rions le 13.05.06

Un bon coup pour le moral !!!
Merci à mon Christounet de t'en occuper si bien...
christian

rions le 13.05.06

Message non lu par christian »

Un fakir dit à sa femme : - Tiens, ça, c'est intéressant, ce qu'ils annoncent, dans le nouveau catalogue de chez Vilmorin, sur Internet : une planche à clous écologique. - C'est quoi, une planche à clous écologique ? - Un cactus.

- J'ai failli épouser une belle fille, caissière dans une grande surface, explique un homme à un ami. Malheureusement, elle était affectée trop souvent à la caisse « Moins de dix articles » et cela influençait toute sa conduite. - Comment cela ? - Tu sais qu'à ce genre de caisse, si tu te présentes, par exemple, avec six packs de huit boîtes de bière chacun, ça compte pour un seul article. Eh bien, elle, quand je lui ai demandé si elle avait déjà fait l'amour, avant de me rencontrer, elle m'a simplement répondu qu'elle avait eu « quelques expériences ». C'est une de ses collègues qui m'a révélé qu'elle comptait toute une équipe de rugby pour une seule expérience.

Une petite vieille, très méfiante, saisit un melon, sur l'étal d'un marchand de fruits et légumes. Elle commence par l'examiner de près, avec attention, en le faisant tourner dans sa main, puis elle le porte à son oreille, en le secouant. Enfin, elle le tâte du pouce en divers endroits. Le marchand, exaspéré par ce manège, questionne la dame : - A votre avis, c'est grave, docteur ?

Un Belge erre au rayon des puzzles d'un grand magasin. - Je vous en avais acheté un, un jour, dit-il à la vendeuse et je n'en ai pas été content du tout. - Pourquoi cela ? - Il y avait marqué, sur la boîte : « De deux à quatre ans ». Moi, il m'en a fallu six.

- Avec qui as-tu bavardé, ce matin, en faisant ton marché ? demande un monsieur à sa femme. - Eh bien, d'abord, avec une dame charmante, de Villeneuve-sur-Lot, puis avec un monsieur de Birmingham et, enfin, avec des jumelles de Houston, au Texas. - Mais, s'étonne le mari, que faisaient tous ces touristes au marché de la place Jules-Ferry ? - Qui te parle de la place Jules-Ferry ? Je n'ai pas bougé de devant l'ordinateur et j'ai tout commandé par Internet.

Une belle blonde, chargée du service Information, dans un grand magasin, porte en permanence ce badge, fixé sur sa robe, à hauteur de sa volumineuse poitrine : « Réponse aux petits curieux qui n'arrêtent pas de me questionner à ce propos, ils doivent tout aux spaghettis et rien à la Wonder Bra ».

Un représentant a débarqué dans un pays d'Afrique centrale. Aux femmes qui accourent, avec curiosité, il montre une robe de coton rudimentaire en annonçant : - Vous pouvez l'avoir non pas pour 300 F., ni pour 250 F., ni même pour 200 F., mais pour 100 F., je dis bien 100 F. pour ce petit bijou de la haute couture parisienne que se sont disputé, sans parvenir à se départager, la princesse Caroline de Monaco et la baronne de Rothschild. Et en prime, je vous donne la liste des endroits les plus huppés de la capitale où vous pourrez, quand vous porterez cette merveille, aller narguer les membres de la jet set.

- Je trouve que ça s'améliore, le niveau des habitants de notre rue, dit un monsieur à sa femme. - Ça, oui. Et j'en ai eu confirmation encore hier quand le jeune étudiant qui nous livre le Parisien, chaque matin, est venu se faire payer sa quinzaine. Tu sais comment il veut qu'on l'appelle, maintenant ? Il n'est plus un simple porteur de journaux mais un « technicien en médias ».

- Bon, dit le chef du personnel, je vous engage pour accueillir les clients au bureau des réclamations. Je vous signale que, pour avoir des muscles d'acier, vous pouvez, si vous le souhaitez, vous doper impunément à la nandrolone. Les contrôles antidopage ne font pas encore partie de la convention collective des employés de commerce.

- Moi, affirme une dame, j'ai trouvé un truc infaillible quand un représentant veut absolument s'introduire chez moi, pour me vendre un aspirateur ou une encyclopédie en vingt volumes dont je n'ai aucun besoin. Je lui dis : « Entrez donc, cher Monsieur. Je serai ravie de vous écouter, pendant que vous me présenterez vos articles. C'est seulement au moment de vous régler la première de vos trente-six mensualités faciles que cela risque de se gâter. Voyez-vous, après avoir émis d'innombrables chèques sans provision, je suis interdite de chéquier. Et, comme argent liquide, je ne dispose que des billets de 500 F. que mon mari avait dissimulés sous une latte du plancher avant d'être condamné à quinze ans de réclusion pour émission de fausse monnaie ».
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