le même bateau. Mais à mon avis il y a des touristes sur le forum.
C'est vrai que les neuro sont différents. Quand j'étais aller pour faire une deuxième IRM les médecins avait vu la première et m'avait dit " oui bon il y a quelques tâches c'est pas très grave". Tu as trouvé chaussure à ton pied c'est une bonne chose. j'hésite un peu à changer de neuro. Peut être aller voir un autre pour se faire une autre idée de la SEP. Pourquoi pas.Nostromo a écrit : Très minoritaire, parce que le tout-venant des neurologues ne jure que par les traitements... Ce serait une (autre) grave erreur de ta part de croire que tous les neuros jouent la même partition,
Après oui si pendant ces 10 dernières années tu n'as pas eu de poussé pourquoi prendre un traitement maintenant ? ça n'aurait aucun sensNostromo a écrit : En outre il se disait volontiers, à l'époque, qu'une absence de handicap après dix ans de sep (c'était donc mon cas) était un argument très fort pour une suite de la maladie sur la même (douce) musique : l'histoire que j'avais commencé à écrire avec ma bête avait évidemment joué un rôle important dans ma décision, à ce moment-là, de ne pas prendre de traitement.
ça devait être un échange de bon procédé oui,... enfin bonNostromo a écrit :c'était en fait toi qui étais demandeuse d'un autre traitement, et comme il avait dû pressentir chez toi la présence de troubles d'ordre psychiatrique, il en a profité pour te la jouer au "donnant-donnant" (le B.A.-BA de la négo).
Donc j'avais raison vous vous connaissezNostromo a écrit :mag, c'est ma sœur de sang. Nous avons tous les deux à peu près la même tête de lard, juste pas avec les mêmes opinions. On ne peut pas tout avoir
.Ah sinon, il n'y a pas de touristes sur ce forum, juste des sépiens. Ce qui nous unit est assez fort pour faire passer nos différences au deuxième plan.
Si tu en as la possibilité (cette possibilité est beaucoup plus facile à atteindre qu'on croit, elle ne fait simplement pas partie de notre éducation, de notre culture), il faut autant que possible ne pas se laisser commander par le temps qui passe. Apprends à faire du temps ton alliéLa sep cest cool a écrit :Alors j'ai mis du temps a répondre le temps de bien analyser ta réponse et que ça monte dans mon cerveaufaut un petit un peu de temps lol
Ce qu'il fallait surtout retenir, c'est qu'il existe plusieurs chapelles chez les neuros. C'est en fait le corollaire direct de l'ignorance de la médecine, en l'occurrence de la neurologie : si "le savoir", si les connaissances étaient toutes solides comme le roc, il n'y aurait qu'une seule ligne de pensée (avec certes quelques divergences, mais mineures). Or ces divergences sont nombreuses et loin d'être mineures : leur nombre et leur ampleur sont un excellent indicateur du flou du "savoir" accumulé sur le sujet.C'est vrai que les neuro sont différents. Quand j'étais aller pour faire une deuxième IRM les médecins avait vu la première et m'avait dit " oui bon il y a quelques tâches c'est pas très grave". Tu as trouvé chaussure à ton pied c'est une bonne chose. j'hésite un peu à changer de neuro. Peut être aller voir un autre pour se faire une autre idée de la SEP. Pourquoi pas.
