Après consultation de plusieurs sites web j'ai conclu que les TDAH sont le plus souvent surdoué. En effet les symptômes du trouble et déficit de l'attention sont mots pour mots les mêmes que ceux de la surdouance.
Finalement, je pense donc qu'il y a 2 types de surdoués :
- les surdoués sans TDAH qui eux sont plus attentifs et réussissent mieux les test de QI (surdoués matheux) mais qui peuvent aussi présenter des signes de TDAH en cas d'ennui.
- les surdoués avec TDAH qui eux sont souvent dans "les nuages", leur hyperactivité ou leur déficit d'attention peuvent les faire rater les tests. Ils auraient un QI verbal bien supérieur au QI de performance, ce sont des surdoués d'avantage "littéraires".
Moi je me retrouve plus dans la seconde catégorie, dont voici les signes cliniques :
Fait preuve de peu d'attention en classe, il s'ennuie
A tendance à s'opposer à l'autorité du professeur
Souffre d'un manque d'estime de soi
Limite les relations sociales pour conserver une certaine marge de liberté et autonomie
A peu d'amis
Met en doute les règles et règlements
Est perfectionniste
A un développement inégal
L’immobilité génère une tension interne et de l’anxiété
Une recherche de sensations fortes (par exemple, dans les sports extrêmes, la vitesse, les drogues ou le jeu compulsif)
Fait preuve d'une autocritique excessive
A des tendances dépressives
Évite de prendre des risques
A peur de l'échec
Est impatient avec les autres
N'aime pas la routine
Pose beaucoup plus de questions que la normale
Est excessif dans ses intérêts
Résiste aux ordres
A un caractère fort
Un idéaliste qui aime aider les autres (ce qui peut créer des problèmes surtout en classe lorsque mal interprété entant que tricherie)
Résiste à la guidance
Remet en question les procédures d'apprentissage
N'aime pas les zones non claires ou illogiques
Se préoccupe de sujets humanitaires
Attentionné
Se pose et construit des règles compliquées
Voudrait être le chef
Adopte des démarches morales individualistes quand le besoin se manifeste
Utilise le langage pour manipuler les autres
Est intolérant
Néglige ses devoirs
Remet au lendemain les travaux d'aujourd'hui (Procrastination)
Trouble de sommeil, et surtout une incapacité à récupérer lorsque réveillé ou dérangé, Insomnie
Peut être perçu comme dérangeant, à côté de la plaque
A une grande habilité à interpréter différents rôles selon la situation ou le besoin
Dégage un trait de personnalité doux et attachant
Très grande difficulté à commencer une activité quelconque, toujours dispersé avec trop d'idées dans la tête à la fois
Peut être perçu comme têtu, borné
Peut développer des troubles anxieux
Apprécié la solitude
Infatigable physiquement, mais pas au niveau de l'esprit suivant l'ambiance ou l'humeur
Un quotient intellectuel au dessus de la moyenne
Des pensées mature ce qui l'empêche d'entretenir des bons relations avec des individus de son âge
Doté d'un caractère fun
Curieux
Se pose des questions existentielles
Écoute rarement quand on lui parle, a les idées toujours ailleurs
Est frustré par l'inactivité
Peut être perçu comme hyperactif
Peut sembler désorganisé et dispersé
Est frustré par le manque de temps
Possède parfois un drôle de sens de l'humour, les autres ne comprennent pas le sien et inversement
Personne réservée, à ne pas confondre avec timide ce qui peut l'être dans certains cas
Doté d'un caractère fun
Problème de mémoire
Est indépendant
Ouvert d'esprit
Préfère le travail individuel
Ment pour échapper aux activités de groupe surtout en classe
Recherche à organiser les choses et les gens
Une très grande imagination
A un vocabulaire étendu
A un sens de l'humour sans limite qui peut être vu par les autres comme une méchante moquerie ou une insulte
Possède des connaissances variées et étendues
A de grandes aspirations pour lui et les autres
Amasse ou recherche avidement et avec passion la collection d'objets (des livres, des films, des jeux, des albums musicaux, des photos, des magazines..)
Un sentiment de colère dirigé vers l'intérieur qui se manifeste physiquement par les gestes et la posture
Une forte capacité d'analyse
Des troubles addictifs (par exemple: jeux vidéo)
Est terriblement exigeant envers lui-même et les autres
Est créatif
Est inventif
Est intuitif
Fait preuve d'une hypersensibilité
A beaucoup d'énergie et de vivacité
Est loyal
Plusieurs chercheurs pensent en effet que les personnes THADA (avec ou sans hyperactivité) sont la plupart surdouées mais que leur inattention ou leur hyperactivité les empêchent de bien se concentrer sur les items du test de QI.
