Nouveau
Posté : 01 nov. 2012, 15:44
Non pas que ma sep soit récente (j'ai fêté les 20 ans des premiers symptômes l'an dernier), c'est plutôt mon état d'esprit qui a dû changer dernièrement pour que je me décide à m’inscrire sur votre forum.
En bref, sep diagnostiquée donc début 93, un peu avant mes 30 ans et 18 mois après les premiers signes précurseurs, divers traitements dont plusieurs sortes de B-férons au cours des ans, le passage à une sep progressive il y a quelques années et depuis no more traitement de fonds. Une invalidité certaine qui m'oblige à me déplacer en fauteuil, les mêmes soucis de fatigabilité et de problèmes divers qui compliquent la vie que la plupart d’entre vous.
Une certaine autonomie que je suis trop heureux de conserver à peu près.
La grande chance d'avoir encore un travail (même si à 3/4 temps) dont je connais le côté si précieux. C’est sans doute ça qui me permet de supporter la solitude sociale qui habite le reste de ma vie. Solitude que je « cultive », faisant peu de choses pour m’en sortir.
Pas envie de voir les autres, à part ma famille et quelques amis qui sont de toute façon loin géographiquement. Est-ce la SEP qui m’a rendu comme ça ou l’aurais-je été de toute façon ?
Grande question existentielle à laquelle je ne suis pas sûr de vouloir trouver une réponse.
Rien de gravissime, en fait, sauf quand je me rends compte que les jours, les semaines et les années passent. Et d’en avoir une de plus au compteur depuis quelques jours m’a sans doute poussé à m’inscrire, sans être sûr que je serai un forumeur utile.
Bah, l’avenir nous le dira…
Amitiés à tous
En bref, sep diagnostiquée donc début 93, un peu avant mes 30 ans et 18 mois après les premiers signes précurseurs, divers traitements dont plusieurs sortes de B-férons au cours des ans, le passage à une sep progressive il y a quelques années et depuis no more traitement de fonds. Une invalidité certaine qui m'oblige à me déplacer en fauteuil, les mêmes soucis de fatigabilité et de problèmes divers qui compliquent la vie que la plupart d’entre vous.
Une certaine autonomie que je suis trop heureux de conserver à peu près.
La grande chance d'avoir encore un travail (même si à 3/4 temps) dont je connais le côté si précieux. C’est sans doute ça qui me permet de supporter la solitude sociale qui habite le reste de ma vie. Solitude que je « cultive », faisant peu de choses pour m’en sortir.
Pas envie de voir les autres, à part ma famille et quelques amis qui sont de toute façon loin géographiquement. Est-ce la SEP qui m’a rendu comme ça ou l’aurais-je été de toute façon ?
Grande question existentielle à laquelle je ne suis pas sûr de vouloir trouver une réponse.
Rien de gravissime, en fait, sauf quand je me rends compte que les jours, les semaines et les années passent. Et d’en avoir une de plus au compteur depuis quelques jours m’a sans doute poussé à m’inscrire, sans être sûr que je serai un forumeur utile.
Bah, l’avenir nous le dira…
Amitiés à tous
..
bonsoir verybadcrip et 