Non, à l'époque (on était au deuxième semestre 2003) j'avais fait ce qu'il fallait comme poussées, la première début février 1993, la plus récente en décembre 2000 (cela faisait donc huit ans de poussées et un peu plus de deux ans et demi depuis la dernière, ce qui était mon "record" à l'époque). Leur rythme tendait à décroître naturellement et surtout (c'est un facteur essentiel dont je regrette qu'il soit quasi-systématiquement oublié dans les études), j'en récupérais très bien à chaque fois. Je suspectais par ailleurs la possibilité d'une poussée, parce que j'avais connu quelques semaines plus tôt des faiblesses musculaires caractéristiques. Ma neuro genevoise pensait que j'étais en poussée, mon neuro parisien pensait que j'étais en poussée, seulement une IRM effectuée quelques semaines plus tard n'avait montré aucune évolution (sinon une amélioration...) par rapport à la précédente, ce qui en excluait donc la possibilité. A ce jour, ma poussée de décembre 2000 est toujours la plus récente, ce qui n'a pas grand chose d'exceptionnel dans la mesure où une sep qui commence par une forme récurrente-rémittente a deux existences : une première sous le signe de l'inflammation (poussées fréquentes), une deuxième où les poussées s'espacent puis disparaissent, et où la neurodégénérescence prend le relais (sep secondaire progressive). Il est relativement commun de ne plus faire de poussée après dix ans dans la maladie. Or, la seule efficacité proclamée des traitements est de... réduire la fréquence des poussées. Si tu n'en fais plus, il ne reste pas grand chose à réduire...Après oui si pendant ces 10 dernières années tu n'as pas eu de poussé pourquoi prendre un traitement maintenant ? ça n'aurait aucun sens
et ces derniers moi tu as eu des poussées ?
Je ne sais pas dans quelle mesure un toubib, s'il suspecte chez un patient une pathologie suffisamment grave mais qui n'est pas de sa spécialité, n'a pas le devoir (l'obligation) d'en informer les collègues qui vont bien.ça devait être un échange de bon procédé oui,... enfin bon
A vrai dire, nous nous sommes rencontrés à plusieurs reprises entre membres du forum, mag et Caribou étaient venues me rendre visite dans mes terres, je m'étais quant à moi fendu d'un aller/retour à Paris, ... ce forum est spécial, il a une âme. C'est mon côté lumineux qui ressort, désoléDonc j'avais raison vous vous connaissez![]()
Quand je disais il y a des touristes c'est parce que je pense qu'il y a des personnes non sépiens inscrit sur ce forum. C'est mon côté sombre qui resort désolé ...
Il y a toujours moyen de trouver à s'occuper, moi je dis...moi je ne travail pas ça va être l'ennui total
je pense que l'erreur que j'ai faite c'est d'avoir arrêté mon traitement sans en avoir parler a mon neuro... a mon avis une fois qu'on a refuser c'est refuser. Mais une fois que ça été commencé on ne peut pas l'arrêter comme ça. je crois que l'IRM c'est révélateur de quelque chose. Mais moi je ne me sent pas malade ou différente. après c'est mon ressentit personnelle.Nostromo a écrit : si "le savoir", si les connaissances étaient toutes solides comme le roc, il n'y aurait qu'une seule ligne de pensée (avec certes quelques divergences, mais mineures). Or ces divergences sont nombreuses et loin d'être mineures : leur nombre et leur ampleur sont un excellent indicateur du flou du "savoir" accumulé sur le sujet.
L'erreur que tu as faite est d'avoir arrêté le Gilenya en particulier, et sans en parler au neuro. Si tu avais pris un autre traitement, ça n'aurait pas été aussi critique.La sep cest cool a écrit :je pense que l'erreur que j'ai faite c'est d'avoir arrêté mon traitement sans en avoir parler a mon neuro... a mon avis une fois qu'on a refuser c'est refuser. Mais une fois que ça été commencé on ne peut pas l'arrêter comme ça.
Bin si tu parles du Tysabri, c'est assez immédiat, vu qu'il ne peut être administré qu'à l'hôpital et sous la supervision d'un neurologue qui connaît bien son affaire. Je te cite la notice du Tysabri (dont je te promets que ceux qui l'ont rédigée n'avaient pas conscience de ton existence) : "le traitement par Tysabri doit être instauré et surveillé de manière continue par des médecins spécialistes, expérimentés dans la pose de diagnostics et dans le traitement des affections neurologiques, dans des centres disposant d'un accès rapide à l'IRM" (en particulier pour surveiller le risque de LEMP). Tu pensais à quoi, sinon ?et je suis bien décidé a prendre mon traitement. de tout façon, je suis obligé de le prendre enfin bon mon psy a inventer un ptit système (que j'ai découvert) pour s'assurer que je prenne mon traitement![]()
Je fais la mienne demain.concernant la vaccination contre le covid, je ne sais pas vous mais moi je vais faire ma deuxième dose en juillet
surtout ça coûte et ça surcharge les hôpitaux.Nostromo a écrit : Pas de quoi sauter de joie au plafond quand tu es le neurologue qui se retrouve à devoir gérer une telle situation...