Cette observation me permet surtout de conclure que des résultats "bas" aux tests de QI ne permettent surement pas d'exclure un haut potentiel. La surdouance ne se résume pas à des capacités en math et logique surprenantes.
Modifié en dernier par Defcom le 27 sept. 2014, 20:34, modifié 1 fois.
Raison :Suppression des balises inutiles
merci emma!
j'ai parfois l'impression d'être un OVNI, de vivre sur une autre planète!
sentiment d'être incomprise par tous, d'être rejetée.
c'est frustrant..........
Très intéressant, je pense aussi que la HP ne se limite pas aux maths .
Rencontrer des personnes à HP est sûrement très intéressant et reposant aussi, la compréhension est plus naturelle et ne nécessite pas d'explications .
mariecg a écrit :Rencontrer des personnes à HP est sûrement très intéressant et reposant aussi, la compréhension est plus naturelle et ne nécessite pas d'explications .
C'est exactement ça. Ne plus avoir cette impression d'être un extra-terrestre. Se retrouver avec des gens qui comprennent que quand on dit : "Essayez de ne penser à rien." ce n'est pas toujours simple !
Le refus de grandir, de devenir adulte et d’accéder à la sexualité est fréquemment invoqué pour justifier l’apparition des troubles alimentaires. Or, si la perte ou la prise de poids induisent bel et bien un aspect corporel androgyne, pourquoi considérer d’emblée que celui-ci est recherché pour fuir à tout prix ses responsabilités d’adulte et sa féminité ?
De nombreuses études ont démontré que les adolescentes anorexiques ou boulimiques avaient généralement été des enfants responsable et matures, ne reculant devant aucun devoir et toujours prêtes à rendre service. Tout se passe comme si, à un moment, elles avaient cessé de croire en leur capacité d’affronter les situations de la vie de tous les jours, comme si elles avaient essayé d’être grandes, mais estimaient ne pas avoir réussi, comme si elles rêvaient de vivre pleinement leur rôle de femme, mais qu’elles craignaient d’y échouer.
Connaissant les caractéristiques de la douance (hypersensibilité, empathie, lucidité…) et les difficultés qui peuvent en découler (manque de compréhension, sentiment de non-appartenance au groupe des pairs, isolement…), on peut s’interroger sur l’influence de ces facteurs dans l’apparition des TCA. Avant de devenir anorexique ou boulimique, l’adolescente est généralement passée par une période durant laquelle elle se trouvait tiraillée entre son besoin d’autonomie et son incapacité à s’éloigner du cocon familial lié au manque d’identification possible aux autres jeunes de son âge. Durant cette période où elle aurait dû vivre différentes expériences plus ou moins fructueuses et les confronter à celles de ses pairs, cette jeune fille se sera sentie étrangère aux préoccupations des ses camarades, éloignée de leurs centres d’intérêt et de leurs façons de vivre le quotidien. Dès lors, il lui est quasi impossible de s’identifier à eux et de construire ainsi son identité propre. Aux yeux du monde extérieur, sa difficulté à assumer le passage à l’âge adulte passera pour un manque de maturité… Qui pensera à relier cette crainte à son extrême lucidité, à ses interrogations sans fin et à son perfectionnisme ?
oui mais insatisfaite!
mon humeur change si vite; je passe du rire aux larmes.
j'ai reçu un mail qui m'a bouleversée et je pleure.......
je le retrouve et le poste.
Je comprends que tu sois déstabilisée. Si les émotions sont si fortes c'est qu'elles évacuent tant de choses difficiles qui étaient restées enfouies au fond de toi et essayaient de se faire oublier. C'est probablement le prix à payer pour réussir à aller de l'avant.
P.S.: Ce message : Cela vient-il d'un zèbre ? J'en doute. Jalousie ?
http://lechoduparking.over-blog.com/art ... 65056.html
Deux solutions s’offrent à lui pour exprimer son mal-être : soit il accuse le monde extérieur et le rend responsable de tous ses maux. Il extériorisera alors ses difficultés à vivre cette situation en adoptant des comportements alarmants (arrogance, prétention, hyperactivité, ... ou isolement, dissipation, rêverie, parfois confondus avec un déficit d'attention) ; soit il se persuadera petit à petit que c’est lui qui est anormal et il intériorisera sa douleur par des comportements autodestructeurs (dépréciation, automutilation, troubles alimentaires, dépression…).
