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SEP et grossesse

Posté : 27 juin 2011, 21:12
par isa33
Etude canadienne sur la grossesse chez les patientes atteintes de SEP.

http://www.santelog.com/modules/connais ... -_5829.htm

Posté : 28 juin 2011, 09:59
par lovelyangel
Merci

Et je confirme pour le moment ma grossesse n'influe ni sur le bébé ni sur l'évolution de la maladie pour le moment !!!!

Posté : 28 juin 2011, 12:09
par isa33
Super!! Très heureuse pr toi!! Je te souhaite q ça continue jusq'à la fin, qui ne saurait tarder..!! ;-)

Posté : 06 sept. 2011, 19:29
par isa33
j'ai pas mal d'amies qui ont eu un ou des enfants et qui ne sont pas pr autant en fauteuil!!

alors, certaines ont eu une grosse poussée post partum ms elles s'en sont remises, plus ou moins vite, c'est vrai...

dc ça dépend des cas!

ms faut q les doc arrêtent de nous faire flipper!! Moi aussi, ma gynéco m'a sortie cette connerie!! C'est dégueulasse parce q ça n'est déjà pas facile de vivre avec la SEP alors devoir en plus renoncer à un rêve!! Pr ma part, je tenterai le coup le jour où ça se présentera!! :wink:

Posté : 15 sept. 2011, 11:09
par lulu
je me souviens d'une infirmière qui m'avait sorti, les yeux dans les yeux, avant que je ne retombe enceinte :
"surtout ne faites plus d'enfant, avec ce que vous avez, c'est de l'inconscience!!"
J'ai aussi eu droit au coup de la menace du fauteuil, et quand bien meme j'ai envie de dire...
C'est vachement pas un choix qui regarde autre que le couple non?

Il semble que j'ai délcaré ma sep après la naissance de mon premier enfant, et bien, ça ne m'a pas empechée de l'elever seule, et bien, malgré une sep très virulente.

Mettre au monde un enfant, l'aimer, le voir grandir, se nourrir de ses rires, tout ça... ça vaut largement quelques poussées, meme les pires. Et pour ce qui est du corps médical, il n'a rien à dire là dessus, c'est un choix qui ne les regarde absolument pas. Non mais veulent pas nous stériliser tant qu'on y est ?

Posté : 15 sept. 2011, 11:55
par Alex1502
Messages pour toutes les jeunes femmes qui ont la sep et qui veulent un bébé, à lire jusqu'au bout.


b2



Dans son numéro du 12 mai 2011, « LE QUOTIDIEN DU MEDECIN » a publié un article titré



AU 20ème CONGRES DE L’ARSEP
LES RETOMBEES DE LA RECHERCHE ARRIVENT EN CLINIQUE


Quelques lignes de cet article étant consacrées au problème de la grossesse et de la sclérose en plaques il est utile de les reproduire.

« Nous assistons aujourd’hui aux retombées en clinique des connaissances apportées par la recherche fondamentale, explique le Professeur MOREAU. Le Congrès va aborder ces thèmes dans lesquels les connaissances ont avancé. Un exemple : les jeunes femmes atteintes de sclérose en plaques (SEP) sont aujourd’hui autorisées à avoir des enfants et à les allaiter. Les études multicentriques internationales nous ont fait comprendre que, certes, un tiers des patientes peuvent faire une poussée après l’accouchement mais qu’il n’y aura pas de conséquences péjoratives sur l’évolution de la maladie et que l’allaitement peut maintenir l’immunité de la grossesse. »

Le Docteur Jean-Pierre MASCHI apporte des précisions sur ce problème très important pour toutes les femmes atteintes de sclérose en plaques.

Le Professeur Thibault MOREAU, Chef du Service de Neurologie de l’Hôpital de Dijon, a compris, en 2011, que la grossesse n’a pas de conséquences péjoratives sur l’évolution de la sclérose en plaques, après les résultats d’études internationales.
Dès 1969 j’ai compris que la grossesse n’est pas dangereuse pour cette maladie en me basant, simplement, sur les observations de sclérosées en plaques que j’avais en traitement.

Il est indispensable de rappeler ce qui s’est réellement passé dans ce domaine au cours des 40 dernières années.

C’est en 1967 que j’ai commencé à m’intéresser à la sclérose en plaques. A l‘époque je connaissais très mal cette affection et j’ai alors appris que les professeurs déconseillaient formellement la grossesse aux sclérosées en plaques, persuadés qu’elle entraînait inévitablement une aggravation de la maladie.
A partir de 1968 j’ai commencé à traiter régulièrement des malades atteints de sclérose en plaques. J’ai alors eu l’occasion de voir d’assez nombreuses sclérosées en plaques ayant eu précédemment un ou plusieurs enfants alors que leur maladie était déjà déclarée.