alors je peux te dire j'en suis la preuve le secret médical certains s'en contre balance. ma mère elle assistait a mes rdv avec le neuro. et on donnait des certificat médicaux a mes parents contre ma volonté. je l'ai très très mal vécu parce t'a l'impression de ne plus exister. on fouillait dans mes documents. comme si j'étais une enfant. Maintenant mes documents sont tous récupéré je vous le confirme lolNostromo a écrit :oui certes, peut-être, mais à l'OFSP c'est rempli de fonctionnaires qui ne sont pas tenus par le secret médical, et moi le secret médical, j'y tiens.
alors je n'ai pas la date exact mais un des internes m'a dit que lorsqu'on arrête le traitement des nouvelles lésion peuvent apparaitre. Jai regarder les compte rendu effectivement le neuro dit qu'il y avait de nouvelle lesion le 8/11/ 18 quand jai arreter le gilenya.Nostromo a écrit :Tu te rappelles la date à laquelle tu as arrêté de prendre le traitement, et la date à laquelle tu as embrayé sur le Tysabri ?
comme le montre si bien la pub les ouvertures dépendent de la vaccination. donc je pense qu'elle est obligatoire de manière indirect puisque les force de l'ordre ont été mobilisé pendant le confinement. en faite moi j'ai été enfermé deux fois. je suis sortie de l'hôpital je me suis retrouvé confiné. trop chanceuse. en tout cas le principe de la schizophrénie c'est la même chose que le covid j'ai l'impression. tu ne te soigne pas, résultat t'es enfermé. lolNostromo a écrit :Ayé sinon, je sors de ma deuxième injection.
Dans ton cas il y a tout de même une éventuelle tutelle / curatelle motivée par ton état psychiatrique, il est possible que ton tuteur / curateur dispose de droits d'accès plus complets à ton dossier. En ce qui me concerne j'ai déjà changé de dentiste parce qu'il m'avait montré, pour me convaincre que tel type d'intervention qu'il voulait faire dans ma bouche donnait de bons résultats, le dossier d'un patient à qui il avait déjà fait la même chose. Le nom du patient était apparent, ce Jean-Foutre de dentiste ne m'a plus jamais revu... Le serment d'Hippocrate n'est pourtant pas si compliqué, il tient sur même pas un quart de page, par quelle diablerie un toubib qui n'est même pas capable de suivre ce protocole pourrait-il se dépatouiller d'un plus compliqué ?La sep cest cool a écrit :alors je peux te dire j'en suis la preuve le secret médical certains s'en contre balance.
L'apparition de nouvelles lésions n'est pas d'une importance capitale tant que ces nouvelles lésions restent asymptomatiques (tant qu'elles ne se transforment pas en poussée, si tu préfères). Ma crainte était plutôt que tu fasses une grooosse poussée, avec plein de symptômes tous plus pénibles les uns que les autres, car c'était de ça qu'il était question pour les 10% qui connaissaient cet "effet rebond". En attendant, si tout ça remonte à 2018 (j'envisageais que la chose pouvait être beaucoup plus récente), tu es laaargement tirée d'affaire de ce côté, puisque ce fameux "effet rebond" est dit se concentrer entre quatre semaines (début) et quatre mois (fin) après l'arrêt du Gilenya. Là tu en es à quelques années...alors je n'ai pas la date exact mais un des internes m'a dit que lorsqu'on arrête le traitement des nouvelles lésion peuvent apparaitre. Jai regarder les compte rendu effectivement le neuro dit qu'il y avait de nouvelle lesion le 8/11/ 18 quand jai arreter le gilenya.
salut !Nostromo a écrit :Ma crainte était plutôt que tu fasses une grooosse poussée, avec plein de symptômes tous plus pénibles les uns que les autres, car c'était de ça qu'il était question pour les 10% qui connaissaient cet "effet rebond". En attendant, si tout ça remonte à 2018 (j'envisageais que la chose pouvait être beaucoup plus récente), tu es laaargement tirée d'affaire de ce côté, puisque ce fameux "effet rebond" est dit se concentrer entre quatre semaines (début) et quatre mois (fin) après l'arrêt du Gilenya. Là tu en es à quelques années...
