Re: Tabac et maladie neuro
Posté : 18 déc. 2018, 21:57
Ah d'accord
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Ave camarade, moritori...
Je bois peu, mais j'aime bien une très bonne bouteille de temps en temps et pour les grandes occasions. Un bon Meursault premier cru Génévrières ou encore, en rouge, un Chambertin Grand cru, par exemple...
La mort et les impôts : les deux seules choses au monde auxquelles personne n'échappe .Bashogun a écrit :Ave camarade, moritori...
J'en profite pour clarifier ma position, je ne suis pas certain qu'elle ait été bien comprise : le consensus médical actuel sur le tabac et la sep est que c'est mauvais. Ca, c'est pour les neurologues qui se tiennent à jour sur les résultats des études (il y en a eu quelques unes, récentes, qui tiennent plus ou moins bien la route et vont toutes dans le sens d'un effet légèrement négatif sur la sep). Pour les neuros qui sont moins à jour, comme ma voisine , on en reste à la croyance d'il y a vingt ans, où les effets sur la sep étaient positifs. Il reste que le "positif" d'alors comme le "négatif" d'aujourd'hui définissent une fourchette qui n'est pas bien large, qu'ils aillent dans un sens comme dans l'autre les effets restent relativement modérés.C'est vrai que c'est un plaisir, pour autant que ça ne devienne pas systématique. Je fume depuis pas mal de temps moins d'un paquet par jour - c'était bien plus il y a encore quelques années. Je suis passé par le vapotage, un temps, mais il faut croire que ça ne me suffit pas...
Entre Beaune et Nuits, ton cœur balance, c'est ton côté bourguignon . J'aime beaucoup le Meursault aussi, sa difficulté est qu'il exige un type très particulier de grande cuisine en face pour l'apprécier à sa vraie valeur. Le Chambertin est plus facile, de ce point de vue. En digestif je suis plus whisky que rhum (mais une bouteille me dure au moins une année), en rouge plus Côtes-du-Rhône que Bourgogne ou Bordeaux. En blanc, au fil du temps je suis devenu très vins suisses, en particulier vaudois, et plus spécifiquement de Lavaux (pas la peine de perdre ton temps à en chercher en France, ça s'exporte au compte-goutte, rares sont les bouteilles à atteindre ne serait-ce que la frontière : tout est bu avant). Avec les fruits de mer j'apprécie également certains vins de Loire comme le Menetou-Salon, qui arrive à perpétuer la tradition de minéralité que le Sancerre, qui en fut longtemps le champion, tend à oublier de plus en plus. Tout fout le camp...Je bois peu, mais j'aime bien une très bonne bouteille de temps en temps et pour les grandes occasions. Un bon Meursault premier cru Génévrières ou encore, en rouge, un Chambertin Grand cru, par exemple...
Je sens qu'il y a un sous-texte, mais comme je ne le comprends pas, je vais m'en tenir au pied de la lettre...
C'est très probable !... Mais j'ai sans doute plus de bouteille(s), 'ti jeune !
Il ne fallait pas chercher midi à quatorze heures : Meursault, c'est la Côte de Beaune, alors que Chambertin, c'est la Côte de Nuits. Un bon amateur de Bourgogne refuse d'en privilégier une au détriment de l'autre .Bashogun a écrit : ↑Je sens qu'il y a un sous-texte, mais comme je ne le comprends pas, je vais m'en tenir au pied de la lettre...Entre Beaune et Nuits, ton cœur balance, c'est ton côté bourguignon .
+1. J'ai eu la chance d'en boire (dans cette année), mais ça remonte à la fin des années 90. Le meilleur Bordeaux que j'aie jamais eu l'occasion de déguster était un Ducru-Beaucaillou 1990, celui-ci était hors norme.J'ai un souvenir mémorable d'un Château La Lagune 1982 à tomber (en plus, quelle année !),
1990, grande année aussi, si je me souviens bien !
Ca dépend. Si je ne parle que de la partie solide, j'ai une cave très sympathique : galets calcaires au sol, ventilation, murs tapissés de porte-bouteilles, un tonneau de Saint-Emilion Grand Crû au milieu en guise de table de bar, des verres, un réfrigérateur garni dans la pièce d'à côté, des biscuits apéro, enfin tout ce dont on peut raisonnablement avoir besoin si on est pris d'une envie brutale . Si je parle de la partie liquide maintenant, je pratique de moins en moins la gestion de cave : la gestion de ce qui devrait être un actif circulant en tant qu'actif immobilisé coûte fort cher ; d'autre part ça t'oblige à faire des estimations plus ou moins pifométriques sur le moment de l'apogée du vin, ce qui t'amène occasionnellement à taper avant ou pire, après ; la gestion d'un tel stock devient laborieuse à partir d'une quarantaine de références (crû / année) ; ... enfin c'est bien compliqué. Une telle difficulté n'est pas forcément un frein, sauf quand existe une solution simple qui évite de telles prises de tête : le caviste du coin .Bashogun a écrit :Tu as une cave et ce qu'il faut dedans ?
Un vendredi en fin d'après-midi, tu envisages quelque chose de mieux à faire que l'apéro ?PatrickS a écrit :Si j'ai bien suivi le sujet, vu que le tabac n'est pas bon, on commence à picoler?
C'est ce qui est de utilisé de plus en plus par les fumeurs "responsables" de cannabis. Aussi bien de cannabis récréatif (l'herbe qui fait rire) que de cannabis médical (celle qui apaise).Elle fumait une drôle de cigarette.
Un mixe entre une clope et une cigarette électronique.
Si j'ai bien compris, elle achète des bouts de cigarette ( c malbarow qui fait ca) qu'elle glisse dans son appareil.... résultat le tabac est cuit et ne fait pas de cendre.
Les filtres sont fait à base de cana sucre.
Donc plus de goudron. Au goût c'est pas mal ....ca reste le goût d'une clope
Et si en 20 ans, c'était aussi la "qualité" des cigarettes qui avait changé...?J'en profite pour clarifier ma position, je ne suis pas certain qu'elle ait été bien comprise : le consensus médical actuel sur le tabac et la sep est que c'est mauvais. Ca, c'est pour les neurologues qui se tiennent à jour sur les résultats des études (il y en a eu quelques unes, récentes, qui tiennent plus ou moins bien la route et vont toutes dans le sens d'un effet légèrement négatif sur la sep). Pour les neuros qui sont moins à jour, comme ma voisine , on en reste à la croyance d'il y a vingt ans, où les effets sur la sep étaient positifs. Il reste que le "positif" d'alors comme le "négatif" d'aujourd'hui définissent une fourchette qui n'est pas bien large, qu'ils aillent dans un sens comme dans l'autre les effets restent relativement modérés.
N'en dit pas plus... j'arrivegalets calcaires au sol, ventilation, murs tapissés de porte-bouteilles, un tonneau de Saint-Emilion Grand Crû au milieu en guise de table de bar, des verres, un réfrigérateur garni dans la pièce d'à côté, des biscuits apéro, enfin tout ce dont on peut raisonnablement avoir besoin si on est pris d'une envie brutale