Toutes m’expliquèrent que durant la grossesse elles avaient constaté une amélioration de leur état général et des troubles de la maladie. Sans que les neurologues qui les suivaient aient été capables de leur expliquer la cause de ce phénomène qui, d’ailleurs, n’était pas signalé dans les livres de neurologie.
Quand un malade fait une constatation, on peut considérer qu’il s’agit d’un hasard. Mais quand de nombreux malades font les mêmes constatations, cela mérite qu’on essaie d’en comprendre la cause.
Vraisemblablement, au cours d’une grossesse des modifications biologiques doivent se produire dans l’organisme de toutes les femmes. Elles passent généralement inaperçues chez une personne en bonne santé. Mais chez une sclérosée en plaques ce sont peut être ces modifications qui peuvent entraîner une amélioration de leur état.

Très rapidement j’ai soumis ce problème à un gynécologue qui, après quelques jours de réflexion, m’apprit que durant la grossesse les glandes surrénales produisent une quantité de cortisone plus importante, dont le taux redevient normal après l’accouchement.
Cette précision m’apparut suffisante pour expliquer l’amélioration ressentie par les sclérosées en plaques durant leur grossesse. Sans le savoir elles étaient soumises à une corticothérapie légère, mais suffisante pour améliorer leur état.

Après l’accouchement, elles se trouvaient brusquement privées de ce surplus de cortisone et c’est à ce moment qu’elles pouvaient accuser une grande fatigue et même faire une poussée.
Sans plus attendre dès que j’ai eu l’occasion de consulter des jeunes femmes n’ayant pas encore d’enfant je ne leur ai pas interdit d’être enceintes.
Durant vingt ans, j’ai traité des sclérosées en plaques en leur faisant suivre le traitement que j’avais mis ou point. Elles ont été nombreuses à avoir un enfant sans que leur état se soit dégradé.
Le plus difficile était de persuader ces jeunes femmes d’avoir une grossesse car les professeurs continuaient à être formels : la grossesse est très dangereuse pour la sclérose en plaques.
Rapidement cette opinion avait été acceptée par l’ensemble des neurologues français et par tous les gynécologues.

Le 24 novembre 1992 Europe 1 a organisé, en direct, une émission consacrée à la sclérose en plaques avec possibilité d’intervention des auditeurs.

Deux professeurs, Membres de la « Ligue Française contre la Sclérose en Plaques », participaient à cette émission. A une question posée par un auditeur sur le danger de la grossesse dans la sclérose en plaques, un des professeurs a répondu :
«C’est une question qui a été débattue et, pendant longtemps, il a été considéré que la grossesse pouvait être un facteur aggravant de la maladie. Si bien que pendant très longtemps, sans que l’on ait fait d’études d’ailleurs, on a déconseillé les grossesses.
C’était une simple remarque que s’étaient fait les neurologues de l’époque.
Depuis, on a fait des études très précises et maintenant je crois qu’on peut vraiment affirmer que la grossesse n’est pas un facteur aggravant de la sclérose en plaques. On a même constaté que durant les grossesses, les poussées étaient moins fréquentes. Quelques fois il peut y avoir un petit rebond en fin de grossesse, mais, en tout cas, ce n’est surement pas une contre indication à la grossesse. »

Cette réponse est scandaleuse et révoltante.

Sans paraître gêné, ce professeur venait de reconnaître que l’interdiction de grossesse, donnée depuis près de 30 ans aux jeunes sclérosées en plaques avait été décidée sur une simple remarque de quelques neurologues.
Pour décharger sa responsabilité ce professeur avait accusé « les neurologues de l’époque » d’avoir pris cette décision. Mais par la suite tous les neurologues français, avaient eux aussi, donné ce scandaleux conseil aux jeunes sclérosées en plaques.
Ce professeur avait reconnu que durant la grossesse les poussées étaient moins fréquentes. Mais il n’expliqua pas la raison de cette amélioration spontanée.
Ce neurologue avait, en plus, fourni un renseignement inexact en indiquant que, depuis, on avait fait des études précises.
En 1992 aucune étude précise n’avait encore été effectuée.