L'apéro sans moiNostromo a écrit :Et maintenant, apéroooo ! à demain?
Une chose a attiré mon attention. Il existe plusieurs formes de schizophrénie dont une, serait d’origine inflammatoire.Maladies psychiatriques et neurologiques : les différences
L’hypothèse neuro-biologique des maladies psychiatriques est très ancienne et la plupart des sites de recherche expriment que les maladies psychiatriques, dont la schizophrénie, sont une catégorie des maladies du système nerveux central, comme les maladies neurologiques (telles que la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques ou la maladie d'Alzheimer).
Par exemple :
La fédération pour la recherche sur le cerveau
L’institut du cerveau et de la moelle
Le Centre de Psychiatrie et Neurosciences
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/c ... tes_122385Le chercheur français Guillaume Fond a justement lancé une vaste étude l'année dernière visant à mieux caractériser les différents types de schizophrénie. Il est en effet difficile de dénombrer le nombre exact de formes cliniques de schizophrénie.
De fait si "la" schizophrénie recouvre bien un ensemble de symptômes communs, ses causes peuvent elles être très différentes : neuro-anatomiques, génétiques, inflammatoires... Une classification plus précise est importante car elle permettrait de "mieux savoir qui va répondre à tel ou tel traitement, à quelle dose, etc.", ajoute-t-il.
https://www.les-schizophrenies.fr/actua ... u-lie-a-laLes scientifiques ont aussi pu quantifier et qualifier la structure de la matière blanche (les fibres nerveuses) et de la myéline (qui protège les fibres nerveuses, assurant ainsi une transmission correcte). Dans les parties atteintes des cerveaux de schizophrènes, elles se trouvent altérées. La conséquence de cela est d’abord la présence de connexions moins efficaces chez les patients. En effet, obligées de contourner les parties atteintes, les connexions doivent trouver d’autres chemins, plus longs, et sont du coup moins efficientes. Le réseau de connexions se trouve de ce fait plus décentralisé chez les patients schizophrènes que chez les sujets sains. Pour les chercheurs, l’observation de ces altérations structurelles et la topologie décentralisée des parties atteintes pourraient constituer un des mécanismes principaux de la schizophrénie.
Et oui,La sep cest cool a écrit : ↑26 juin 2021, 09:52 L'apéro sans moi
lol
on va éviter de détruire la substance blanche
lélé a écrit : En prenant le seroplex un antidépresseur à base de sérotonine ça me fait un bien fou
Les carences ne sont pas anodines
Le dernier lien, sans doute (ARN messager comme traitement d'avenir, par exemple via la production d'oligodendrocytes ; les oligodendrocytes sont les cellules gliales qui fabriquent, entretiennent, voire remplacent la myéline endommagée, mais elles finissent par s'épuiser sans être renouvelées ; si tu peux arriver à remplacer celles qui s'épuisent par des neuves, ça devient une autre histoire).La sep cest cool a écrit :J'ai trouvé ça sur internet : [...] je ne sais pas s'il y a un rapport avec la SEP
Au point où on en est...L'apéro sans moi![]()
lol
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moi maintenant je prend soin de mon corps fini la cigarette, ça fait un moment j’ai arrêter de toute façon (je fumais parce que j’étais en colère)Nostromo a écrit : Au point où on en est...
j'avais refuser les antidépresseurs on m'avait proposé avant que mon état se dégrade.lélé a écrit : En prenant le seroplex un antidépresseur à base de sérotonine ça me fait un bien fou
C'est leur composition qui est importante. Surtout les acides gras poly insaturés qu'elle contiennent.