- Ma nouvelle secrétaire, raconte un homme d'affaires à un ami, a procédé au réaménagement de son bureau, avec un véritable génie. Ce qui me plaît, surtout, c'est que, désormais, le bar est directement accessible, même quand on est allongé sur le divan.
- Je comprends, dit à un de ses employés, le patron d'une petite entreprise, que vous ayez été un peu perdu à la suite du transfert de notre usine dans cette lointaine banlieue où les rues sont très mal indiquées. Mais, enfin, cela fait deux mois, maintenant, que nous vous attendons.
- Hier, raconte un employé, le vice-président de la firme est venu visiter nos bureaux avec son chien. Il s'est très mal conduit en aboyant après tout le monde et en fourrageant sous les jupes des plus jolies secrétaires. Et son chien lui-même n'est pas mieux élevé.
- Mademoiselle Myriam, dit le patron à qui sa secrétaire vient de donner le courrier à signer, je viens de vous dicter une lettre purement commerciale, destinée au représentant des produits Moulinet. Même si, comme cela se colporte, parmi vos collègues, lors de chacune de ses visites ici vous allez vous enfermer une demi-heure avec lui dans le placard à balais, cela ne justifie pas qu'en bas de ma lettre, vous ajoutiez : « Gros bisous, partout, partout, partout, de ta petite Totoche qui t'adore ».
En engageant une employée dont la jupe courte dévoile des jambes superbes, le chef du personnel lui dit : - Nous allons installer votre bureau, là, juste sous la pendule. Comme ça, vos collègues ne lèveront la tête de leur travail qu'une seule fois toutes les trois minutes, pour vous regarder toutes les deux à la fois.
Au cours de la fête annuelle de l'entreprise, un employé cherche partout sa femme qui a disparu. Enfin, il la retrouve, installée sur les genoux du patron. Celui-ci, sans se troubler, déclare : - Mon cher Madureau, votre épouse m'a convaincu de ses qualités exceptionnelles : je l'engage comme secrétaire particulière. Et pour vous remercier d'avoir eu la bonne idée de me la présenter, je vous nomme chef de notre filiale à Ouagadougou.
Le chef de service vient parler au directeur d'un très mauvais employé. - Il n'arrête pas, dit-il, de commettre des erreurs. Je suggère qu'on l'affecte à un poste où il remue beaucoup d'air, sans que ses décisions soient jamais suivies d'effet. - Mais... objecte le directeur, si je lui donne ma place, qu'est-ce que je vais devenir, moi ?
- Mon patron, raconte une secrétaire, me retenait de plus en plus tard, le soir, pour me dicter du courrier, mais j'ai trouvé le truc pour l'en dissuader. - Qu'as-tu fait ? - Désormais, au bureau, je porte des jupes qui m'arrivent au genou.
La déléguée du personnel vient trouver un chef d'entreprise et lui dit : - Mademoiselle Duvalet, du service courrier, se plaint de ce que vous la harceliez sexuellement. En tant que syndicaliste, je ne peux que désapprouver votre attitude. Maintenant, en tant que femme, je me demande : « Qu'est-ce que cette petite gourde aux fesses plates peut bien avoir de plus que moi »
- Je dois aller en voyage d'affaires pour deux jours à Athènes, annonce un chef d'entreprise à sa femme. - Oh ! s'écrie-t-elle, j'aimerais tant découvrir la Grèce. Tu m'emmènes avec toi ? - Eh bien, peut-être. Si je te faisais passer pour ma secrétaire, ça pourrait être pris en frais généraux. Mais ça t'ennuie peut-être. - Pas du tout d'autant que je me rappelle comment, lorsque tu me suppliais de t'accompagner dans tes expéditions, avant qu'on ne soit mariés et que j'étais ta secrétaire, tu me faisais toujours passer pour ta femme.