Le 1er février 1994, « Le Quotidien du Médecin » a fait paraître un article titré
On recherche des femmes enceintes atteintes de sclérose en plaques.
Il était indiqué que c’était dans le but d’effectuer une enquête d’envergure décidée en début d’année 1993.
Ce n’est que le 17 février 2002 que « Le Quotidien du Médecin » a publié un grand article avec ce titre
La grossesse n’augmente pas le risque de poussée
L’article indiquait que la grossesse n’avait pas d’impact sur la progression du handicap.

Devant de tels faits on ne peut qu’être révolté par le comportement de ces professeurs à l’égard des sclérosées en plaques.
Sur Europe 1 ce professeur avait simplement annoncé que la grossesse n’était pas dangereuse pour la sclérose en plaques mais il n’avait pas eu une seule parole de compassion ou de regret à l’attention des innombrables sclérosées en plaques qui avaient été privées de la joie d’avoir un ou plusieurs enfants, à cause de leurs conseils.
Cet interdit avait eu, en plus, des conséquences souvent catastrophiques.
Quand on découvrait la maladie chez une jeune fille on lui faisait entrevoir la perspective d’une paralysie progressive. Mais on lui faisait également comprendre qu’elle devait abandonner toute idée d’être un jour enceinte.
Il est facile d’imaginer ce qui arrivait quand la jeune fille était sur le point de se marier. Très souvent le fiancé ne tenait pas son engagement.
Quand il s’agissait d’un jeune couple n’ayant pas encore d’enfant, cette annonce entraînait souvent le divorce.

Durant une quarantaine d’années ces professeurs de neurologie ont vraiment agi en faisant preuve d’un mépris total envers les malades.

Ce sont ces mêmes professeurs qui, durant la même période, ont farouchement et aveuglément défendu la théorie virale de la sclérose en plaques. Alors que depuis près d’un siècle toutes les recherches effectuées, dans le Monde entier, pour mettre en évidence un virus dans cette affection ont régulièrement échoué.
Les affaires de la grossesse dans la sclérose en plaques et de la théorie virale montrent clairement que, quand des professeurs de médecine émettent une hypothèse sur un problème médical non encore élucidé, ils n’hésitent pas à tout mettre en œuvre pour défendre leurs idées, sans être capables d’apporter la moindre preuve de leur hypothèse.
La France est la grande spécialiste des scandales médicaux dans lesquels sont, chaque fois, impliqués des médecins et des politiciens.



En ce qui me concerne j'ai eu une super grossesse, un accouchement en 5 heures sans péridurales, ma fille se portait super bien. Je faisait néanmoins un régime végétalien et oui! Un régime végétalien (sans protéines animales) et aucunes carences pour moi ou le bébé. Et aussi du yoga très régulièrement durant ma grossesse.

Après la grossesse aucune crise, j'ai allaité pendant 6 mois mon bébé et là après cette période j'ai fait une toute petite crise car l'allaitement d'un bébé de 6 mois c'est fatiguant même pour les mamans en bonne santé c'est tout. J'ai alors refait un IRM et mes plaques ne s'étaient pas étendues et certaines avaient même disparues par rapport au précèdent IRM, le neurologue ne m'a pas poussée à reprendre le traitement et depuis ce temps je n'en ai plus pour des raisons qui me concernent.

En effet, j'ai fait le rebif 22 de mai 2004 à août 2007 moment ou je l'ai arrêté en vue d'avoir ma fille. J'ai toujours fait en parallèle mon régime alimentaire, quand j'ai arrêté le ttt aucuns soucis car j'avais mon parachute mon régime alimentaire et moi cela me soulageait de penser cela.

Je suis complètement choquée de voir qu'il y a encore des médecins et des infirmières qui priveraient des jeunes femmes de faire des enfants c'est révoltant on se croirait 40 ans en arrière!

Mon mari a eu des contact dans son travail avec les chercheurs de la compagnie pharmaceutiques Serono et ils lui ont même dit qu'ils font des recherches là-dessus, la grossesse et ses bienfait sur la sep donc c'est un changement radical d'orientation.


Alors les filles on garde le sourire par rapport à ça :D

Posté : 15 sept. 2011, 13:58
par lovelyangel
Coucou

j'ai accouché le 22 aout ... 9 mois de grossesse nickel pas de symptomes de la maladie... accouchement long et compliqué car un bébé de 4kg490 a sortir par voie basse (c'est le premier) ... apres l'accouchement toujours aucuns signe de la maladie !!!!

Posté : 15 sept. 2011, 14:27
par lalaa2409
félicitations et pourvu que ca dure