http://www.mieux-etre.org/Etre-HP-n-est ... -3306.html
Grille de lecture des « Emotifs Talentueux™ »
• Une hypersensibilité : un ressenti tout en subtilité par rapport au monde extérieur. Une capacité de ressentir les états d’esprit des autres, de se laisser toucher par une parole, un geste, un film. Une perméabilité à ce qui se passe autour lui : la personne HP peut fonctionner comme une éponge et il arrive qu’un simple changement puisse tout chambouler pour elle. C’est le cas de Claire qui raconte « Enfant, j’étais déjà capable de ressentir quand mes amies n’allaient pas bien, je savais exactement ce qu’elles vivaient et cela n’a pas changé aujourd’hui. Je vis la même chose quand je rentre dans un lieu, je sais tout de suite si je vais avoir envie d’y rester ou pas. C’est d’ailleurs difficile pour moi de me retrouver dans certains lieux publics, comme les centres commerciaux par exemple, j’ai l’impression que je prends toutes les émotions des autres, ça n’est pas qu’un avantage et il a fallu que j’apprenne à mieux me connaître pour ne pas me laisser épuiser par cela. Parfois, cela me gène car je regarde un film et je fonds en larme : dernièrement ma petite nièce m’a demandé pourquoi je pleurais en regardant Bambi … Pour parer à cet aspect, je suis dans l’hyper-contrôle en particulier au travail mais j’ai toujours l’impression d’être sur la corde raide et j’ai peur qu’un simple grain de sable fasse tout craquer un de ces jours »
• Le sentiment de rejet, l’impression de ne pas être à sa place et la recherche de reconnaissance pour se rassurer. En fonction de son trajet de vie, de la réaction de son entourage dès la petite enfance et la construction de son identité, la personne HP assume différemment le fait d’être « différente », de se sentir parfois ou souvent en décalage avec les autres. Se sentant jugé de « trop » ceci ou « pas assez » cela, il peut lui être difficile de se situer et une faible estime de lui n’est pas rare. Paul exprime ainsi son inconfort au niveau professionnel « J’étais en poste depuis 3 ans quand mon boss m’a proposé de travailler sur un nouveau projet. J’ai sauté sur l’occasion car j’aime les challenges. Très vite, j’ai eu une vision assez claire de la façon de l’implémenter et très vite je me suis retrouvé seul face à mes collègues qui mettaient en doute mes propositions. J’ai traversé un grand moment de solitude car je ne me sentais pas du tout épaulé par l’équipe et mon boss ne prenait pas position. C’était d’autant plus difficile que j’avais énormément travaillé pour avancer sur ce dossier, je voulais qu’il soit impeccable et c’était une manière pour moi de prouver ma valeur. Dès lors, si mon boss ne validait pas mon travail, cela signifiait que je n’étais pas sur la bonne voie, pire que j’étais nul, je me suis mis à douter et j’ai passé des nuits entières à me demander pourquoi il m’avait mis sur ce projet, quel était le piège. J’avais besoin d’être rassuré et tout dans le comportement de mes collègues me mettait en insécurité. J’en ai fait un burn-out. Seul un accompagnement thérapeutique m’a permis de comprendre ce qui s’était passé, j’ai appris à mieux gérer mes doutes et à me reconnaître moi-même. J’y arrive de mieux en mieux »
• En arrière fond, la question « Suis-je à la hauteur ? » qui tourne en boucle. Un doute (parfois constant) sur sa capacité d’accomplir certaines tâches. Ces personnes estiment qu’elle n’ont pas de mérite et attribuent le succès de ce qu’elles ont accompli à des éléments extérieurs : la chance, un travail acharné, d’autres personnes, un concours de circonstances. Elles se considèrent parfois comme un imposteur et vivent une pression intense d’être démaquée un jour ou l’autre. J’ai entendu Christine me dire « Avant de savoir que j’étais HP, je me disais que si je savais faire quelque chose, alors tout le monde savait le faire, ça en dit long sur ma façon de me percevoir à l’époque. Je n’avais absolument pas conscience que ce que je faisait était « hors norme », ça me paraissait tellement facile, je ne voyais pas pourquoi en faire tout un plat. Pire, je me disais que certains collègues n’étaient vraiment pas futés. Aujourd’hui encore, je finis souvent mon travail hyper vite et je cherche à m’occuper en cherchant des failles à améliorer ou à aider mes collègues. J’ai peur qu’on découvre que je n’ai pas assez de travail alors que je suis si bien payée. J’ai constamment l’impression de ne pas mériter un tel salaire ».
