(encore) un nouveau traitement ?
Posté : 20 juil. 2016, 13:49
MESSAGE A L'ATTENTION DES MODERATEURS : je viens de m'apercevoir que je n'ai pas posté ce sujet dans la bonne rubrique ("traitements") et comme je suis d'un niveau navrant en informatique, je vous sollicite pour le déplacer au bon endroit. Merci d'avance !
Info vu ce jour sur le OUEST FRANCE
Sclérose en plaques. Un anticorps bloque la progression de la maladie
Le Glunomab, développé par des chercheurs de l'Inserm, bloque la progression des troubles moteurs de la sclérose en plaques.
Un anticorps possédant des effets thérapeutiques potentiels contre la sclérose en plaques offre des perspectives d'un nouveau médicament pour lutter contre la maladie. Alors que les traitements actuels ne font qu'améliorer la qualité de vie des patients, le Glunomab développé par des chercheurs de l'Inserm a, lui, bloqué la progression des troubles moteurs.
Un anticorps possédant des effets thérapeutiques potentiels contre la sclérose en plaques (voir encadré) offre des perspectives d'un nouveau médicament pour lutter contre cette maladie, cause la plus fréquente d'invalidité neurologique de l'adulte jeune.
Des troubles moteurs bloqués
Dans leurs travaux publiés mercredi dans la revue spécialisée Brain, les chercheurs de l'Inserm expliquent avoir développé et testé cet anticorps baptisé Glunomab sur des souris de laboratoire affectées d'une forme de sclérose en plaques.
Après une injection intraveineuse du Glunomab, la progression des troubles moteurs (paralysie partielle ou totale des membres) a été bloquée. En effet, l'anticorps a empêché l'ouverture de la barrière « sang-cerveau » et la barrière « sang-moelle épinière », limitant ainsi le passage des cellules immunitaires agressives.
Soit ces cellules qui entraînent la destruction de la gaine qui protège les prolongements (axones) des neurones et perturbent la transmission vers le système nerveux central.
Passer aussitôt que possible à de premiers essais cliniques
Ces travaux ont fait l'objet d'une demande de brevet et nos experts espèrent passer aussitôt que possible à de premiers essais chez les humains. Ils devraient, dans un premier temps, tester l'innocuité de l'anticorps, puis son efficacité.
Afin de mener à bien (et rapidement) ces tests prometteurs, l'Inserm a donc annoncé être à la recherche des partenaires (industriels, etc.) « prêts à financer des essais qui peuvent représenter un investissement de plusieurs millions d'euros ».
Info vu ce jour sur le OUEST FRANCE
Sclérose en plaques. Un anticorps bloque la progression de la maladie
Le Glunomab, développé par des chercheurs de l'Inserm, bloque la progression des troubles moteurs de la sclérose en plaques.
Un anticorps possédant des effets thérapeutiques potentiels contre la sclérose en plaques offre des perspectives d'un nouveau médicament pour lutter contre la maladie. Alors que les traitements actuels ne font qu'améliorer la qualité de vie des patients, le Glunomab développé par des chercheurs de l'Inserm a, lui, bloqué la progression des troubles moteurs.
Un anticorps possédant des effets thérapeutiques potentiels contre la sclérose en plaques (voir encadré) offre des perspectives d'un nouveau médicament pour lutter contre cette maladie, cause la plus fréquente d'invalidité neurologique de l'adulte jeune.
Des troubles moteurs bloqués
Dans leurs travaux publiés mercredi dans la revue spécialisée Brain, les chercheurs de l'Inserm expliquent avoir développé et testé cet anticorps baptisé Glunomab sur des souris de laboratoire affectées d'une forme de sclérose en plaques.
Après une injection intraveineuse du Glunomab, la progression des troubles moteurs (paralysie partielle ou totale des membres) a été bloquée. En effet, l'anticorps a empêché l'ouverture de la barrière « sang-cerveau » et la barrière « sang-moelle épinière », limitant ainsi le passage des cellules immunitaires agressives.
Soit ces cellules qui entraînent la destruction de la gaine qui protège les prolongements (axones) des neurones et perturbent la transmission vers le système nerveux central.
Passer aussitôt que possible à de premiers essais cliniques
Ces travaux ont fait l'objet d'une demande de brevet et nos experts espèrent passer aussitôt que possible à de premiers essais chez les humains. Ils devraient, dans un premier temps, tester l'innocuité de l'anticorps, puis son efficacité.
Afin de mener à bien (et rapidement) ces tests prometteurs, l'Inserm a donc annoncé être à la recherche des partenaires (industriels, etc.) « prêts à financer des essais qui peuvent représenter un investissement de plusieurs millions d'euros ».