Rions le 160806

Un bon coup pour le moral !!!
Merci à mon Christounet de t'en occuper si bien...
christian

Rions le 160806

Message non lu par christian »

Un petit groupe de militaires de l'Armée de l'Air avait été envoyé dans une base africaine pour assurer éventuellement la sécurité d'un dictateur local, soutenu de longue date par le gouvernement français . - Nous n'avions rien à faire , raconte l'un des pilotes , sinon de participer régulièrement à des exercices d'alerte : C'est pourquoi j'avais dressé un jeune gorille à revêtir ma combinaison puis à courir s'installer aux commandes, à mettre le moteur en marche et à attendre la fin de l'exercice. Or, un jour, il y a eu une véritable alerte et mon gorille a décollé, en compagnie des autres pilotes. Evidemment, quand l'affaire s'est ébruitée, j'ai passé un mauvais quart d' heure. Et c'est ainsi que j'ai été rétrogradé comme simple adjudant. - Et le gorille, que lui est-il arrivé ? - Lui ? Il est devenu colonel.

Le caporal, qui fait manoeuvrer les bleus, se met à hurler : - Remuez-vous un peu, bande de crustacés ! Un sergent intervient : - Caporal, n'employez pas des mots que ces jeunes gens ne peuvent pas comprendre. Après tout, ils n'ont peut-être pas tous suivi des cours de botanique.

Josué arrive, avec ses troupes, en bas des murailles de Jéricho. Avisant un homme-orchestre avec tout son attirail, de la grosse caisse aux cymbales et à l' accordéon , il lui ordonne : - Toi, passe par derrière, et fais un maximum de boucan pour créer une diversion. Quand ils seront tous massés là-bas, en se tordant de rire à ta vue, moi j'attaque de face à la trompette.

- Dis donc, annonce un deuxième classe à la jeune bonne qu'il retrouve régulièrement en cachette, dans la cuisine , ça y est : je vais passer caporal. - Caporal, s'extasie-t-elle. Oh ! mon Antoine, avec tes galons, maintenant, quand je te verrai arriver , je croirai que c'est pour Madame.

Un jeune homme veut s'engager dans les parachutistes. Le sous- officier qui l'accueille lui demande : - Fumez-vous ? - Non, mon adjudant. - Buvez-vous de l' alcool ? - Jamais une goutte . - Jouez-vous aux cartes, aux dés, au Tiercé ? -Oh ! non ! - Alors, vous ne songez qu'aux femmes. - Pas du tout. J'ai une fiancée et je suis très sérieux. - Je ne vous comprends pas, mon ami. Qu'attendez-vous du parachutisme, exactement ? Vous devriez déjà avoir des ailes.

Incorporé dans l'aviation, une jeune recrue va voir son supérieur : - Mon lieutenant, dit-il, j'entends faire jouer à mon profit l' article 79a du règlement de l'Armée de l'Air. - Et que dit-il, cet article 79a ? - "Tout militaire qui n'est pas en possession de toutes ses facultés mentales peut être dispensé de participer à une mission dangereuse". Or, c'est mon cas. - Si je comprends bien, vous souhaitez donc être dispensé de toute mission dangereuse. - Exactement, mon lieutenant. - Le fait même de formuler une telle demande prouve, sans équivoque, que vous êtes parfaitement sain d' esprit. Alors, rompez !

C'est la panique au Strategic Air Command américain , qui maintient constamment en vol une armada de bombardiers atomiques. - Nous avons un problème, téléphone le commandant du SAC aux responsables du Pentagone. - De quoi s'agit-il ? - D'une alerte à la bombe d'un genre un peu particulier. Un mystérieux correspondant , à l'accent russe très prononcé, affirme qu'à la suite de son action, il n'y a pas de bombe, dans l' appareil numéro 23.

A la fin de la dernière guerre , trois résistants, de trois nationalités différentes, ont été condamnés à mort par les Allemands. En constatant que les soldats chargés de les fusiller sont de petits jeunes, récemment incorporés, ils ont tous trois la même idée : semer la panique parmi les Fritz en leur faisant croire à une catastrophe naturelle. Le Français crie : - Tremblement de terre ! Aussitôt, les soldats jettent leurs armes et s'enfuient en hurlant. Le Français s'échappe. Les Allemands, qui sont revenus , s'apprêtent à fusiller l'Italien mais celui-ci crie : - Inondation. Une deuxième fois, les soldats, affolés, prennent la fuite. Une fois revenus, ils braquent leurs fusils sur le Belge. Celui-ci qui a compris le mécanisme de la dissuasion éclate de rire. Et il crie bien fort : - Feu !

Un général dit à sa secrétaire : - Mademoiselle Sylvie, venez me rejoindre sous la moquette . J'ai à vous dicter une lettre "Ultra Secret défense".

Au Moyen -Age, un chevalier examine l'armure que lui a confectionnée le forgeron du village . - Cela me semble parfait, dit-il. Et qu'est-ce que cette espèce de trappe , qui se soulève, dans le dos ? - Ça, c'est la sortie de secours, en cas d'urgence.
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