• Pas question de gâcher de telles compétences intellectuelles dans une profession artistique et/ou créatrice. Etre « Haut potentiel », un terme qui insinue qu’on se doit de faire quelque chose de brillant et donc le plus souvent « intellectuel » dans une société comme la nôtre qui associe traditionnellement la réussite à des compétences rationnelles. Jonas me partage « Je fais partie d’une famille d’intellectuel. Nous sommes 5 frères et sœurs et je suis le dernier de la fratrie. A part un de mes frères, tous ont fait l’université et ont brillement réussi sans compter qu’un emploi les attendait dès leur diplôme en poche. Le seul de mes frères qui a fait l’académie des Beaux Arts a été la risée de la famille, cela a été un bras de fer avec mes parents qui ont commencé par lui mettre une pression de dingue pour qu’il change d’avis. Ils ont fini par céder mais quand je vois le prix qu’il a du payer. Implicitement le message passait qu’il n’avait pas réussi sa vie et je n’avais vraiment pas envie de porter ce regard là moi aussi. Quand j’ai du décider de ma voie après mes études secondaires, j’ai choisi d’être prof, par confort plus que par vocation. Mon rêve aurait été d’être musicien, je pense que je suis doué et j’ai d’ailleurs enregistré un album avec des potes quand j’étais ado, on a remporté un beau succès. Parmi eux, tous ont fait carrière dans leur art … quand je me dis que j’aurais du suivre cette voie là, je me raisonne : j’ai un emploi stable même si ça n’est pas le job de mes rêves, je me sens reconnu par ma famille sur ce plan là et c’est sécurisant pour moi ».
J’ai régulièrement des personnes entre 35 et 50 ans qui viennent en coaching et qui me disent qu’ils sont en train de passer à côté de leur vie. Selon les cas, certains changent de vie professionnelle et vivent de leur passion artistique. D’autres se contentent d’un travail qui leur apporte une sécurité sans qu’ils doivent s’y surinvestir et se connectent à leur passion pendant leurs loisirs afin de (re)trouver un équilibre, de s’épanouir dans leur créativité et de se sentir en vie comme le témoignent certains.
• Un côté social atypique et une vie intérieure riche. Parmi les caractéristiques régulièrement retrouvées chez ces personnes, j’ai constaté un besoin régulier d’être seul, de s’isoler pour réfléchir, prendre du recul, se ressourcer, se concentrer sur un sujet, ou pour faire le point. Maude me dit « Je suis quelqu’un qui peut facilement socialiser et on dit de moi que je suis une extravertie mais au fond je me sens vraiment introvertie par moments. J’ai besoin d’être seule et dans de tels moments, il faut qu’on me laisse tranquille. C’est presqu’une question de survie, et dans de telles circonstances, je suis capable d’envoyer tout le monde bouler de manière très sèche ce qui me culpabilise à fond par la suite. D’ailleurs ma mère a souvent pointé cela comme mon sale caractère quand j’étais enfant. Difficile à porter pour moi. Je me sens toujours en balance entre mon envie de faire plaisir et d’être sympa avec les autres pour cultiver une image positive de moi et de l’autre côté, un énorme besoin de solitude pendant un certain temps. Le problème c’est que je ne sais jamais quand ça va m’arriver et dans ces cas là, il faut me laisser, je ne suis plus accessible aux autres, c’est comme ça je ne peux pas faire autrement. Mes proches ont appris à me connaître mais c’est assez difficile pour créer de nouvelles relations ».
Ma conviction n’est donc pas que la personne dite « Haut Potentiel » soit systématiquement née avec un faible QE mais qu’au contraire, son équilibre personnel et son bien-être passe par le développement de cette intelligence émotionnelle pour cultiver ses talents. Un quotient émotionnel se développe en cours de vie, que l’on soit HP ou pas d’ailleurs. Par son hypersensibilité, sa capacité d’empathie le HP a un potentiel extraordinaire sur ce plan. C’est d’ailleurs la combinaison de l’intelligence « rationnelle » et de l’intelligence émotionnelle qui a porté les plus grands leaders de ce monde.
En effet, nous devons tous faire face à la mort, la frustration, le rejet, la non compréhension, l’injustice,… Nous vivons tous avec des émotions humaines fondamentales qui pour la plupart ont une connotation douloureuse : la peur, la tristesse, la culpabilité, la colère, la stupéfaction, le dégoût,…
Imaginons ce même vécu à la lecture d’un ressenti HP, hyper sensibilisé au rejet, à l’injustice, aux non sens,… Voyons chacune des émotions comme probablement transformée, augmentée dans sa section plaisante comme dans celle empreinte de douleur.
Pour y faire face, un refuge possible est ce même esprit qui contrôle, analyse, rassure, compare, recherche des solutions, mets à l’écart les émotions inopportunes, qui apaise mais aussi… (suite ci-dessous pour ceux qui n’auraient pas compris)
Eh oui ! Les émotions ce n'est simple pour personne mais quand c'est en mode "hyper tout" ...
Ce matin, mon fils a à nouveau franchi un palier mais pas dans le bon sens. Il est bouffé par ses angoisses. 2 interros qu'il devrait pourtant réussir sans trop de difficultés mais là ... en plus des maux de ventre, des impressions de ne pas pouvoir maîtriser son intestin, il a vomi pendant une dizaine de minutes. Ce n'est pas dans ses habitudes. C'est nouveau et du côté des médecins, pas l'ombre d'une solution. Ils ne sont pas là lorsqu'il est malade avant de partir tous les matins.
Je n'aurais peut-être pas dû mais je lui ai donné 1/2 comprimé d'anxiolytique. J'en parlerai avec mon généraliste.
. ou isolement, dissipation, rêverie, parfois confondus avec un déficit d'attention) ; soit il se persuadera petit à petit que c’est lui qui est anormal et il intériorisera sa douleur par des comportements autodestructeurs (dépréciation, automutilation, troubles alimentaires, dépression…).
c'est ce que je retiens.......
je me détruis.
avant j'avais l'alcool pour oublier, faux anti dépresseur et la clope.
j'ai perdu 500 grammes mais je m'en fous!
manger est secondaire pour moi et n'est pas un plaisir mais une corvée aujourd'hui 30 septembre.
je m'isole et me réfugie dans la musique.
tout me gave et j'ai demandé à partir d'ici.
c'est MA décision.
de toute façon les médecins ne peuvent rien pour moi.
Accroche-toi. Tu auras des hauts et des bas. Lorsque tu es dans le gouffre rien ne semble possible et pourtant, la lumière est là. Il suffit (même si ça paraît impossible) de laisser passer le nuage. Courage.
Je ne pense même pas à te faire changer d'avis mais même si tu sors, ce n'est pas une raison pour abandonner.
Tu auras la force d'avancer et surtout n'oublie pas d'explorer la piste de la douance pour t'en sortir. Essaie de trouver un(e) psy qui connaît ce domaine et explore-le avec lui(elle). C'est là que se trouve ta solution.
Ne lâche pas ! Quand tu serras rentré chez toi, continus à manger, même si ce n'est pas un plaisir pour toi c'est une absolue nécessité pour ton corps.
Et n'oubli pas , tu as un livre à écrire.
Et puis tu as Domi.
Et même si on à besoin de carburant on est pas des machines, on ne peut pas nous classer par catégorie nous sommes trop complexes .
La psy qui t'a envoyé ce message à du trouver ça dans un vieux bouquin obsolète, tu parles d'une "analyse" !!!!
Tu vas surement trouver pour t'aider une ou des personnes avec qui le courant va passer qui vont te comprendre .
Courage ne lâche pas !
Marie
merci marie!
je suis bien rentrée, il fait beau chez nous.
j'ai retrouvé domi et ça me fait du bien!
et mes chats, saphir et princesse.
pour l'instant le dialogue avec domi est compliqué et j'attends qu'elle vienne à moi.
je saurai me montrer patiente.
on a toutes les deux besoins de faire le point.
je vais dormir dans l'autre chambre.
j'ai besoin de m'isoler; demain est un autre jour.
ce soir je mange un bouillon, des poireaux sans beurre, une tranche de jambon et du raisin.
beaucoup de fibres car je suis constipée de nature et malgré tout je prends des laxatifs prescrits par mon médecin.
Myriam, les fruits secs sont très bons pour le transite ils contiennent beaucoup de fibres .
Surtout l'amande , penser aussi à bien boire .
Pour le faire sans y penser, se préparer une petite coupelle avec un mélange de fruits sec : amandes, noisettes, raisins, pruneaux....Et avoir toujours une carafe d'eau à porté de mains .
je vais commander son livre......
j'apprends à méditer, à lâcher prise.
et arrêter de me culpabiliser, ça m'empêche de vivre!
mais j'avoue que j'ai des problèmes de concentration; par exemple j'arrête pas de zapper à la télé!
et je bouge tout le temps.
c'est épuisant mais je suis toujours active, hyperactive.